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éthologie

Irene Pepperberg a fait l'expérience de la gratification retardée avec Griffin, un de ses perroquets du Gabon, qui a réussit à patienter particulièrement longtemps. Il était sur un petit perchoir alors que l'on déposait une tasse d'un des aliments qu'il aimait le moins, des céréales, par exemple, et qu'on lui demandait de ne pas y toucher. Griffin savait que, s'il attendait assez longtemps, il aurait des noix de cajou, voire des bonbons à la place. Dans 90% des cas, il y parvenait, arrivant même à des délais de 15 minutes.

[...] les animaux comprennent-ils qu'ils résistent à la tentation? Sont-ils conscients de leur désir? Quand les enfants évitent de regarder le marshmallow ou se cachent les yeux avec les mains, nous supposons qu'ils sont en proie à la tentation ; ils parlent tout seuls, chantent, inventent des jeux de mains et de pieds, voir s'endorment pour ne pas avoir à endurer une si longue attente. […] On dit qu'ils ont recours à des stratégies de diversion conscientes. […] Griffon, le perroquet, résistait aussi activement pour exclure la nourriture peu prisée qu'il avait face à lui. Une fois, à peu près au tiers d'un de ses plus longs temps de patience, il a jeté la tasse de céréales à l'autre bout de la pièce. Sinon, il la déplaçait pour qu'elle soit hors d'atteinte, parlait tout seul, lissait ses plumes ou les secouait, bâillait ostensiblement ou tombait de sommeil. Il lui arrivait de lécher la nourriture sans rien consommer, mais en hurlant : "Veux des noix !"

Auteur: Waal Frans de

Info: La dernière étreinte

[ récompense ] [ calcul ] [ anticipation ] [ homme-animal ] [ gourmandise ] [ manoeuvres dilatoires ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

culpabilisation

Le Verbe s’est pour nous incarné. Il est venu au monde, et, contre la parole de l’Evangile, il n’est pas vrai que nous ne l’ayons pas reconnu. Nous l’avons reconnu, et nous vivons des suites de cette reconnaissance. Nous sommes à l’une des phases des conséquences de cette reconnaissance. […]

Le Verbe n’est point simplement pour nous la loi où nous nous insérons pour porter chacun la charge de la dette qui fait notre destin. Il ouvre pour nous la possibilité, la tentation d’où il est nous est possible de nous maudire, non pas seulement comme destinée particulière, comme vie, mais comme la voie même où le Verbe nous engage, et comme rencontre avec la vérité, comme heure de la vérité. Nous ne sommes plus seulement à portée d’être coupables par la dette symbolique. C’est d’avoir la dette à notre charge qui peut nous être, au sens le plus proche que ce mot indique, reprochée. Bref, c’est la dette elle-même où nous avions notre place qui peut nous être ravie, et c’est là que nous pouvons nous sentir à nous-mêmes totalement aliénés. Sans doute l’Atè antique nous rendait-elle coupables de cette dette, mais à y renoncer comme nous pouvons maintenant le faire, nous sommes chargés d’un malheur plus grand encore, de ce que ce destin ne soit plus rien.

Sans doute l’Atè antique nous rendait-elle coupables de cette dette, mais à y renoncer comme nous pouvons maintenant le faire, nous sommes chargés d’un malheur plus grand encore, de ce que ce destin ne soit plus rien.

Auteur: Lacan Jacques

Info: Le séminaire, livre VIII : Le transfert . *Déesse qui incarnait la Faute et l'Égarement. pp 354-355

[ absurde ] [ garde-fou ] [ nécessaire ]

 
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rationalisme

C’est pour cela, avons-nous dit, que la science moderne réussit dans ses applications pratiques, et c’est pour cela aussi que la réalité ambiante ne semble pas lui infliger de démentis trop éclatants. Il n’aurait pas pu en être de même à des époques antérieures, où le monde n’était pas aussi "solide" qu’il l’est devenu aujourd’hui, et où la modalité corporelle et les modalités subtiles du domaine individuel n’étaient pas aussi complètement séparées (bien que, comme nous le verrons plus loin, il y ait, même dans l’état présent, certaines réserves à faire en ce qui concerne cette séparation). Non seulement l’homme, parce que ses facultés étaient beaucoup moins étroitement limitées, ne voyait pas le monde avec les mêmes yeux qu’aujourd’hui, et y percevait bien des choses qui lui échappent désormais entièrement ; mais, corrélativement, le monde même, en tant qu’ensemble cosmique, était vraiment différent qualitativement, parce que des possibilités d’un autre ordre se reflétaient dans le domaine corporel et le "transfiguraient" en quelque sorte ; et c’est ainsi que, quand certaines "légendes" disent par exemple qu’il y eut un temps où les pierres précieuses étaient aussi communes que le sont maintenant les cailloux les plus grossiers, cela ne doit peut-être pas être pris seulement en un sens tout symbolique. Bien entendu, ce sens symbolique existe toujours en pareil cas, mais ce n’est pas à dire qu’il soit le seul, car toute chose manifestée est nécessairement elle-même un symbole par rapport à une réalité supérieure […].

(Après avoir parlé du processus de solidification du monde, qui devrait précéder le processus de dissolution)

Auteur: Guénon René

Info: Le règne de la quantité, chapitre "Les limites de l'histoire et de la géographie", pp 128-129

[ aveuglement ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

forces dissolvantes

[…] il est trop évident que l’usage principal de la psychanalyse, qui est son application thérapeutique, ne peut être qu’extrêmement dangereux pour ceux qui s’y soumettent, et même pour ceux qui l’exercent, car ces choses sont de celles qu’on ne manie jamais impunément ; il ne serait pas exagéré d’y voir un des moyens spécialement mis en œuvre pour accroître le plus possible le déséquilibre du monde moderne et conduire celui-ci vers la dissolution finale. Ceux qui pratiquent ces méthodes sont, nous n’en doutons pas, bien persuadés au contraire de la bienfaisance de leurs résultats ; mais c’est justement grâce à cette illusion que leur diffusion est rendue possible, et c’est là qu’on peut voir toute la différence qui existe entre les intentions de ces "praticiens" et la volonté qui préside à l’œuvre dont ils ne sont que des collaborateurs aveugles. En réalité, la psychanalyse ne peut avoir pour effet que d’amener à la surface, en le rendant clairement conscient, tout le contenu de ces "bas-fonds" de l’être qui forment ce qu’on appelle proprement le "subconscient" ; cet être, d’ailleurs, est déjà psychiquement faible par hypothèse, puisque, s’il en était autrement, il n’éprouverait aucunement le besoin de recourir à un traitement de cette sorte ; il est donc d’autant moins capable de résister à cette "subversion", et il risque fort de sombrer irrémédiablement dans ce chaos de forces ténébreuses imprudemment déchaînées ; si cependant il parvient malgré tout à y échapper, il en gardera du moins, pendant toute sa vie, une empreinte qui sera en lui comme une "souillure" ineffaçable.

Auteur: Guénon René

Info: Dans "Le règne de la quantité" page 226

[ méfaits ] [ ombre ] [ négativité ] [ anti-psychanalyse ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

cogito

[…] mais, pource qu’alors je désirais vaquer seulement à la recherche de la vérité, je pensai qu’il fallait que je fisse tout le contraire, et que je rejetasse comme absolument faux tout ce en quoi je pourrais imaginer le moindre doute, afin de voir s’il ne resterait point après cela quelque chose en ma créance qui fût entièrement indubitable. Ainsi, à cause que nos sens nous trompent quelquefois, je voulus supposer qu’il n’y avait aucune chose qui fût telle qu’ils nous la font imaginer ; et pource qu’il y a des hommes qui se méprennent en raisonnant, même touchant les plus simples matières de géométrie, et y font des paralogismes, jugeant que j’étais sujet à faillir autant qu’aucun autre, je rejetai comme fausses toutes les raisons que j’avais prises auparavant pour démonstrations ; et enfin, considérant que toutes les mêmes pensées que nous avons étant éveillés nous peuvent aussi venir quand nous dormons sans qu’il y en ait aucune pour lors qui soit vraie, je me résolus de feindre que toutes les choses qui m’étaient jamais entrées en l’esprit n’étaient non plus vraies que les illusions de mes songes. Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensais, fusse quelque chose : et remarquant que cette vérité, je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n’étaient pas capables de l’ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.

Auteur: Descartes René

Info: Le discours de la méthode, Librairie générale française, 1973, pages 127-128

[ démonstration ] [ raisonnement ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

lien social

Le mariage est certainement la garantie qu’on se libère et devient indépendant de la façon la plus tranchante. J’aurais une famille, le comble de ce qu’on peut atteindre à mon avis, donc aussi le comble de ce que tu as atteint, je serais ton égal, toute honte ancienne et éternellement nouvelle et toute tyrannie ne seraient plus qu’histoire. […] Dans la relation particulière que j’ai avec toi, si j’entends devenir autonome, je dois faire quelque chose qui n’ait, si possible, pas le moindre rapport avec toi ; me marier est certes ce qu’il y a de plus grandiose et qui confère l’autonomie la plus honorable, mais c’est en même temps en rapport très étroit avec toi. Vouloir emprunter cette issue a par conséquent quelque chose de fou, et chaque tentative s’en trouve quasi sanctionnée.

Ce rapport étroit contribue aussi, en partie, à me rendre le mariage séduisant. Je m’imagine l’égalité de condition qui serait alors instaurée entre nous et que tu pourrais comprendre comme aucune autre, d’autant plus belle, précisément, que je pourrais alors être un fils libre, reconnaissant, non coupable, franc du collier, et toi un père que rien n’oppresserait, non tyrannique, empathie, content. […]

Mais tels que nous sommes, le mariage m’est fermé à clef, du fait même que c’est le domaine qui est le plus le tien. Parfois, je me représente la carte du monde dépliée et toi couché dessus en travers. Et j’ai alors le sentiment que ma vie ne serait envisageable que dans les régions que tu ne recouvres pas ou bien qui sont hors de ta portée.

Auteur: Kafka Franz

Info: Lettre au père, traduit de l’allemand par Bernard Lortholary, éditions Gallimard, 2023, pages 84-85

[ signification ] [ émancipation ] [ père-fils ] [ impossible ]

 

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judaïsme

Les juifs sont-ils vraiment, partout, les promoteurs de la sécularisation ou de la déchristianisation des peuples modernes ? n’est-ce point là une œuvre qui remonte au XVIIIe siècle et à la Révolution, c’est-à-dire à une époque où les juifs n’avaient aucune influence chez nous, où les plus fougueux antisémites n’oseraient parler de prépondérance juive ? Est-ce que le XVIIIe siècle, est-ce que la Révolution ont jamais été imbus de l’esprit juif ? Et puisqu’on se plaît à identifier l’action d’Israël et celle de la franc-maçonnerie, cette assimilation entre l’Alliance israélite universelle et le Grand Orient, entre l’esprit juif et l’esprit maçonnique, est-elle justifiée ? […] Venue d’Angleterre, au commencement du XVIIIe siècle, et d’abord cantonnée dans les couches aristocratiques, la maçonnerie continentale, malgré ses fastueuses maximes de fraternité universelle, est restée longtemps fermée aux juifs. […]

L’obstination des antisémites à identifier les francs-maçons et les juifs, dans ce qu’ils appellent la judéo-maçonnerie, montre seulement leur mauvaise foi ou leur ignorance. Si l’histoire et les faits interdisent de considérer la maçonnerie comme une institution juive, fondée ou dirigée par les juifs, dans un intérêt juif, l’antisémitisme se rabat sur la parenté de l’esprit juif et de l’esprit maçonnique. A l’entendre, les loges, sur le continent au moins, en pays latin surtout, ne seraient plus que de dociles instruments aux mains d’Israël. Lorsque, rompant avec les traditions maçonniques, le Grand Orient rejetait l’autorité du Grand Architecte de l’Univers, les loges françaises auraient obéi aux suggestions de l’esprit juif, comme si la Synagogue avait abjuré son antique monothéisme, et comme si le juif, en révolte contre le Dieu de ses pères, n’aspirait plus qu’à détrôner Jéhovah.

Auteur: Leroy-Beaulieu Anatole

Info: " Les doctrines de haine ", éditions Payot et Rivages, Paris, 2022, pages 102-103

[ sociétés occultes ] [ démythification ] [ réfutation ] [ anti-complotisme ]

 

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pleine conscience

Le lâcher-prise est la simple mais profonde sagesse qui nous porte à laisser couler le courant de la vie plutôt que d’y résister. […] c’est accepter le moment présent inconditionnellement et sans réserve. C’est renoncer à la résistance intérieure qui s’oppose à ce qui est. Résister intérieurement, c’est dire non à ce qui est, par le jugement de l’esprit et la négativité émotionnelle. […]
Le lâcher-prise est un phénomène purement intérieur. Cela ne veut pas dire que, sur le plan concret de la dimension extérieure, vous ne passiez pas à l’action pour changer telle ou telle situation. En fait, quand vous lâchez prise, ce n’est pas la situation dans sa globalité que vous devez accepter, mais juste ce minuscule segment appelé instant présent.
Par exemple, si vous étiez pris dans la boue quelque part, vous ne diriez pas : "Ok, je me résigne au fait d’être pris dans la boue." La résignation n’a rien à voir avec le lâcher-prise. Il n’est pas nécessaire que vous acceptiez une situation indésirable ou désagréable. Il n’est pas nécessaire non plus que vous vous racontiez des histoires en vous disant qu’il n’y a rien de mal à être pris dans la boue. Au contraire, vous reconnaissez alors totalement que vous voulez vous en sortir. Puis, vous ramenez votre attention sur le moment présent sans mentalement l’étiqueter d’une façon ou d’une autre. En somme, vous ne portez aucun jugement sur le présent. Par conséquent, il n’y a ni opposition ni négativité émotionnelle. Vous acceptez le moment tel qu’il est. Puis, vous passez à l’action et faites tout ce qui est en votre pouvoir pour vous sortir de la boue.

Auteur: Tolle Eckhart

Info: Dans "Le pouvoir du moment présent" pages 221-223

[ défini ]

 

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automates

[…] s’il y avait de telles machines qui eussent les organes et la figure d’un singe ou de quelque autre animal sans raison, nous n’aurions aucun moyen pour reconnaître qu’elles ne seraient pas en tout de même nature que ces animaux : au lieu que s’il y en avait qui eussent la ressemblance de nos corps, et imitassent autant nos actions que moralement il serait possible, nous aurions toujours deux moyens très certains pour reconnaître qu’elles ne seraient point pour cela de vrais hommes. Dont le premier est que jamais elles ne pourraient user de paroles ni d’autres signes en les composant, comme nous faisons pour déclarer aux autres nos pensées. Car on peut bien concevoir qu’une machine soit tellement faite qu’elle profère des paroles, et même qu’elle en profère quelques-unes à propos des actions corporelles qui causeront quelque changement en ses organes […] ; mais non pas qu’elle les arrange diversement, pour répondre au sens de tout ce qui se dira en sa présence, ainsi que les hommes les plus hébétés peuvent le faire. Et le second est que, bien qu’elles fissent plusieurs choses aussi bien, ou peut-être mieux, qu’aucun de nous, elles manqueraient infailliblement en quelques autres, par lesquelles on découvrirait qu’elles n’agiraient pas par connaissance, mais seulement par la disposition de leurs organes : car au lieu que la raison est un instrument universel, qui peut servir en toutes sortes de rencontres, ces organes ont besoin de quelque particulière disposition pour chaque action particulière : d’où vient qu’il est moralement impossible qu’il y en ait assez de divers en une machine pour la faire agir en toutes les occurrences de la vie de même façon que notre raison nous fait agir.

Auteur: Descartes René

Info: Le discours de la méthode, Librairie générale française, 1973, pages 156-157

[ androïdes ] [ intelligence artificielle ] [ limites ] [ liberté ]

 

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psychanalyse

[…] pour Freud, le sujet de l’inconscient, c’est le sujet de la religion. Et la place qu’il a accordée au complexe d’Œdipe nous montre bien de quelle manière, pour lui, l’existence d’un sujet dans l’inconscient est entièrement déterminée par la relation au père. Dans la mesure où le père est alors lu comme celui qui est à l’origine de l’insatisfaction, le parcours du sujet va s’organiser comme une tentative de lui régler son compte, à ce père. Voilà pourquoi Lacan dira que Freud, en fin de compte, essaye de sauver le père, d’en faire le déterminant aussi bien de notre existence que de ce qui agence notre désir.
En revanche, pour Lacan, il faut prendre les choses autrement. C’est dans le jeu même du langage, de la lettre, dans son exercice même, qu’il y a un processus, un mécanisme qui fait que la chaîne des signifiants vient exclure – refouler – tel ou tel élément à un moment donné. Car celui-ci s’avère incompatible avec l’organisation propre à cette chaîne. […] Lacan se fonde ainsi sur la chaîne de Markov pour montrer comment le fonctionnement d’une chaîne littérale, sa physique même, implique qu’à un moment de son parcours, tel ou tel élément se trouve forclos, rejeté, interdit de présence. Pour Lacan, il n’y a donc pas en quelque sorte besoin de faire appel à une volonté interdictrice pour mettre en place le refoulement originaire et le sujet de l’inconscient. Il n’est pas nécessaire d’évoquer une figure de commandeur qui viendrait là interdire à tel moment dans la chaîne la présence d’un certain nombre d’éléments. Le fonctionnement propre de la chaîne du langage inclut cette chute. Il suffit donc qu’on soit un être parlant.

Auteur: Melman Charles

Info: Dans "L'homme sans gravité", pages 166-167

[ hypothèse de départ ] [ résumé ] [ différence ]

 
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