Au niveau théologique, l’usure est condamnée pour plusieurs raisons, notamment du fait que le prêteur s’enrichisse sans fournir un véritable travail créateur, et surtout, […] l’argument décisif rappelle que, par la pratique du prêt à intérêt, l’on "vend du temps", car celui-ci n’appartient qu’à Dieu et ne peut donc être en aucun cas une propriété individuelle.
Auteur:
Info: Métaphysique du Moyen Age, Archè Milano, 2013, page 116
Commentaires: 0