Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 209
Temps de recherche: 0.0516s

corps-esprit

Vous pouvez facilement renforcer l'intention et atténuer ainsi vos douleurs. Le principe est inspiré d'une pratique chamanique :

1. Prenez une grande inspiration par le nez et imaginez que l'expiration sorte a l'endroit de la douleur, comme si l'air passait par la partie en souffrance et la nettoyait.

2. Faites cet exercice au moins dix fois de suite, en vous concentrant sur la visualisation et le souffle, et n'hésitez pas à recommencer tant que la douleur n'a pas disparu. Vous verrez cela fonctionne !

3. Vous pouvez également utiliser une autre technique chamanique : pensez à une espèce animale que vous aimez. Un lion, un éléphant, un tigre, un aigle, un loup, un écureuil... Imaginez que cet animal prenne la taille d'un atome. Tenez-le entre vos doigts et glissez-le dans votre bouche. Amenez-le mentalement à l'endroit de votre douleur, puis imaginez ce qu'il pourrait faire pour vous aider : il lèche l'endroit pour enlever l'inflammation, il soulage les muscles froissés, recoud des déchirure, tient chaud à votre gorge... Il est votre allié et reste à l'intérieur de vous tant que nécessaire. Pensez à le remercier.

 

Auteur: Calestrémé Natacha

Info: La clé de votre énergie, Protocole 4, Renforcer l'intention. Chapitre 7- L'auto-guérison - p.81

[ thérapie ] [ focalisation ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

écriture

- Je suis lassée de baiser, je me sens frigide.. . toutes ces personnes si insipides, j'aspire à autre chose.
- Ah (fit il la saisissant par la nuque doucement, la caressant de son pouce) tu es blasée?
Il se relève et défait doucement sa ceinture, la fixant du regard.
- Donc tu me dis, que tu n'as plus goût à ça, ceci ne t'évoque plus rien ?
Il lui tend au bord des lèvres son chibre en demi dur.
- Tu ne la laverais pas comme à ton habitude avec délice ? Ose la mordre tiens...
- Hum je sais pas, je...
Elle hésite et ne peut s'empêcher, commence à le sucer avec délectation et application. Elle se gave, il la freine.
- Laisse- moi vérifier si ta chatte est encore étroite et sèche, que ça ne te fait rien (il la retourne à genoux et lui relève sa robe, lui écarte les lèvres, trempe ses doigts, elle soupire, il écarte, tâte, lèche , lèche ses doigts et les enfonce, la titille, elle gémit) alors tu es sûre d'être lassée de baiser, tiens prends ma bite chaude et dis- moi que tu n'aimes plus ça, que tu n'es plus inspirée...

Auteur: Morfent Apolonide

Info: la conception des succubes

[ érotisme ] [ porno ]

 

Commentaires: 0

homme-par-femme

Il est photographe, à ses heures perdues. Bambi hoche la tête d'un air complice. La discussion s'engage comme ça, autour de la photographie et de la peau de Bambi qui prend si bien la lumière. Or Bambi le sait parfaitement, le plâtras dont elle est enduite ne laisse pas passer la lumière, ni même la peau ; son visage cache son visage et là où elle est, il fait noir, il n'y a rien à voir. L'homme, de type méridional, fait le mystérieux quant à ses origines, dit qu'il a beaucoup voyagé pour les affaires. Bambi boit ses paroles, en goûte l'odeur aigre sans reculer. Elle a dans ses regards quelque chose de pressant, comme une urgence. Comme si elle avait besoin d'argent, par exemple. Sauf qu'elle s'en fout de l'argent. Elle a juste besoin de tuer l'angoisse, besoin de se retrouver, de reprendre le dessus. Là elle étouffe, là elle ne se reconnaît plus. Si elle met minable ce mec, tout ira mieux. Quelques verres plus tard, il veut lui montrer son studio photo. Bambi n'hésite pas, elle n'attendait que ça. De son portefeuille, il sort plus de pièces que de billets et donne le compte juste, la voiture n'est pas loin...

Auteur: Mulder Caroline de

Info: Manger Bambi

[ proie ] [ gibier ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

Islam

Le concept de harem est intrinsèquement spatial, c'est une architecture où l'espace public, dans le sens occidental du terme, est inconcevable, car il n'y a qu'un espace intérieur où les femmes ont le droit d'exister et un espace masculin extérieur d'où les femmes sont exclues. C'est pour cela que la bataille actuelle de la démocratisation du monde musulman se focalise et tourne jusqu'à l'obsession autour du voile et l'enfermement symbolique des femmes (le monde arabe a l'un des prolétariats féminins les plus misérables du monde), et que dans les sociétés où la crise de l'Etat et sa remise en question sont radicales comme en Algérie, on n'hésite pas à tirer sur celle qui se dévoilent. Car l'accès des femmes dévoilées à la rue, l'école, le bureau et le Parlement est un acte hautement politique et révolutionnaire, comme une revendication immédiate, non-voilée d'un espace public. Une femme voilée accepte la règle, le voile signifie : "je traverse rapidement et secrètement cet espace que je reconnais être masculin". Celle qui se dévoile se revendique comme citoyenne, et bouleverse du coup toute l'architecture non seulement sexuelle mais aussi politique, recréant donc par ce petit geste symbolique un Etat musulman qui reconnait l'existence d'un espace public. [...]

Auteur: Mernissi Fatima

Info: Rêves de femmes : Une enfance au harem

[ féminisme ] [ femmes-hommes ]

 

Commentaires: 0

apparences

Je suis toujours très frappée, lorsque je vais à l'une des grandes manifestations mondaines de mon métier, de lire tant de terreur dans les yeux des femmes - de presque toutes les femmes, jeunes et moins jeunes. Derrière le maquillage, les bijoux, les coiffures impeccables, ces faciès tendus, bridés, ces yeux un peu fixes et durs, tous ces muscles bandés, jusqu'aux fessiers, afin de tendre la peau et éviter que quelque chose ne s'affaisse par inadvertance. Ce qui-vive permanent, ce contrôle ardu de son image n'aident pas, certes, à la souplesse des expressions et à la spontanéité des sourires... Il y a quelque chose de tragique, d'infiniment triste dans cette peur au fond des yeux. Et je ne ris pas, non, car je tremble qu'on ne lise la même peur dans les miens - je la vois si mal cachée derrière une apparente désinvolture. On veut se croire plus fort, mais nul n'est à l'abri. Il faut un tempérament de révolutionnaire pour rejeter sans hésiter cette dictature de l'image, de la jeunesse à conserver à tout prix. Je ne connais guère que Simone Signoret qui ait proclamé que jamais elle ne se ferait arranger la gueule - j'emploie ces mots car ils me furent dits par elle et je les entendis de mes propres oreilles - et qui ait tenu parole.

Auteur: Duperey Anny

Info: Les chats de hasard

[ femmes-par-femmes ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

décor

Quand un voyageur dans le centre nord du Massachusetts prend la mauvaise direction au carrefour du péage d'Aylesbury juste après Dean's Corner, il découvre une campagne étrange et désolée. Le terrain s'élève peu à peu, les murs de pierre bordés de broussailles se pressent de plus en plus vers les ornières de la route sinueuse couverte de poussière. Les arbres des nombreuses zones forestières semblent trop grands, et les herbes sauvages, ronces et graminées manifestent une luxuriance qu'on leur voit rarement dans les régions défrichées. En même temps, les champs cultivés sont singulièrement rares et improductifs ; tandis que les maisons très dispersées présentent un aspect étonnamment uniforme de vieillesse, de misère et de délabrement. Sans savoir pourquoi, on hésite à demander son chemin aux silhouettes noueuses et solitaires aperçues de temps à autre sur un seuil croulant ou dans les prairies en pente semées de rochers. Elles sont tellement silencieuses et furtives qu'on se sent comme en face de choses défendues dont il vaut mieux ne pas se mêler. Quand une côte sur la route révèle les collines au-dessus des bois profonds, le sentiment de vague malaise grandit. Les sommets trop arrondis, trop symétriques pour évoquer un naturel rassurant, et parfois le ciel fait ressortir avec une particulière netteté les cercles bizarres de grandes colonnes de pierre dont la plupart sont couronnés.

Auteur: Lovecraft Howard Phillips

Info: Oeuvres de H.P. Lovecraft, tome 1, L'abomination de Dunwich

[ étrange ] [ inquiétant ] [ unheimlich ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

métaphysique

La quatrième de couverture indique: "C'est un fait que l'on assiste, depuis quelques années, à un "retour" de l'ange, dont les formes sont pour le moins diverses. Certes, l'ange est commode. Patient, messager, virtuel, intemporel ou exterminateur, il est surtout gardien, désormais, d'un homme incapable de se garder lui-même, et semble devoir correspondre à la folie sécuritaire qui s'est emparée de notre monde. L'ange de Fechner, au contraire, ne garde rien, et n'a qu'une vague relation avec notre espèce. Il est cosmique ou cosmologique, et s'il nous regarde de quelque manière, c'est plutôt comme une sentinelle facétieuse, campée devant ce qui nous est destiné, mais que nous ne pouvons voir, terrassés par la peur de ce qui nous semble de plus en plus inacessible : notre propre capacité à imaginer le monde. Tel serait alors aussi l'ange de Fechner : témoin de la perte de nos propres ailes. Paru en 1825, De l'anatomie comparée des anges avait su attirer l'attention d'auteurs tels que William James (qui lui a consacré un essai), Henri Bergson, Alfred Jarry ou Sigmund Freund, qui n'hésite pas à ranger Fechner au panthéon des philosophes sur lesquels il s'est "appuyé". Le petit écrit "Sur la danse" (1824), traduit par Claude Rabant, témoigne également de l'humour et de la force imaginative de ce philosophe né et mort à Leipzig  et qui fut, entre autres, l'inventeur de la psycho-physique.

Auteur: Internet

Info: https://books.google.ch/, à propos de l'Anatomie comparée des anges: suivi de Sur la danse de  Gustav Theodor Fechner, éditions de l’éclat, 1997 - 99 pages

[ supra-esprit ] [ moi supérieur ] [ historique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

égrégore

Bien que les théories spirites soient tirées des "communications" des prétendus "esprits", elles sont toujours en rapport étroit avec les idées qui ont cours dans le milieu où elles s’élaborent ; cette constatation appuie fortement la thèse que nous avons exposée, et d’après laquelle la principale source réelle de ces "communications" se trouverait dans le "subconscient" du médium et des assistants. Nous rappelons qu’il peut d’ailleurs se former une sorte de combinaison des divers "subconscients" en présence, de façon à donner tout au moins l’illusion d’une "entité collective" ; nous disons l’illusion, parce qu’il n’y a que les occultistes qui, avec leur manie de voir en tout et partout des "êtres vivants" (et ils reprochent aux religions leur prétendu anthropomorphisme !), peuvent se laisser prendre aux apparences jusqu’à croire qu’il s’agit là d’un être véritable. Quoi qu’il en soit, la formation de cette "entité collective", si l’on veut conserver cette façon de parler, explique le fait, remarqué par tous les spirites, que les "communications" sont d’autant plus nettes et plus cohérentes que les séances sont tenues plus régulièrement et toujours avec les mêmes assistants ; aussi insistent-ils sur ces conditions, même sans en connaître la raison, et hésitent-ils souvent à admettre de nouveaux membres dans des groupes déjà constitués, préférant les engager à former d’autres groupes ; du reste, une réunion trop nombreuse se prêterait mal à l’établissement de liens solides et durables entre ses membres.

Auteur: Guénon René

Info: Dans "L'erreur spirite", Editions traditionnelles, 1952, page 135

[ démystification ] [ influence ] [ modes consensus ] [ psycho-sociologie ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

question

Une variante particulièrement pernicieuse du mensonge est celle du mensonge dit "utile". Faut-il donner des témoignages "arrangés", si c'est pour la bonne cause ? Doit-on dramatiser, si c'est la seule façon de faire passer le message ? Comment passionner l'opinion sur un sujet et qu'elle apporte sa contribution financière, alors que tant de catastrophes se bousculent sur nos écrans, famines, massacres ou tremblements de terre ? Il faut faire du tapage disent les uns, sinon vous n'êtes pas écouté dans le tohu-bohu médiatique. Ce n'est pas faux. D'autres hésitent. Ils ont raison. Les meilleures photos de guerre sont souvent "bidonnées", c'est à dire reconstituées "après". En pleine opération, il y a trop de fumée et de bruit, sans parler du danger, pour prendre des documents de qualité permettant la reproduction. La photo du pilote d'un avion détourné par des terroristes, un pistolet braqué sur la tête, a fait le tour du monde. Elle a été "organisée" très cher à la suite d'un marché en dollars entre les intéressés, y compris les terroristes, à l'initiative d'un correspondant de presse. La photo est bonne, elle a fait parler du terrorisme et de ses dangers. Certes, mais est-ce suffisant pour justifier la mise en scène ? "Et comment marquer la limite, à quel moment crier : holà ? Qu'il s'agisse de "charité-business", de couverture de l'actualité, de propagande intéressée ou non, on est désormais à la limite du mensonge politique, et souvent du mauvais côté.

Auteur: Deniau Jean-François

Info: Ce que je crois, Grasset, LdP 1992 p.122

[ médias ]

 

Commentaires: 0

inspiration

Je m'adresse aux esprits humains sublimes, qui se sont jamais trouvés en des moments pour ressentir un tel état, et je demande si, après la réalisation d'un grand rêve, vous n'avez pas été vous-mêmes étonnés devant votre propre travail et si vous n'avez pas adressé à votre propre conscience la demande :

- Est-ce moi qui ai fait cela ?

Eh bien, oui et non !

C'est vous en vérité qui avez travaillé ainsi, mais à votre Moi s'est mêlé un autre Moi, une autre force, qui a doublé en quelque proportion l'intensité de votre pensée individuelle.

Les Grecs anciens avaient aussi parfaitement la conscience de ce phénomène, et c'est pour cela qu'ils avaient consacré figurativement l'existence des neuf Muses, chacune exclusivement correspondant à chaque espèce de manifestation de l'esprit humain. Avant tout travail le noble travailleur intellectuel invoquait la Muse convenable, ou - pour être expliqué conformément aux termes de notre théorie - il lançait un courant de fluide N, qui attirait près de lui toute colonne N du vide (par le moyen de la coattraction de toute idée homogène et par l'attraction du pôle N du cerveau vers le pôle P de la colonne N du vide, à savoir du périsprit du Spirit) et ainsi l'idée humaine et l'idée spirituelle se fondaient en une et la même manifestation torrentueuse, comme il arrive même aujourd'hui aux hommes défiants et ingrats à cette assistance...

Auteur: Arcas Pol

Info: in "Le secret de la vie, traité original physiologique et psychologique" - Pol Arcas est, d'après le catalogue de la Bnf, le pseudonyme de Polynios Dimitrakopoulos - si quelqu'un a une définition du "périsprit", qu'il n'hésite à la donner - pour ma part, je n'ai pas assez avancé dans les subtilités de la théorie de Mr. Pol Arcas pour m'en être formé une notion claire...

[ explication scientifique ] [ mythe ] [ hypothèse nébuleuse ] [ méthodologie ]

 
Commentaires: 4
Ajouté à la BD par Benslama