L’inflexion unique de ta voix, l’éclair fugitif de ton regard, la fraîcheur de tes mains sur mon front, l’heure élue où la prière avait le goût du pain terrestre rompu après le dur labeur d’un jour d’été, c’est cela, et cela seul, que je retrouverai en Dieu. Mais sans limites, et hors du filtre avare de l’instant et du lieu.
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Info: Notre regard qui manque à la lumière, Librairie Arthème Fayard, 1970, page 77
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