Cette notion, classique en théologie, désigne la capacité que doit posséder la nature créée pour pouvoir obéir aux ordres surnaturels que Dieu lui donne, c’est-à-dire pour accomplir des opérations excédant les forces de sa nature. Les thomistes y voient une puissance passive. D’autres théologiens y voient une puissance passive et active (Suarez).
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Info: Le sens du surnaturel, L'Harmattan, 1997, page 219
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