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spiritualité hindoue

[Le tantrisme] n’est pas une religion nouvelle, comme le fut, par exemple, le bouddhisme, mais plutôt une étape importante dans l’évolution de chacune des principales religions indiennes, une nouvelle modalité d’être de chacune de ces religions (car il y a un tantrisme bouddhiste, un autre hindouiste, et il y a des traces même d’un tantrisme jaina). […] Le tantrisme devient, après le Ve siècle après Jésus-Christ, une "mode" religieuse pan-indienne. On le rencontre partout, et sous d’innombrables formes : iconographie, rituel, méditations, mystique, physiologie et érotique mystiques, etc. Du point de vue formel, le tantrisme se présente comme une nouvelle manifestation triomphante du çaktisme, relevant tant de l’hindouisme que du bouddhisme. La force secrète (çakti) qui anime le Cosmos et soutient les dieux […] est fortement personnifiée : c’est la Déesse, Epouse et Mère. […] Le dynamisme créateur revient à la Déesse ; et chaque dieu est flanqué d’une divinité féminine, qui est sa "force" (çakti). […]
Certes, le tantrisme est un retour à "la religion de la Mère", religion qui fut jadis prédominante dans une vaste aire égéano-afrasiatique, et qui n’a jamais cessé d’être la principale manière de dévotion chez les nombreuses populations autochtones de l’Inde. En ce sens, l’irrésistible poussée tantrique signifie également une nouvelle victoire des souches populaires, pré-aryennes, qui, encore une fois, ont réussi à faire valoir leur structure religieuse, leur besoin de culte, de liturgie, d’iconographie, i.e. d’une dévotion personnelle, d’expérience mystique. Dans certaines sectes tantriques, la femme elle-même devient une chose sacrée, une incarnation de la Mère.

Auteur: Eliade Mircea

Info: Dans "Techniques du yoga" pages 215-216

[ caractéristiques ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

inconscient

Préalablement à toute symbolisation - cette antériorité n'est pas chronologique, mais logique - il y a une étape, les psychoses le démontrent, où il se peut qu'une part de la symbolisation ne se fasse pas. Cette étape première précède toute la dialectique névrotique qui tient à ce que la névrose est une parole qui s'articule, pour autant que le refoulé et le retour du refoulé sont une seule et même chose. Il peut ainsi se faire que quelque chose de primordial quant à l’être du sujet n’entre pas dans la symbolisation, et soit, non pas refoulé, mais rejeté.

Ce n’est pas démontré. Ce n’est pas non plus une hypothèse. C’est une articulation du problème. La première étape n’est pas une étape que vous ayez à situer quelque part dans la genèse. [...] ne vous laissez pas fasciner par ce moment génétique. Le jeune enfant que vous voyez jouer à faire disparaître et revenir un objet, et qui s’exerce par là à l’appréhension du symbole, vous masque, si vous vous laissez fasciner par lui, le fait que le symbole est déjà là, énorme, l’englobant de toute part, que le langage existe, qu’il remplit les bibliothèques, qu’il en déborde, qu’il encercle toutes vos actions, qu’il les guide, qu’il les suscite, que vous êtes engagés, qu’il peut vous requérir à tout instant de vous déplacer, et vous mener quelque part. Tout cela, vous l’oubliez devant l’enfant en train de s’introduire dans la dimension symbolique. Donc, plaçons-nous au niveau de l’existence du symbole comme tel, en tant que nous y sommes immergés.

Auteur: Lacan Jacques

Info: Dans le "Séminaire, Livre III", "Les psychoses", éditions du Seuil, 1981, pages 131-132

[ forclusion ] [ origine du référentiel humain ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

objectivité diachronique

Les cultures opèrent leur filtrage en nous disant ce qu'il faut conserver et ce qu'il faut oublier. Dans ce sens-là, elles nous offrent un terrain commun d'entente, y compris à l'égard des erreurs.Vous pouvez comprendre la révolution qu'opère Galilée seulement à partir des théories de Ptolémée. Il nous faut partager l'étape Ptolémée pour accéder à l'étape Galilée et nous rendre compte que le premier s'était trompé. Toute discussion entre nous ne peut se faire que sur la base d'une encyclopédie commune. Je peux même vous démontrer que Napoléon n'a jamais existé - mais seulement parce que nous avons appris tous les trois qu'il a existé. C'est là la garantie de la continuité du dialogue. Ce sont des grégarismes qui autorisent le dialogue, la création et la liberté. Avec Internet, qui vous donne tout et vous condamne, comme vous venez de le dire, à opérer un filtrage non plus par la médiation de la culture mais de votre propre chef, nous courrons le risque de disposer désormais de six milliards d'encyclopédies. Ce qui empêchera toute entente. C'est un peu de la science fiction, car il y aura toujours des forces qui pousseront les gens à adhérer aux même croyances, je veux dire qu'il y aura toujours l'autorité reconnue de ce qu'on appelle la communauté scientifique internationale, à laquelle nous faisons confiance parce que nous voyons qu'elle est capable de revoir et corriger de façon publique ses conclusions, et cela chaque jour. C'est à cause de notre confiance dans la communauté scientifique que nous croyons dur comme fer que la racine carrée de 2 est 1,4142135... etc.

Auteur: Eco Umberto

Info: N'espérez pas vous débarrasser des livres, P. 88-89

[ tri ] [ mémoire collective ] [ évolution ] [ historique ]

 

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sciences

Nous savons tous intuitivement que les liquides ordinaires s'écoulent plus rapidement au fur et à mesure que le canal dans lequel ils se trouvent se resserre, à l'instar d'une rivière qui trouve son chemin dans une succession de rapides de plus en plus étroits.
Mais qu'arriverait-il si le tuyau était si minuscule que seuls quelques atomes d'hélium superfluide pouvaient s'échapper de son extrémité en même temps ? Selon un modèle de la mécanique quantique établi depuis longtemps, l'hélium superfluide se comporterait différemment d'un liquide ordinaire: loin d'accélérer, il ralentirait.
Une équipe de chercheurs de l'Université McGill et de collaborateurs de l'Université du Vermont et de l'Université de Leipzig, en Allemagne, a réussi à réaliser une expérience dans le plus petit canal jamais utilisé - un microcanal de moins de 30 atomes de diamètre. Les chercheurs révèlent que l'écoulement de l'hélium superfluide dans ce robinet miniature semble effectivement ralentir.
"Les résultats que nous avons obtenus suggèrent qu'un robinet quantique adopte effectivement un comportement fondamentalement différent", affirme Guillaume Gervais, professeur de physique à McGill, qui a dirigé le projet. "Nous n'en avons pas encore la preuve irréfutable, mais nous croyons avoir franchi une étape importante vers la confirmation expérimentale de la théorie de Tomonaga-Luttinger dans un véritable liquide."
Les résultats de cette étude pourraient un jour contribuer à la mise au point de nouvelles technologies, comme des nanocapteurs dotés d'applications dans les systèmes GPS. Mais pour l'instant, affirme le professeur Gervais, les résultats sont intéressants simplement "parce qu'ils repoussent les limites de la compréhension des choses à l'échelle nanométrique. Nous approchons de la zone grise où tous les concepts physiques changent."

Auteur: Science Advances

Info: Internet 17 mai 2015

[ nanomonde ]

 

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univers-bloc

Bohm pense que c'est pareil à notre propre niveau d'existence. L'espace n'est pas vide. Il est plein, en opposition à notre idée du vide, et il constitue le fondement de l'existence de tout, y compris de nous-mêmes. L'univers n'est pas séparé de cette mer cosmique d'énergie, il est une ondulation à sa surface, le "modèle d'une dynamique" relativement petit au sein d'un océan inimaginablement vaste. "Ce modèle est relativement autonome et donne lieu à des projections relativement répétitives, stables et distinctes dans un ordre de manifestation tridimensionnel", déclare Bohm. 

En d'autres termes, malgré son apparente matérialité et sa taille gigantesque, l'univers n'existe pas en soi, mais est l'enfant de quelque chose de beaucoup plus vaste et ineffable. Plus encore, il n'est même pas une production majeure de ce quelque chose de plus vaste, mais seulement une ombre passagère, un simple hoquet dans le grand schéma des choses. Cette mer infinie d'énergie n'est pas la totalité de ce qui est enveloppé dans l'ordre implicite. Parce que l'ordre implicite est le fondement qui a donné naissance à tout ce qui existe dans notre univers, il contient aussi, au minimum, chaque particule subatomique qui a été ou sera ; chaque configuration de matière, d'énergie, de vie et de conscience qui est possible, des quasars au cerveau de Shakespeare, de la double hélice aux forces qui contrôlent la taille et la forme des galaxies. Et même cela n'est pas tout ce qu'elle peut contenir. Bohm concède qu'il n'y a aucune raison de croire que l'ordre implicite est la fin des choses. Il peut y avoir d'autres ordres insoupçonnés au-delà, des étapes infinies de développement ultérieur."

Auteur: Talbot Michael Coleman

Info:

[ multivers ] [ niveaux vibratoires ]

 

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manque de l'objet

En mettant l’accent sur la notion de frustration, nous ne dérogeons pas beaucoup à la notion mise par Freud au centre de la conflictualité analytique, qui est celle de désir. [...]

La notion de frustration, quand elle est mise au premier plan de la théorie analytique, se rapporte au premier âge de la vie. Elle est liée à l’investigation des traumas, fixations, impressions, provenant d’expériences préœdipiennes. Cela n’implique pas qu’elle soit extérieure à l’Œdipe – elle en donne en quelque sorte le terrain préparatoire, la base et le fondement. [...]

Quel est le mode de relation à l’objet qui est en jeu dans la frustration ? Il introduit manifestement la question du réel. Voici en effet qu’avec la notion de frustration s’introduit dans le conditionnement, le développement du sujet, tout un cortège de notions que l’on traduit dans un langage de métaphores quantitatives – on parle de satisfaction, de gratification, d’une certaine somme de bienfaits adaptés, adéquats, à chacune des étapes du développement du jeune sujet, et dont la plus ou moins complète saturation, ou au contraire carence, est ainsi considérée comme un élément essentiel. [...]

La frustration est donc considérée comme un ensemble d’impressions réelles, vécues par le sujet à une période du développement où sa relation à l’objet réel est centrée d’habitude sur l’imago dite primordiale du sein maternel, par rapport à quoi vont se former chez lui ce que j’ai appelé tout à l’heure ses premiers versants et s’inscrire ses premières fixations, celles qui ont permis de décrire les types des différents stades instinctuels. [...] Bref, nous avons ici l’anatomie imaginaire du développement du sujet.

Auteur: Lacan Jacques

Info: dans le "Séminaire, Livre IV", "La relation d'objet", éditions du Seuil, 1994, pages 82 à 84

[ mythe psychanalytique ] [ inassouvissement ]

 
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cheminement initiatique

Les "petits mystères" comprennent tout ce qui se rapporte au développement des possibilités de l’état humain envisagé dans son intégralité ; ils aboutissent donc à ce que nous avons appelé la perfection de cet état, c’est-à-dire à ce qui est désigné traditionnellement comme la restauration de l’"état primordial". Les "grands mystères" concernent proprement la réalisation des états supra-humains : prenant l’être au point où l’ont, laissé les "petits mystères", et qui est le centre du domaine de l’individualité humaine, ils le conduisent au delà de ce domaine, et à travers les états supra-individuels, mais encore conditionnés, jusqu’à l’état inconditionné qui seul est le véritable but, et qui est désigné comme la "Délivrance finale" ou comme l’"Identité Suprême". Pour caractériser respectivement ces deux phases, on peut, en appliquant le symbolisme géométrique, parler de "réalisation horizontale" et de "réalisation verticale", la première devant servir de base à la seconde; cette base est représentée symboliquement par la terre, qui correspond au domaine humain, et la réalisation supra-humaine est alors décrite comme une ascension à travers les cieux, qui correspondent aux états supérieurs de l’être. Il est d’ailleurs facile de comprendre pourquoi la seconde présuppose nécessairement la première : le point central de l’état humain est le seul où soit possible la communication directe avec les états supérieurs, celle-ci s’effectuant suivant l’axe vertical qui rencontre en ce point le domaine humain ; il faut donc être parvenu d’abord à ce centre pour pouvoir ensuite s’élever, suivant la direction de l’axe, aux états supra-individuels ; et c’est pourquoi, pour employer le langage de Dante, le "Paradis terrestre" est une étape sur la voie qui mène au "Paradis céleste".

Auteur: Guénon René

Info: Dans "Aperçus sur l'initiation", Éditions Traditionnelles, 1964, page 249

[ symbolisme de la croix ] [ progression ]

 
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zen

Question: - Quand les gens entendent parler de cette luminosité qui se lève au moment de la mort, ils se demandent pourquoi on la nomme "claire lumière". Qu'est-ce que cela a à voir avec la lumière que nous connaissons ? Dalai Lama : - Je ne pense pas que la terminologie claire lumière doive être prise au pied de la lettre. C'est une sorte de métaphore qui a ses racines dans notre volonté de nommer les choses. Selon le bouddhisme toute conscience ou tout événement cognitif mental est censés être dans une nature de clarté et de luminosité. C'est donc de ce point de vue que le choix du terme lumière est utilisé. "Claire lumière" est le niveau le plus subtil de l'esprit, qui peut être considéré comme la base ou la source à partir de laquelle une expérience éventuelle de bouddhéité, de réalisation de la sagesse de Bouddha, pourrait survenir. La claire lumière est un état de l'esprit qui ne devient pleinement manifeste qu'à la suite de séquences, ou étapes de dissolution, par lesquelles l'esprit se libère de certaines entraves, décrites métaphoriquement par des mots comme lumière du soleil, clarté lunaire ou obscurité, qui pourront tenter de décrire les trois premières étapes d'une dissolution techniquement nommée, y compris le stade de claire lumière, les quatre vacuités. Au stade final de cette dissolution l'esprit est totalement libre de toute entrave, de tout facteur d'obscurcissement. Par conséquent, on peut l'appeler claire lumière. Une sorte de lumière. On peut également comprendre cette expression de claire lumière en termes de la nature même de l'esprit. L'esprit, ou la conscience, est un phénomène dépourvu de tout empêchement. Il est non obstrué.

Auteur: Dalaï Lama

Info:

[ NDE ] [ libération ] [ nirvana ] [ ouverture ] [ mort imminente ]

 

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métaphysique

Le but réel de l’initiation, ce n’est pas seulement la restauration de l’"état édénique", qui n’est qu’une étape sur la route qui doit mener bien plus haut, puisque c’est au-delà de cette étape que commence vraiment le "voyage céleste" ; ce but, c’est la conquête active des états "supra-humains", car, comme Dante le répète après l’Évangile, "Regnum cœlorum violenza pate…", et là est une des différences essentielles qui existent entre les initiés et les mystiques. Pour exprimer les choses autrement, nous dirons que l’état humain doit d’abord être amené à la plénitude de son expansion, par la réalisation intégrale de ses possibilités propres (et cette plénitude est ce qu’il faut entendre ici par l’"état édénique") ; mais, loin d’être le terme, ce ne sera encore là que la base sur laquelle l’être s’appuiera pour "salire alle stelle", c’est-à-dire pour s’élever aux états supérieurs, que figurent les sphères planétaires et stellaires dans le langage de l’astrologie, et les hiérarchies angéliques dans le langage théologique. Il y a donc deux périodes à distinguer dans l’ascension, mais la première, à vrai dire, n’est une ascension que par rapport à l’humanité ordinaire : la hauteur d’une montagne, quelle qu’elle soit, est toujours nulle en comparaison de la distance qui sépare la Terre des Cieux ; en réalité, c’est donc plutôt une extension, puisque c’est le complet épanouissement de l’état humain. Le déploiement des possibilités de l’être total s’effectue ainsi d’abord dans le sens de l’"ampleur", et ensuite dans celui de l’"exaltation", pour nous servir de termes empruntés à l’ésotérisme islamique ; et nous ajouterons encore que la distinction de ces deux périodes correspond à la division antique des "petits mystères" et des "grands mystères".

Auteur: Guénon René

Info: Dans "L'Ésotérisme de Dante", éditions Gallimard, 1957, pages 47-48

[ phases ]

 

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conflit intérieur

En physique, plus des particules de même charge s’approchent l’une de l’autre, plus s’accroît la force de répulsion, jusqu’à ce que, ayant dépassé une certaine limite, elles fusionnent. Psychologiquement, l’approche de la part inconsciente de la personnalité et de ce noyau intérieur qu’est le Soi produit souvent des effets semblables, c’est-à-dire une réaction simultanée d’attraction et de terreur : on veut et on ne veut pas l’atteindre, on est repoussé à l’extrême sans être capable de s’en éloigner ni d’abandonner le contact. On voit certaines personnes rester en suspens pendant des années entre ce "oui" et ce "non" avant que ne se produise l’instant de détente qui permettra de franchir le seuil de répulsion du Soi. Parfois, et ce n’est pas seulement dans ces moments très importants, on sent que l’inconscient va proposer quelque chose, et l’on se dit : "Très bien, j’accepte tout, mais j’espère pourtant que ce ne sera pas ceci ou cela." Et l’on peut être certain que ce sera justement "ça" ! On avait une intuition que cette chose dont on disait : "J’accepte de faire face à n’importe quoi, sauf à cela" faisait déjà partie de la personnalité et de son destin.
Très souvent, les étapes ou les épisodes les plus importants de la vie sont entourés d’une nuée de résistances et de peurs de ce genre. Si l’on est tout à fait honnête avec soi-même, on ne sait même pas ce qui domine, du désir ou de la crainte, car les deux s’équilibrent. Cet étrange sentiment qui nous conduit à penser : "Je sais que cela me concerne, mais je n’en veux pas." semble caractériser les domaines de réalisation que le Soi nous propose.

Auteur: Franz Marie-Louise von

Info: Dans "L'individuation dans les contes de fées"

[ stase psychologique ] [ tournant de la vie ]

 

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