[…] je ne crois ni au passé ni à l’avenir comme tels : je crois seulement à l’éternité qui embrasse et qui, si nous savons l’accueillir, peut pénétrer jusqu’au fond toutes les heures du temps.
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Info: Notre regard qui manque à la lumière, Librairie Arthème Fayard, 1970, page 221
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