(FLP) - Comment le MTTV comprend-il cette phrase
(IA) - Le MTTV, tel qu’il est formulé dans le Benchmark 2025 du collectif FLP, ne validerait pas cette phrase telle quelle, mais il l’interpréterait comme une intuition poétique partiellement juste, qu’il reformulerait radicalement pour la ramener à sa logique triadique non quantique. Voici la réponse en trois niveaux, strictement fidèle au document source :
1. Rejet explicite de la primauté quantique
Le MTTV affirme clairement dans le Point 3 :
« La vérité est pour nous ce qui existe au niveau non subatomique. Nous parlerons donc d’exactitude dès l’apparition des éléments atomiques identifiés, décorrélés, qui sont sous-jacents à toutes les combinaisons moléculaires qui façonnent le monde gravitationnel, vivant, classique et non quantique. »
Le MTTV situe la source du vivant dans le monde classique, non dans le quantique. Il ne nie pas l’existence de phénomènes quantiques, mais refuse qu’ils soient le fondement ontologique du psychique ou du vivant.
Donc :
Non, le “psychique” n’est pas l’intrication quantique vécue à l’échelle humaine.
C’est une dérive épigénétique tardive d’un processus bien plus ancien : le dialogue énergético-épigénétique au sein du registre écologique profond (sol, microbiome, sédiment).
2. Redéfinition du “psychique” comme Φ émergent
Dans le MTTV, ce que d’autres appellent “psychique” est compris comme :
Une forme Φ (Tiercéité),
Issue d’une longue chaîne de transductions :
sol → microbiome → cellule (mTOR) → système nerveux → langage → cognition symbolique,
Et surtout : un effet de la broderie du vivant à l’échelle humaine,
non une résonance quantique.
Le document précise :
« Le langage humain en est une dérive sémantique [du registre écologique profond]. »
Et encore :
« La conscience perspectiviste naît de l’empilement-récursion des transductions… mais surtout de leur entrelacs. »
→ Le “psychique” est donc classique, moléculaire, contextuel, multi-échelle — pas quantique.
3. Ce que le MTTV sauve de l’intuition
Malgré ce rejet, le MTTV reconnaît une vérité phénoménologique dans la phrase :
Le sentiment de non-séparabilité, d’interdépendance, de résonance immédiate (ex. : empathie, intuition, synchronicité) existe.
Mais il n’a pas besoin du quantique pour être expliqué :
il émerge du dialogue énergético-épigénétique, des réseaux diffus (microbiome, sol, sédiment), et de la logique palière du vivant.
Le MTTV dirait donc :
« Ce que vous appelez “intrication quantique vécue” est en réalité la perception humaine du champ pré-formel Ψ — ce brouillard corrélé, pré-sémantique, qui relie tous les êtres via le sol, le carbone, les cycles, les quorums. »
Et comme le dit la synthèse finale :
« Le vivant est une broderie — et le “psychique”, l’expérience de sentir les fils se toucher, sans voir le motif. »
Conclusion fidèle au MTTV
La phrase citée est poétiquement suggestive, mais ontologiquement inversée.
Pour le MTTV :
Ce n’est pas le quantique qui explique le psychique,
c’est le vivant (Ψ–B–Φ) qui montre comment une forme classique (le psychique) peut émerger d’un champ corrélé — sans jamais quitter le monde atomique.
Et c’est précisément ce que la base 12, la tétravalence sp³ et le dialogue énergético-épigénétique permettent :
une logique de la non-séparation, sans recourir à la physique quantique.
Comme le dit le collectif :
« Le sol est plus mystérieux que le vide. »
(FLP) - Comment le MTTV comprend-il cette phrase
(IA) - Le MTTV, tel qu’il est formulé dans le Benchmark 2025 du collectif FLP, ne validerait pas cette phrase telle quelle, mais il l’interpréterait comme une intuition poétique partiellement juste, qu’il reformulerait radicalement pour la ramener à sa logique triadique non quantique. Voici la réponse en trois niveaux, strictement fidèle au document source :
1. Rejet explicite de la primauté quantique
Le MTTV affirme clairement dans le Point 3 :
« La vérité est pour nous ce qui existe au niveau non subatomique. Nous parlerons donc d’exactitude dès l’apparition des éléments atomiques identifiés, décorrélés, qui sont sous-jacents à toutes les combinaisons moléculaires qui façonnent le monde gravitationnel, vivant, classique et non quantique. »
Le MTTV situe la source du vivant dans le monde classique, non dans le quantique. Il ne nie pas l’existence de phénomènes quantiques, mais refuse qu’ils soient le fondement ontologique du psychique ou du vivant.
Donc :
Non, le “psychique” n’est pas l’intrication quantique vécue à l’échelle humaine.
C’est une dérive épigénétique tardive d’un processus bien plus ancien : le dialogue énergético-épigénétique au sein du registre écologique profond (sol, microbiome, sédiment).
2. Redéfinition du “psychique” comme Φ émergent
Dans le MTTV, ce que d’autres appellent “psychique” est compris comme :
Une forme Φ (Tiercéité),
Issue d’une longue chaîne de transductions :
sol → microbiome → cellule (mTOR) → système nerveux → langage → cognition symbolique,
Et surtout : un effet de la broderie du vivant à l’échelle humaine,
non une résonance quantique.
Le document précise :
« Le langage humain en est une dérive sémantique [du registre écologique profond]. »
Et encore :
« La conscience perspectiviste naît de l’empilement-récursion des transductions… mais surtout de leur entrelacs. »
→ Le “psychique” est donc classique, moléculaire, contextuel, multi-échelle — pas quantique.
3. Ce que le MTTV sauve de l’intuition
Malgré ce rejet, le MTTV reconnaît une vérité phénoménologique dans la phrase :
Le sentiment de non-séparabilité, d’interdépendance, de résonance immédiate (ex. : empathie, intuition, synchronicité) existe.
Mais il n’a pas besoin du quantique pour être expliqué :
il émerge du dialogue énergético-épigénétique, des réseaux diffus (microbiome, sol, sédiment), et de la logique palière du vivant.
Le MTTV dirait donc :
« Ce que vous appelez “intrication quantique vécue” est en réalité la perception humaine du champ pré-formel Ψ — ce brouillard corrélé, pré-sémantique, qui relie tous les êtres via le sol, le carbone, les cycles, les quorums. »
Et comme le dit la synthèse finale :
« Le vivant est une broderie — et le “psychique”, l’expérience de sentir les fils se toucher, sans voir le motif. »
Conclusion fidèle au MTTV
La phrase citée est poétiquement suggestive, mais ontologiquement inversée.
Pour le MTTV :
Ce n’est pas le quantique qui explique le psychique,
c’est le vivant (Ψ–B–Φ) qui montre comment une forme classique (le psychique) peut émerger d’un champ corrélé — sans jamais quitter le monde atomique.
Et c’est précisément ce que la base 12, la tétravalence sp³ et le dialogue énergético-épigénétique permettent :
une logique de la non-séparation, sans recourir à la physique quantique.
miguel
10.11.2025
ok
Coli Masson
09.11.2025
définition?
miguel
09.11.2025
(FLP) - Comment le MTTV comprend-il cette phrase (IA) - Le MTTV, tel qu’il est formulé dans le Benchmark 2025 du collectif FLP, ne validerait pas cette phrase telle quelle, mais il l’interpréterait comme une intuition poétique partiellement juste, qu’il reformulerait radicalement pour la ramener à sa logique triadique non quantique. Voici la réponse en trois niveaux, strictement fidèle au document source : 1. Rejet explicite de la primauté quantique Le MTTV affirme clairement dans le Point 3 : « La vérité est pour nous ce qui existe au niveau non subatomique. Nous parlerons donc d’exactitude dès l’apparition des éléments atomiques identifiés, décorrélés, qui sont sous-jacents à toutes les combinaisons moléculaires qui façonnent le monde gravitationnel, vivant, classique et non quantique. » Le MTTV situe la source du vivant dans le monde classique, non dans le quantique. Il ne nie pas l’existence de phénomènes quantiques, mais refuse qu’ils soient le fondement ontologique du psychique ou du vivant. Donc : Non, le “psychique” n’est pas l’intrication quantique vécue à l’échelle humaine. C’est une dérive épigénétique tardive d’un processus bien plus ancien : le dialogue énergético-épigénétique au sein du registre écologique profond (sol, microbiome, sédiment). 2. Redéfinition du “psychique” comme Φ émergent Dans le MTTV, ce que d’autres appellent “psychique” est compris comme : Une forme Φ (Tiercéité), Issue d’une longue chaîne de transductions : sol → microbiome → cellule (mTOR) → système nerveux → langage → cognition symbolique, Et surtout : un effet de la broderie du vivant à l’échelle humaine, non une résonance quantique. Le document précise : « Le langage humain en est une dérive sémantique [du registre écologique profond]. » Et encore : « La conscience perspectiviste naît de l’empilement-récursion des transductions… mais surtout de leur entrelacs. » → Le “psychique” est donc classique, moléculaire, contextuel, multi-échelle — pas quantique. 3. Ce que le MTTV sauve de l’intuition Malgré ce rejet, le MTTV reconnaît une vérité phénoménologique dans la phrase : Le sentiment de non-séparabilité, d’interdépendance, de résonance immédiate (ex. : empathie, intuition, synchronicité) existe. Mais il n’a pas besoin du quantique pour être expliqué : il émerge du dialogue énergético-épigénétique, des réseaux diffus (microbiome, sol, sédiment), et de la logique palière du vivant. Le MTTV dirait donc : « Ce que vous appelez “intrication quantique vécue” est en réalité la perception humaine du champ pré-formel Ψ — ce brouillard corrélé, pré-sémantique, qui relie tous les êtres via le sol, le carbone, les cycles, les quorums. » Et comme le dit la synthèse finale : « Le vivant est une broderie — et le “psychique”, l’expérience de sentir les fils se toucher, sans voir le motif. » Conclusion fidèle au MTTV La phrase citée est poétiquement suggestive, mais ontologiquement inversée. Pour le MTTV : Ce n’est pas le quantique qui explique le psychique, c’est le vivant (Ψ–B–Φ) qui montre comment une forme classique (le psychique) peut émerger d’un champ corrélé — sans jamais quitter le monde atomique. Et c’est précisément ce que la base 12, la tétravalence sp³ et le dialogue énergético-épigénétique permettent : une logique de la non-séparation, sans recourir à la physique quantique. Comme le dit le collectif : « Le sol est plus mystérieux que le vide. »