Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 133
Temps de recherche: 0.0558s

initiation

L’amour est difficile. L’amour d’un être humain pour un autre, c’est peut-être l’épreuve la plus difficile pour chacun de nous, c’est le plus haut témoignage de nous-mêmes ; l’œuvre suprême dont toutes les autres ne sont que les préparations. C’est pour cela que les êtres jeunes, neuf en toutes choses, ne savent pas encore aimer ; ils doivent apprendre. De toutes les forces de leur être, concentrées dans leur cœur qui bat anxieux et solitaire, ils apprennent à aimer. Tout apprentissage est un temps de clôture. Ainsi pour celui qui aime, l’amour n’est longtemps, et jusqu’au large de la vie, que solitude, solitude toujours plus intense et plus profonde. L’amour ce n’est pas dès l’abord se donner, s’unir à un autre. (Que serait l’union de deux êtres encore imprécis, inachevés, dépendants ?) L’amour, c’est l’occasion unique de mûrir ; de prendre forme, de devenir soi-même un monde pour l’amour de l’être aimé. C’est une haute exigence, une ambition sans limite, qui fait de celui qui aime, un élu qu’appelle le large. Dans l’amour quand il se présente, ce n’est que l’obligation de travailler à eux-mêmes que les être jeunes devraient voir. Se perdre, dans un autre, se donner à un autre, toutes les façons de s’unir ne sont pas encore pour eux. Il leur faut d’abord thésauriser longtemps, accumuler beaucoup. Le don de soi-même est un achèvement.

Auteur: Rilke Rainer Maria

Info: Les Cahiers de Laurids Brigge

[ sacrifice ]

 
Commentaires: 1
Ajouté à la BD par Bandini

chimie minérale

Ceux d'entre nous qui connaissaient la situation de la chimie inorganique dans les universités il y a vingt ou trente ans se souviendront qu'à cette époque, elle était largement considérée comme une partie ennuyeuse et inintéressante du cursus de premier cycle. En général, elle était enseignée presque entièrement au cours des premières années du cursus et principalement comme une collection de faits sans lien les uns avec les autres. Dans l'ensemble, les étudiants ont conclu qu'à l'exception de certaines relations dépendant du tableau périodique, la chimie inorganique ne disposait pas d'un système comparable à celui de la chimie organique, ni de la rigueur et de la logique qui caractérisent la chimie physique. On pensait généralement que les possibilités de recherche en chimie inorganique étaient rares et que, de toute façon, les problèmes étaient ennuyeux et peu stimulants ; par conséquent, relativement peu de personnes se sont spécialisées dans ce domaine... Tant que la chimie inorganique sera considérée comme consistant simplement, dans les années passées, en préparations et analyses d'éléments et de composés, son manque d'attrait est tout à fait normal. Ce stade est désormais dépassé et, pour les besoins de notre discussion, nous définirons aujourd'hui la chimie inorganique comme l'étude intégrée de la formation, de la composition, de la structure et des réactions des éléments et des composés chimiques, à l'exception de la plupart de ceux du carbone.

Auteur: Nyholm Ronald Sydney

Info: Conférence inaugurale prononcée à l'University College de Londres (1er mars 1956). Dans The Renaissance of Inorganic Chemistry (1956), 4-5.

[ abiotique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

extraterrestres

Rémy Chauvin étudia les travaux du laboratoire rattaché au ministère de l'Agriculture brésilien sur l'analyse d'un fragment supposé d'une soucoupe qui aurait explosé à Ubatuba au Brésil. Ces travaux indiquent que l'objet était fait de magnésium d'un haut degré de pureté, sans autre élément métallique, une pureté inhabituelle que l'on ne trouve pas sur notre planète. (...) Densité trouvée : 1,86 au lieu d'une densité tournant autour de 1,74 (à laquelle on se serait attendu).... Une faible quantité de magnésie fut détectée. Une 2ème analyse effectuée en Californie donna une proportion de magnésium pur à 99,9 %. D'infimes parties de zinc, de strontium, de chrome et de manganèse purent être révélées. Rémy Chauvin souligne dans un livre* qu'une telle préparation était impossible à fabriquer en 1957... Par la suite Peter Sturrock, très renommé physicien des plasmas [mais qui agit dans l'intérêt de la divulgation], a effectué plusieurs calculs de ratios isotopiques, et il a également découvert une nette différence entre le magnésium d'Ubatuba et la référence terrestre. Son approche renforce les découvertes de Walter Walker et Robert Johnson, montrant que la cristallisation de ce métal était extrêmement inhabituelle, et très différente des caractéristiques métallurgiques qu'ils connaissaient bien. Alors... "Avons-nous déjà récupéré un morceau de soucoupe volante ? C'est à chacun d'en décider, selon ce qu'il nous est possible de savoir. C'est encore un peu flou pour moi, mais je pense que la réponse est Oui."

Auteur: Duval Pierre

Info: La science devant l'étrange, Culture, Art, Loisirs, Paris

[ sciences ] [ ufologie ]

 

Commentaires: 0

culture bourgeoise

C’est dans les façons très contrastées dont sont élevés les enfants que la différence apparaît le plus clairement. Alors que la confusion régnante, au sujet des valeurs que les parents devraient transmettre à leurs enfants, sévit chez les nouveaux riches, les familles dont la richesse est plus ancienne ont des idées bien arrêtées sur la manière d’élever les enfants et n’hésitent pas à les mettre en pratique. Elles tentent d’inculquer à l’enfant le sens des responsabilités, qui vont de pair avec les privilèges dont il héritera. Elles s’efforcent de faire naître une certaine dureté, qui, entre autres, prépare le jeune à surmonter les obstacles sur sa route et à accepter, sans sentimentalité, les différences sociales. Pour que les enfants privilégiés deviennent capables d’assumer le rôle d’administrateurs et gardiens de grandes richesses – comme présidents de conseils d’administrations, propriétaires de mines, collectionneurs, amateurs éclairés, pères et mères de nouvelles dynasties – il leur faut accepter l’inévitabilité des classes sociales et de l’inégalité. Ces jeunes doivent cesser de se demander si la vie est équitable pour les victimes et de "rêver" (comme disent leurs parents). Il faut qu’ils s’attellent aux affaires sérieuses de l’existence : les études, la préparation à une carrière, les leçons de musique, d’équitation, de danse et de tennis, les soirées dansantes, les réceptions, les mondanités – tout un ensemble d’activités, apparemment sans buts pour l’observateur superficiel […], mais qui permettent aux nantis d’acquérir discipline, courage, assurance et opiniâtreté. 

Auteur: Lasch Christopher

Info: Dans "La culture du narcissisme", trad. Michel L. Landa, éd. Flammarion, Paris, 2018, pages 344-345

[ ancienne élite ] [ éducation ] [ transmission ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

repas

Adelina mettait deux bonnes journées, à les préparer. Il en connaissait par coeur la recette. La veille, on fait un aggrassato, mélange de veau et de porc en gelée en parties égales, qui doir cuire à feu très bas pendant des heures et des heures, avec ognoins, tomates, celeri, persil et basilic. Le lendemain, on prépare un risotto, de ceux qu'on appelle "à la milanaise" (sans safran, par pitié !), on le verse sur une planche, on le mélange à l'oeuf et on le fait refroidir. Pendant ce temps, on cuit les petits pois, on fait une béchamel, on réduit en petits morceaux quelques tranches de salami et on fait toute une préparation avec la viande en gelée, hachée avec le hachoir demi-lune (pas de mixer, pour l'amour de dieu!). La sauce de la viande se mélange au riz. A ce point, on prend un peu de rizotto, on l'arrange dans la paume d'une main, tenue en forme de conque, on y met dedans l'équivalent d'une cuillère de la prépararion et on le recouvre de ce qu'il faut de riz pour former une belle boulette. Chaque boulette est roulée dans la farine, puis on la passe dans le blanc d'oeuf et la chapelure. Ensuite, toutes les arancini sont glissées dans une cuvette d'huite bouillante et on les fait frire jusqu'à ce qu'elles prennent une couleur vieil or. On les laisse s'égoutter sur le papier. Et à la fin, ringraziannu u Signuruzzu, grâce soit rendue au petit seigneur, on les mange !

Auteur: Camilleri Andrea

Info: Les arancini de Montalbanon. In la démission de Montalbano, Fleuve noir 2001, pp 386- 387

[ recette ] [ cuisine ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

remémoration

Dans l'ouvrage de Proust intitulé "Du côté de chez Swann", une gorgée de thé et une bouchée d'un petit gâteau en forme de coquille Saint-Jacques, la madeleine, font que le narrateur est soudain envahi par des souvenirs de son passé. Il est d'abord perplexe, puis, lentement, après de gros efforts, il se souvient que sa tante lui donnait du thé et des madeleines quand il était petit, et que c'est cette association qui a réveillé sa mémoire. Il nous est arrivé à tous de vivre des expériences similaires - l'odeur d'un aliment en cours de préparation ou la vue d'un objet oublié depuis longtemps - qui évoquent soudain une scène de notre passé. L'idée holographique offre une autre analogie pour les tendances associatives de la mémoire. Elle est illustrée par un autre type de technique d'enregistrement holographique. Tout d'abord, la lumière d'un faisceau laser unique est réfléchie par deux objets simultanément, par exemple un fauteuil et une pipe. La lumière rebondissant sur chaque objet peut ensuite entrer en collision, et le motif d'interférence qui en résulte est capturé sur un film. Ensuite, chaque fois que le fauteuil est éclairé par une lumière laser et que la lumière qui se réfléchit sur le fauteuil traverse le film, une image tridimensionnelle de la pipe apparaît. Inversement, lorsque l'on fait de même avec le tuyau, un hologramme du fauteuil apparaît. Ainsi, si notre cerveau fonctionne de manière holographique, un processus similaire pourrait être responsable de la manière dont certains objets évoquent des souvenirs spécifiques de notre passé.

Auteur: Talbot Michael Coleman

Info: L'univers holographique, Mémoire associative

[ liaisons ] [ interdépendance ] [ corrélations ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

traumatisme

A la suite de graves commotions mécaniques, de catastrophes de chemin de fer et d’autres accidents mettant la vie en danger, on voit survenir un état qui a été décrit depuis longtemps et a gardé le nom de "névrose traumatique". [...] Le tableau clinique de la névrose traumatique se rapproche de celui de l’hystérie par sa richesse en symptômes moteurs similaires ; mais en règle générale, il le dépasse par ses signes très prononcés de souffrance subjective, évoquant par là l’hypocondrie ou la mélancolie, et par les marques d’un affaiblissement et d’une perturbation bien plus généralisés des fonctions psychiques. [...] Dans la névrose traumatique commune, deux traits saillants pourraient servir de point de départ à notre réflexion : premièrement, ce qui semble peser le plus lourd dans son déterminisme, c’est le facteur surprise, l’effroi ; deuxièmement, si le sujet subit en même temps une lésion ou une blessure, ceci s’oppose en général à la survenue de la névrose. Effroi, peur, angoisse sont des termes qu’on a tort d’utiliser comme synonymes ; leur rapport au danger permet de bien les différencier. Le terme d’angoisse désigne un état caractérisé par l’attente du danger et la préparation à celui-ci, même s’il est inconnu ; le terme de peur suppose un objet défini dont on a peur ; quant au terme d’effroi, il désigne l’état qui survient quand on tombe dans une situation dangereuse sans y être préparé ; il met l’accent sur le facteur surprise. Je ne crois pas que l’angoisse puisse engendrer une névrose traumatique ; il y a dans l’angoisse quelque chose qui protège contre l’effroi et donc aussi contre la névrose d’effroi.

Auteur: Freud Sigmund

Info: Dans "Au-delà du principe de plaisir" (1920), trad. de l'allemand par Jean Laplanche et J.-B. Pontalis, éditions Payot, Paris, 2010, pages 47-49

[ psychanalyse ] [ ébranlement ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

relation platonique

Tous les fantasmes des nouveaux rapports de couple qui envahiront les générations suivantes, toute la nouvelle combinatoire hypothétique des rapports homme-femme qui va alimenter les espérances du genre humain, semblent trouver dans l’association Auguste [Comte]-Clotilde une première réalisation fragile. Leur amour, décide Comte, est de l’ordre de la "concordance organique". Mais on ne s’unit bien que dans les nuages, c’est au fond le seul lieu où on puisse s’emmêler réellement. En se refusant à lui – qui accepte ce refus avec un enthousiasme déchiré – Clotilde lui a fait subir "une intime initiation affective, dernier complément indispensable de mon entière préparation philosophique, et sans laquelle je ne pouvais remplir assez ma mission finale pour le service fondamental de la grande régénération humaine". De cet entraînement sportif à la non-copulation consentie, naîtra entre autres Le Système de politique positive. Célibat symbolique, chasteté des candidats à la prêtrise. "La grossièreté de mon sexe m’imposait, sans doute, cette orageuse transition pour aboutir au pur état d’une véritable amitié", reconnaît-il en voyant peu à peu son abstinence se transformer en érection religieuse. Il faudra cependant la mort de son amie pour que la dilatation soit complète…
Plus Clotilde lui refuse ses fesses, et plus Auguste Comte refoule ce refus dans la fable d’un culte universel. Plus elle dérobe son sexe et plus l’autel se concrétise. Plus elle se fait sainte et plus il se fait desservant. Plus elle devient comme le nom propre de la frigidité fermée, romantique, sentimentalement bavarde et doucement ployée dans une parodie d’abandon, et plus elle apparaît à ses yeux comme l’Humanité incarnée. L’objet de la religion de l’avenir se dessine à travers une femme censurée qui lui sourit derrière les fouillis blond-gris de sa silhouette, du fond d’une brume langoureuse et d’un amour à des années-lumière de toute possibilité de coït.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Le 19e siècle à travers les âges", pages 140-141

[ sublimation délirante ] [ positivisme ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

taxinomie

Selon Leibniz, la philosophie se rattache aussi bien à la sagesse (par sa finalité pratique : le bonheur) qu’à la science (par la nécessité de disposer de connaissances sûres), sans pour autant se confondre avec l’érudition (qui en est plutôt la préparation). La métaphore retenue pour penser son organisation interne et les rapports entre ses parties n’est pas celle, lullienne et cartésienne, de l’arbre, mais plutôt celle de l’océan. Cette dernière illustre l’unité et la continuité du savoir, où les divisions sont arbitraires, et suggère une vision non strictement hiérarchique des disciplines. L’océan ouvre plusieurs voies d’exploration possibles, offre au voyageur philosophe des "itinéraires" multiples, selon ses intérêts et les buts qu’il poursuit. Le choix de la métaphore marine invite donc à considérer qu’il n’y a pas une manière unique de pratiquer la philosophie. La vérité peut se présenter différemment, occuper des places différentes selon l’ordre adopté (synthétique, analytique, terminologique) et servir diverses fins : car elle n’est jamais (seulement) cherchée par curiosité. Elle ne vaut pas pour elle-même mais pour le bonheur qu’elle promet, ou pour les autres vérités qu’elle permet de découvrir, et dont on peut espérer, finalement, tirer un certain bien.

L’image de l’océan ne suffit pourtant pas à décrire la nature particulière du savoir : il faut lui adjoindre celle du réseau. Les vérités dérivent les unes des autres, forment des chaînes, mais défient les tentatives de classement par les connexions multiples qu’elles établissent au-delà des frontières traditionnelles entre les disciplines. Cette structure réticulaire permet d’augmenter considérablement les usages et les applications possibles d’une vérité et, dans la cartographie du savoir, rend impossible toute assignation à un lieu unique, dans une science déterminée. La vérité est par définition "transdisciplinaire". Chacune est un nœud dans ce réseau universel, nœud par lequel on y pénètre et l’on y peut circuler de différentes manières.

Auteur: Rateau Paul

Info: https://www.cairn.info/ La philosophie et l’idée d’encyclopédie universelle des connaissances selon Leibniz. In Archives de Philosophie 2018/1 (Tome 81), pages 115 à 141. Début de la conclusion

[ taxonomie multidimensionnelle ] [ triades intriquées ] [ citation s'appliquant à ce logiciel ] [ phénétique-cladistique ]

 
Commentaires: 3
Ajouté à la BD par miguel

pessimisme

Il y a d'abord l'intuition de Baudrillard comme quoi le loft atteignit le comble de l'horreur en mettant le néant en exergue. Dans le loft c'est nul, il ne se passe rien, on dépasse les pires histoires de monstres. La véritable horreur.

Il y a cette belle citation de Walter Benjamin : "L'humanité, qui jadis avec Homère avait été objet de contemplation pour les dieux olympiens l'est maintenant devenue pour elle-même, son aliénation d'elle-même a atteint ce degré qui lui fait vivre sa propre destruction comme une sensation esthétique de premier ordre."

La disparition du carnavalesque représente donc l'univers qu'on a perdu, la diversité de la création, la grandeur... où il y avait tellement plus de choses... Alors que nous sommes parti dans une direction, celle de l'homme, qu'on aurait du abandonner dès le début. Nul, voie de garage, impasse...

Dans le Dogville de Lars Von Trier on est dans une situation où il n'y a rien à faire de l'humanité. Dans ce film les hommes de tous les jours, les petites gens, ne sont pas mieux que les personnages de pouvoir... Ils sont juste la préparation de ça, ils vont dans la même direction... Une direction avec laquelle on a rien à faire. Rien. La forme homme est maudite. Intégralement.

Zappa et son mouvement freaks se sont rendu compte que les films d'horreurs devaient être réinvestis de façon carnavalesque. Dimension totalement disparue au 18e siècle et remplacée alors par des romans gothiques, des romans effrayant, les monstres des romans effrayants... Ces freaks/monstres étant les anciens dieux, qu'on a abandonnés, et qui demandent à pouvoir exister dans ce monde qui est visiblement un monde fait pour les hommes...

Donc ils reviennent de façon effrayante.

Freaks parle de ce que le cinéma ne prend pas en charge, non seulement le cirque errant, la parade des singularités, mais aussi la disparition progressive du Carnaval comme réminiscence de l'âge d'Or.

Auteur: Thiellement Pacôme

Info: sur youtube, mis en texte par Mg

[ humanité ] [ télé-réalité ] [ TV ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel