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femmes-hommes

Le syndrome de la Madone et de la putain est ce dont souffre un homme incapable d'associer affectivité et sexualité. La Madone (vierge et mère), c'est l'épouse, la promesse de stabilité et de sécurité, bobonne qui fait partie des meubles et qu'il vénère comme sa propre mère. La putain, c'est l'amante, qui confirme son pouvoir de séduction, le dégage de la dépendance et promet rien de plus que la brouette suédoise. L'une procrée, l'autre "couche". A l'image de Robert De Niro, dégouté, dans Mafia blues : "Quoi ? Une fellation ? Par la mère de mes enfants ?"

Auteur: Sandner Catherine

Info: Trouver enfin ! l'homme de sa vie On n'est pas des gourdes

[ couple ] [ schizophrène ] [ humour ] [ hommes-par-femmes ]

 

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femmes-hommes

- La dernière femme à être exécutée ici, poursuivit Evans, fut Jane, vicomtesse Rochford, le 13 février 1542.
- Qu'est-ce qu'elle avait fait? demanda Cathy.
- Ce qu'elle n'avait pas fait, plutôt. Elle avait négligé de dire au roi Henry VIII que sa cinquième femme,

Catherine Howard, avait... euh... des relations amoureuses avec quelqu'un d'autre que son mari, révéla

délicatement Evans.
- C'est vraiment un événement historique, dit Jack en riant. La dernière fois qu'une femme a été exécutée pour

n'avoir pas parlé!
Cathy sourit à son mari.
- Et si je te cassais l'autre bras, Jack?

Auteur: Clancy Tom

Info: Jeux de guerre

[ dialogue ] [ humour ]

 

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redites

L'Ecclésiaste, 1.9 : "Ce qui a été, c'est ce qui sera / Ce qui s'est fait c'est ce qui se fera : rien de nouveau sous le soleil !". Cf. Jean de la Bruyère, Les Caractères, 1688 "Nous arrivons trop tard pour dire quoi que ce soit qui n'ait déjà été dit". La Bruyère a probablement volé ces vers à L'Anatomie de la mélancolie de Richard Burton (1621) : " Nous ne pouvons rien dire sinon ce qui l'a été." Burton a probablement volé ces verts à l'Eunuque de Terence (161 avant J.-C.).

Auteur: Fadiman Anne

Info: Ex-libris, trad. Catherine Pierre, p.131, Note de bas de page, Mille et une nuits, 2004

[ citation s'appliquant à ce logiciel ] [ plagiat ]

 

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féminisme

Elle avait lu ce livre plusieurs années auparavant, mais elle se souvenait très bien de son contenu : ce livre parlait du long cortège des femmes déchues, blessées, délaissées, trahies, bafouées, assassinées, acculées à la folie ou à la mort dont les malheurs faisaient depuis toujours les délices des amateurs d'opéra. A l'opéra, toutes les femmes mouraient. Sans exception. A l'opéra, les femmes étaient toujours malheureuses. A l'opéra, les femmes avaient toujours une fin tragique. Princesses, roturières, mères, putains : l'opéra était le lieu de leur défaite inéluctable - elle se sentit de plus en plus mal à l'aise.

Auteur: Clément Catherine

Info: L'Opéra ou la défaite des femmes, cité par Bernard Minier dans : N'éteins pas la lumière

[ musique ]

 

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beaux-arts

Je crois que je n'ai jamais voulu faire à tout prix quelque chose qui soit de la sculpture ; j'ai toujours travaillé à partir de l'objet, de la logique de la matière. (...) Quand j'ai utilisé l'arbre, je ne l'ai pas utilisé en tant qu'image, ce n'était pas un travail sur la symbolique de l'arbre. Je me suis servi du bois et de la végétation comme une matière capable de se transformer, de se modeler. Je reconnais par ailleurs la richesse de la symbolique de l'arbre, mais le principe fondamental de mon travail est une adhésion à la réalité.

Auteur: Penone Giuseppe

Info: Entretien réalisé à Paris entre le 15 janvier et le 11 juin 2003 par Catherine Grenier et Annalisa Rimmaundo

[ plastique ]

 

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psychiatrie

C'est dans l'"Esquisse d'une psychologie scientifique" (1895) que Freud décrit pour la première fois le moi en tant qu'instance psychique différenciée. Lieu d'attention, mais également de la mise en jeu des stratégies défensives, cette instance a une fonction à la fois limitante et contenante à l'égard des stimuli externes et des excitations internes.
[...] cette première définition d'un moi comme instance psychique ouvre la possibilité non seulement de concevoir l'existence du processus de refoulement à l'oeuvre dans l'hystérie et la névrose obsessionnelle, mais aussi de se représenter la problématique de l'envahissement et du débordement dans certains cas de psychose.

Auteur: Gortais Jean

Info: Processus de la schizophrénie. Ecrit avec Catherine Azoulay

[ ego ] [ introspection ]

 

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déprime

Les séparations font toujours souffrir, mon grand. Elles creusent un vide à l'intérieur, et pour en comprendre les bienfaits, il faut du temps. - Les bienfaits de la souffrance ? Et puis quoi encore ? - Évidemment, c'est difficile à croire. Tu vas connaitre la tristesse et puis, un beau matin, le calme s'installera. Pour commencer, tu n'auras pas d'appétit, tu ne verras ni les arbres ni les fleurs jusqu'au jour où, sans savoir pourquoi, tu t'éveilleras remis à neuf. Tu regarderas autour de toi et tu t'apercevras que la vie continue et que, après avoir passé l'épreuve, tu es plus fort qu'avant.

Auteur: Clément Catherine

Info: Le Voyage de Théo

[ thérapie ] [ positiver ]

 

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folklore

Les balinais tressent des notes pelées au kilomètre, les javanais élèvent entre ciel et terre de lourdes pyramides métalliques habillées de voiles évanescents, les sundanais étirent dans l'azur des plaintes mélancoliques.

Pourtant sur leurs berceaux se sont penchées les mêmes fées, celle des volcans, des arbres, de l'eau et du riz, qui les dotèrent d'une même conception de l'univers et de la vie. Entre ésotérisme et empirisme, entre mythe et réalité, entre implicite et explicite, les concepts et les représentations de l'espace, du temps et de la circulation de l'énergie vitale, sont reflétés dans l'ordre idéalisé des musiques de gamelan.

Auteur: Basset Catherine

Info: Musiques de Balià Java : l'ordre et la fête

[ indonésien ] [ pur vernaculaire ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

femmes-hommes

Cela dit, il est vrai que j'ai un côté masculin assez marqué: je suis très directe, par exemple, et me comporte de la même manière avec les hommes et avec les femmes, ce qui, paraît-il, n'est pas très féminin. J'ai l'habitude de travailler et de fonctionner seule. Cela oblige à un autre type de rapport. (...) J'aspire à aller à l'essentiel. Hypnotiser, se faire hypnotiser, je trouve cela un peu vain. Sans compter que dans la séduction, il y en a toujours un qui subit et l'autre qui fait subir. Je préfère le désir à la séduction: le partage à l'envoûtement.

Auteur: Deneuve Catherine

Info: au Nouveau Quotidien 26 août 1996

[ pensée-de-femme ] [ star ] [ introspection ]

 

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profession

La vraie nouveauté de ces temps maudits, c'est quand même le format .xtc* : "le format multisensoriel, le format SEN-SU-EL !". C'est à dire que la définition 3D n'a d'égal que la qualité du son, le réalisme de la résolution olfactive et la finesse de l'effet-de-réel tactile. Pour le goût, on progresse.

Mon job ? Dénicheur de talent sensoriel. Je suis capable de les repérer n'importe où, dans la rue ou le métro, chez le biotech' ou au bout du bar - j'ai un talent pour ça. Mais attention : pas n'importe quelle sensorialité. Seulement l'émotionnelle. Parce que le gros boulard, c'est déjà bien encombré, comme créneau.

Auteur: Dufour Catherine

Info: "L'arithmétique terrible de la misère", éd. Le Bélial, p. 69. Ce format, applicable dans bcp de domaines particulièrement pour l'univers des sons, s'occupe des trajectoires ressenties, de la profondeur.

[ science-fiction ] [ virtuel ] [ distinction ]

 
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Ajouté à la BD par Benslama