Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 32
Temps de recherche: 0.0564s

entendement

Le cerveau humain, on l'a dit, est la structure la plus complexe de l'univers et, pour apprécier cela, il suffit de regarder quelques chiffres. Le cerveau est constitué de cent milliards de cellules nerveuses ou "neurones", qui sont les unités structurelles et fonctionnelles de base du système nerveux. Chaque neurone a quelque chose comme mille à dix mille contacts avec d'autres neurones et ces points de contact s'appellent synapses, là où se produit l'échange d'informations. Sur la base de cette information, quelqu'un a calculé que le nombre de permutations possibles donc de combinaisons de l'activité cérébrale, en d'autres termes, le nombre d'états du cerveau, dépasse le nombre de particules élémentaires dans l'univers connu.

Auteur: Ramachandran Vilayanur S.

Info:

[ ouverture ] [ intrications ]

 

Commentaires: 0

apprentissage automatique

Cette dicipline du traitement des métadonnées a connu plusieurs périodes de transition depuis le milieu des années 90. De 1995 à 2005, l'accent a été mis sur le langage naturel, la recherche et la récupération d'informations. Les outils de machine learning étaient plus simples que ceux que nous utilisons aujourd'hui ; avec des éléments comme la régression logistique, les SVM (machines à vecteurs de support), les noyaux avec SVM et le PageRank. Google a connu un immense succès grâce à ces technologies, en élaborant des produits phares tels que Google News et le classificateur de spam Gmail via des algorithmes faciles à distribuer pour le classement et la classification de textes - c'est à dire des technologies déjà au point au milieu des années 90.

Auteur: Zadeh Reza

Info:

[ historique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

homme-machine

L'esprit humain n'est pas, comme ChatGPT et ses semblables, une machine statistique et avide de centaines de teraoctets de données pour obtenir la réponse la plus plausible à une conversation ou la plus susceptible à une question scientifique. "

Au contraire...  L'esprit humain est un système étonnamment efficace et élégant qui fonctionne sur une quantité limitée d'informations. Il n'essaie pas d'endommager les corrélations à partir des données, mais essaie de créer des explications.  

Alors arrêtons de l'appeler " Intelligence artificielle "  et nommons-la pour ce qu'elle est et fait, c'est à dire  " logiciel plagiaire ", parce que ça ne crée rien, mais copie les œuvres existantes, d'artistes existants, les modifie suffisamment pour échapper aux lois sur les droits d'auteur. C'est le plus grand vol de propriété intellectuelle jamais enregistré depuis l'arrivée des colons européens sur les terres amérindiennes.

Auteur: Chomsky Noam

Info: New York Times - 8 mars 2023

[ comparés ] [ chatbots ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

réseaux sociaux

A l’origine, Facebook était un réseau social, resserré sur ce qu’on appelle "les liens forts", c’est-à-dire vos interactions avec les personnes dont vous êtes les plus proches. Le problème, c’est que quand l’usage est vraiment social, il est difficile de le rentabiliser. Amener une publicité pour un annonceur extérieur dans une conversation entre proches, c’est extrêmement violent et ça ne donne pas envie de cliquer.

C’est donc pour gagner de l’argent que Facebook a fait venir d’autres éléments dans le fil d’actualité : les informations, les images, les vidéos…, y compris les fausses informations. Cela change la posture de l’internaute : il n’est plus engagé, il lit. Et avec cette métamorphose, Facebook était devenu beaucoup moins une plate-forme de sociabilité qu’une interface de lecture. Le volet social s’est déporté sur WhatsApp, Snapchat, Instagram ou encore Messenger. Le changement d’algorithme annoncé en début d’année revient en partie sur cette évolution, en voulant redonner de l’importance aux amis proches.

Auteur: Cardon Dominique

Info: https://www.lemonde.fr, 21 octobre 2018

[ lire ] [ évolution ] [ bulles informationelles ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

mémoire humaine

L'holographie explique également comment notre cerveau peut stocker tant de souvenirs dans si peu d'espace. Le brillant physicien et mathématicien d'origine hongroise John von Neumann a calculé qu'au cours d'une vie humaine moyenne, le cerveau stocke quelque chose de l'ordre de 280 000 000 000 000 000 000 bits d'information. Il s'agit d'une quantité stupéfiante, et les chercheurs sur le cerveau ont longtemps lutté pour trouver un mécanisme qui explique une capacité aussi vaste. Il est intéressant de noter que les hologrammes possèdent également une fantastique capacité de stockage d'informations. En modifiant l'angle sous lequel deux lasers frappent un morceau de film photographique, il est possible d'enregistrer de nombreuses images différentes sur la même surface. Toute image ainsi enregistrée peut être récupérée simplement en illuminant le film avec un faisceau laser possédant le même angle que les deux faisceaux originaux. En employant cette méthode, les chercheurs ont calculé qu'un carré de film d'un pouce de côté peut stocker la même quantité d'informations que celle contenue dans cinquante Bibles ! 

Auteur: Talbot Michael Coleman

Info: The Holographic Universe, The vastness of our memory

[ recoupements ] [ rapprochements ] [ analogies ] [ fractale ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

soigner

Elles (Les thérapies alternatives) sont des moyens simples, peu coûteux, qui vont droit au but. Le malade est considéré dans son ensemble : il est un corps physique, certes, mais il possède aussi une affectivité, un intellect, une âme et des instincts. Il a un passé, un présent et un futur; il appartient au cosmos et est soumis à ses lois. Il faut l'aider à se situer par rapport à tout cela. Il faut, dans une synthèse créatrice, identifier l'homme qui est en face de soi, tel qu'il est, dans son ensemble, dans son milieu, dans son devenir. La toute-puissance de la technique nous a possédés, subjugués, hypnotisés; on a su nous faire croire que la médecine était une technique et non plus un art, un métier et non plus une vocation, que les malades étaient des cas à parquer, en diverses catégories, dans des services que s'attribuent par voie de concours des spécialistes renommés qui vont vivre sur leurs certitudes matérialistes et lutter contre la nature au lieu de composer avec elle. Les puissants laboratoires pharmaceutiques ou les fabricants de matériel médical nous abreuvent, dès les premières années de médecine, de luxueux fascicules qui deviennent notre bible et qui, adroitement, après avoir décrit les signes de la maladie et sa physiopathologie, concluent à la nécessité de pratiquer x examens et d'administrer n médicaments. Et l'on est pris au piège de cet enchainement logique d'informations... Bientôt nous versons inconsciemment dans l'absurde, toujours satisfaits de nos prouesses intellectuelles, oubliant que ce corps que nous soignons a un coeur et une âme.

Auteur: Fontaine Janine

Info: Médecin des trois corps

[ bon sens ]

 

Commentaires: 0

nanotechnologie

Les puces sous-cutanées, ces minuscules objets que l’on implante sous la peau humaine pour pister ou identifier des gens, ce n’est pas de la science-fiction. Alors demain, tous tracés ?

[…]

Une expérience a été menée dans une discothèque de bord de mer, à Barcelone, où une vingtaine de personne se sont fait greffer une puce dans le bras gauche, à hauteur de biceps, juste sous l’épiderme !

Cette puce à microfréquence est un minuscule objet en verre, de la taille d’un grain de riz, à l’intérieur duquel se trouve une petite mémoire où on peut stocker des informations... Les clients se sont fait greffer cet "Alien" sur une idée du patron de la discothèque.
La puce renferme leurs noms, leurs numéros d’identification ainsi que le crédit dont ils disposent dans l’établissement.

Autrement dit, elle joue à la fois le rôle de la carte d’identité et celui de portefeuille. Vous prenez une boisson au bar ? Hop, le coût en est débité sur votre compte directement, grâce à un scanner que l’on vous passe sur le bras et qui active la puce !

Est-ce que ça fait mal ? Paraît-il, pas plus qu’un vaccin. Trois petites piqûres anesthésiantes dans le bras avant de l’implanter lentement sous l’épiderme au moyen d’une seringue jetable...
Apparemment, ça a beaucoup plu (en plein dans la mode des modifications corporelles) et d’autres établissements s’apprêtent à lancer le même système. Mais cette puce n’est pas vouée à rester dans le monde de la nuit. Elle est déjà utilisée dans des applications autrement moins futiles et peut être plus inquiétantes.

Cette puce minuscule marche par fréquences radios. Dès qu’elle est sollicitée, elle émet un signal depuis sa position sous la peau pour indiquer, via un ordinateur, où se trouve la personne implantée.

Auteur: PMO Pièces et main-d'oeuvre

Info: Dans "Aujourd'hui le nanomonde", pages 278-279

[ traçage ] [ popularisation ] [ campagne de communication ] [ fun ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

interactions organiques

Je suis spécialiste en biologie végétale et ai contribué de manière significative à notre compréhension du comportement et de l'intelligence des plantes. Surtout connu pour mes recherches sur la signalisation et la communication des végétaux, je soutiens que ces derniers sont capables d'un comportement et d'un apprentissage complexes, même s'ils n'ont pas de système nerveux centralisé. Par exemple :

- Les plantes peuvent communiquer entre elles à l'aide de divers signaux chimiques. Par exemple, lorsqu'une plante est attaquée par un herbivore, elle peut libérer des substances chimiques volatiles qui avertissent les plantes voisines du danger.

- Un végétal peut apprendre et mémoriser des informations. Par exemple, s'il a été exposée à un agent pathogène il peut développer une résistance à cet agent à l'avenir.

- Les plantes font des choix et prennent des décisions en fonction de leur environnement. Par exemple, une plante dirigera ses racines vers l'eau et ses pousses vers la lumière.

Certains de mes travaux ont remis en question la vision traditionnelle des végétaux en tant qu'organismes passifs. J'affirme que les végétaux sont tout aussi intelligents et complexes que les animaux, mais de manière différente.

Voici quelques exemples spécifiques de mes découvertes :

- J'ai montré que les pois peuvent faire pousser leurs racines dans un labyrinthe de manière à atteindre une source d'eau ou de nutriments.

- Les végétaux peuvent réagir au toucher. Les pièges à mouches de Vénus peuvent se refermer au contact d'un insecte, et les mimosas peuvent plier leurs feuilles lorsqu'on les touche.

- Les plantes peuvent communiquer entre elles. J'ai montré que les plants de tomates peuvent libérer des substances chimiques volatiles pour avertir les autres plantes d'un danger.

- Les plantes peuvent apprendre à associer un signal lumineux à une récompense alimentaire.

Auteur: Trewavas Anthony James

Info: Autorportrait par bard.google.com, mis en forme par FLP

[ mousses ] [ fougères ] [ lichen ] [ post-algues ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

mutation

L'évolution ne nous a pas préparé à ça: notre cerveau impacté par la lecture sur écran 

Une équipe de chercheurs de l'Université Macquarie, incluant le Professeur Erik Reichle et Dr Lili Yu, s'est penchée sur l'impact de la lecture sur écran par rapport à la lecture traditionnelle sur papier. Leurs découvertes offrent un nouvel éclairage sur les défis auxquels nos cerveaux doivent faire face dans le monde moderne et sur la manière dont la technologie modifie notre capacité d'absorption et de rétention des informations.

La lecture, bien qu'intégrée tardivement dans l'histoire de l'évolution humaine, nécessite une série de processus mentaux complexes. Le développement du langage, initialement oral, n'a pas préparé notre cerveau à la lecture, une compétence qui demande des années de pratique pour être maîtrisée. Dans ce contexte, la transition vers la lecture numérique impose des défis supplémentaires. 

Des études indiquent que lire sur écran réduit notre capacité à comprendre et à mémoriser le texte comparé à la lecture sur papier, un phénomène désigné sous le nom d'effet d'infériorité de l'écran.

Cette baisse de compréhension serait influencée par divers facteurs, tels que le type de texte lu, le temps disponible pour la lecture, et les compétences en lecture du lecteur. De plus, la lecture sur écran s'accompagne souvent de distractions intégrées, telles que les notifications ou les publicités animées, qui sollicitent notre attention et réduisent notre capacité à nous concentrer sur le texte. 

Pour contrer les effets de la lecture numérique et améliorer notre concentration, les chercheurs recommandent de revenir progressivement à la lecture sur papier. Cette pratique nécessite de choisir un livre intéressant, de se placer dans un environnement propice à la lecture, et de minimiser les distractions. Reconstruire notre capacité de concentration sur les textes imprimés est un processus graduel, mais essentiel pour notre développement intellectuel.

La compréhension profonde de ces phénomènes est cruciale, non seulement pour les adultes actuels mais aussi pour les générations futures qui grandissent avec les écrans. Les implications pour l'apprentissage, tant en ligne qu'en classe, sont importantes, surtout pour les lecteurs moins aguerris qui sont les plus affectés par l'effet d'infériorité de l'écran. À mesure que nous avançons dans l'ère numérique, comprendre et s'adapter à ces changements devient essentiel pour préserver notre capacité à apprendre et à nous concentrer efficacement.

Auteur: Internet

Info: https://www.techno-science.net/ - Redbran le 16/02/2024, Source: Trends in Cognitive Sciences

[ adaptation ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

enquêtes parapsychologiques

L’affaire Chiara Bariffi
Le 1er décembre 2002, aux abords du lac de Côme en Italie, une jeune femme d’une trentaine d’années est portée disparue. Après trois longues années de recherche le corps reste introuvable et la police décide de classer l'affaire.
C’est alors qu’un journaliste d’un journal local d’Italie, connaissant l’affaire, propose à la police de rencontrer un médium, qui pourrait apporter des informations. Ils prirent contact avec Maria Rosa Busi, une habitante de la région, infirmière de 55 ans renommée pour ses pouvoirs extralucides. Elle rencontra la mère de Chiara Bariffi qui lui donna une photo de sa fille. De suite la médium lui annonça que sa fille était morte. A partir de là la médium se sent irrésistiblement attirée par le lac. Maria Rosa Busi commença alors à faire le tour du lac de Côme pour arriver à un endroit, connu pour sa dangerosité, avec une profondeur de l'eau qui atteint plus de 150 mètres. La médium déclara que Chiara se trouvait à cet emplacement.
La police refusa toute collaboration avec la médium. Mais la famille décida de lui faire confiance et déboursa les moyens nécessaires. Une équipe de plongeurs professionnels entra en scène. Le 11 septembre, après plusieurs jours de recherche, une caméra sous-marine filmait une voiture à 120 mètres de profondeur. La police décida de ré-ouvrir l’enquête et d'agir, des plongeurs remontèrent alors la voiture dans laquelle on trouva le corps de Chiara Bariffi.


L’affaire Susanne Erbe
En Allemagne lors de l'année 2003 une jeune femme de 16 ans est retrouvée violée et assassinée dans un buisson. La police ne parvenant pas à résoudre l’affaire, c’est la mère de la jeune fille qui décide de contacter un détective médium qui prétend parler avec les morts.
Mme Erbe, 45 ans, expliqua auprès de la cour de Mannheim (Allemagne) qu’elle était sceptique mais elle témoigna : "Lors de cette séance, Susanne m’a dit que son meurtrier était un homme d’origine croate d’une vingtaine d’années". Via le médium il fut même possible de déterminer où le trouver, dans un garage de Mannheim.
La police, dubitative, mena néanmoins l'enquête sur cet homme, un employé du garage Mario Glavic, croate de 24 ans travaillant comme carrossier. L’homme avoua son crime. Après une soirée trop arrosée et en mal d’amour, il avait décidé de violer la première femme qui croiserait son chemin. Le sort tomba sur Susanne. Affolée elle s'était mise à crier et pour la faire taire Mario Glavic, prenant la première pierre qui tombait sous sa main, lui asséna un coup mortel à la tête.

Auteur: Internet

Info: Compil de quelques site web

[ paranormal ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel