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repli sur soi

La communauté, si elle crée l’illusion rassurante d’un lien social renoué en dépit des failles que la technologie ne cesse d’ouvrir entre nous, érige au contraire des murs infranchissables. Assigné à une identité d’appartenance l’individu se trouve amputé de sa singularité – qui n’est pas un isolement, mais un enracinement dans une expérience propre. Il n’est plus unique, mais représentant – des musulmans/juifs/catholiques/athées ; des hommes/femmes/trans ; des valides/handicapés ; des Blancs/Noirs/Arabes/Asiatiques, etc. (rayer les mentions inutiles). Cette assignation à une catégorie lui interdit l’accès à l’universel, qui ne s’ouvre à chacun que par le biais de son enracinement. […]
L’art est, parmi les expériences qui nous sont données de vivre, une des voies d’appréhension les plus radicales de l’universel. Quand, de la rencontre entre la parole subjective de l’artiste et la subjectivité de celui qui la reçoit, naît la révélation d’une communion d’expérience.

Auteur: PMO Pièces et main-d'oeuvre

Info: Dans "Techno, le son de la technopole", pages 48-49

[ peur de l'autre ] [ identitarisme ] [ cocooning ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

effroi

J'ai basculé en une fraction de seconde. Je suis dans l'eau. Il fait nuit noire. Je suis seule. Je tourne la tête en tous sens, instinctivement. Je vois mon bateau qui s'éloigne. Je cherche un repère. Une lueur. Un objet. Un signe de vie. Rien. Je suis absolument seule. Isolée dans l'immense masse sombre et mouvante de la mer. Dans quelques instants, la mer, ma raison de vivre, va devenir mon tombeau. Effacer toute trace de mon existence. M'engloutir. Je pense à ma fille Marie. (...) Dans les ténèbres liquides, l'effroi prend peu à peu possession de moi. (...)

Au silence du grand large, au silence de la nuit, vient se joindre, effrayant, insupportable, cauchemardesque, ce silence de l'effroi, il se dresse devant moi telle une muraille infranchissable, un mur glacé qui signifie que je vais mourir. Je vais donc rejoindre le ciel. Ce ciel peuplé de milliard d'étoiles, de galaxies inconnues, d'amour, de bonheur et d'éternité.

Auteur: Arthaud Florence

Info: Cette nuit, la mer est noire

[ océan ] [ nocturne ] [ accident ]

 

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chair-esprit

Orion se tenait de ce côté de la Terre, du côté des repères des hommes et du temps que nous déclinons en minutes, en heures et en jours. De l'autre, s'étendait le pays des Elfes, avec sa façon si particulière de ne pas le compter. Il appela sa mère à deux reprises et tendit l'oreille, puis recommença... mais pas un cri ni un murmure ne s'échappa du pays enchanté. Mesurant alors l'ampleur de ce gouffre qui la séparait de lui, il se rendit compte qu'il était bien trop vaste, bien trop sombre, infranchissable, à l'image de ces fossés incommensurables qui semblent nous séparer d'un jour passé, ou qui se dressent entre la vie diurne et les rêves, entre les gens qui labourent la terre et les héros des chansons, entre les vivants et ceux qu'ils pleurent. Et la barrière aérienne scintillait, comme si un élément aussi fragile était capable de séparer les années perdues de cette heure fugitive que nous appelons Instant...

Auteur: Lord Dunsany Edward John Moreton

Info: La fille du roi des elfes

[ réalité ] [ onirisme ]

 

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paradoxe

La mort de Dieu – comme la mort du Père – ne conduit pas à la levée de l’interdit, donc à la jouissance, mais justement à la mise en place de la loi, la surveillance du surmoi et la culpabilité qui en découle. […] Au lieu d’offrir plus de jouissance, la mort de Dieu en ferme l’accès. Elle forme une barrière infranchissable. Cette mort n’autorise pas l’être humain à prendre la place du disparu ; elle marque plutôt une place pour toujours, et depuis toujours, impossible à occuper ; elle fonde une loi à laquelle chacun est soumis : Il n’y a pas de dieu que je puisse être. Certes, cette loi fait aussi l’objet d’un constant refus ; elle est contournée de bien des manières, avec cette idée que si Dieu est mort, la place qu’il occupait est disponible, et l’on peut y accéder. C’est pourquoi notre temps est certainement marqué, contrairement à ce que l’on pourrait penser, par la négation de la mort de Dieu afin de maintenir le projet d’une jouissance sans limite. Il est aussi caractérisé par la résurgence du Père de la horde, qui annule tout rapport à la loi et aux interdits fondamentaux.

Auteur: Causse Jean-Daniel

Info: Dans "Lacan et le christianisme", pages 26-27

[ dénégation ] [ illusion ] [ toute puissance ] [ responsabilité ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

savoirs

Les "sciences humaines" ne sont des sciences que par une flatteuse imposture. Elles se heurtent à une limite infranchissable, car les réalités qu'elles aspirent à connaître sont du même ordre de complexité que les moyens intellectuels qu'elles mettent en oeuvre. De ce fait, elles sont et seront toujours incapables de maîtriser leur objet.

Jusqu'au XIXe siècle au moins, la chance des sciences "dures" a été que leurs objets furent considérés comme moins complexes que les moyens dont l'esprit dispose pour les étudier. La physique quantique est en train de nous apprendre que cela n'est plus vrai et qu'à cet égard une convergence apparaît entre les différentes sciences (ou prétendues telles). Seulement, même si les réalités dernières du monde physique sont inconnaissables, le physicien parvient à découvrir entre elles des rapports exprimables en termes mathématiques, et dont des expériences lui permettent de démontrer l'exactitude.

Pour nous autres des sciences humaines, ces expériences sont hors de portée. Aussi, quand nous nous efforçons - et c'est le sens de l'entreprise structuraliste - de substituer, à la connaissance illusoire de réalités impénétrables, la connaissance - possible, celle-ci - des relations qui les unissent, nous en sommes réduits aux tentatives maladroites et aux balbutiements. 

Auteur: Lévi-Strauss Claude

Info: Le Monde, 8 octobre 1991.

[ rationalisme miroir ] [ limitation cognitive ] [ solipsisme anthropique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

colonialisme

Trois, et même quatre si l'on compte les Haush, très tôt disparus, quatre peuples minuscules – en tout une vingtaine de milliers d'individus – se partageaient la Terre de Feu avant l'arrivée des Blancs : les Alakalufs (ou Kaweskars), les Yaghans (ou Yamanas), les Onas (ou Selk'nams) et leurs proches cousins les Haush. Les deux premiers vivaient sur l'eau, nomadisant avec leurs canots à travers l'immense labyrinthe maritime, les Alakalufs au détroit de Magellan, dans les mers de Skyring et d'Otway et dans tout cet univers inconnu de fjords, de passes et de chenaux qui longe le Chili austral entre le glacier infranchissable du Hielo Patagonico et l'océan Pacifique, les Yaghans au canal de Beagle et dans les archipels du cap Horn. La terre ferme leur inspirait une telle terreur que jamais ils ne s'aventuraient au-delà des grèves étroites où ils campaient. En revanche, les Onas et les Haush risquaient rarement un orteil dans l'eau. C'étaient des terriens, des marcheurs, des chasseurs. Les Onas sillonnaient la grande île de leurs pas infatigables et les Haush se contentaient de la pointe extrême de la Terre de Feu, toujours inaccessible aujourd'hui, qui par le cap San Diego et le détroit de Le Maire fait face à l'île des
États où Jules Verne planta son phare imaginaire. Deux modes de vie radicalement différents et quatre peuples qui parlaient chacun leur langue, alors que Darwin, en 1834, les considérant avec mépris, jugeait qu'ils n'avaient pour tout langage que des cris inarticulés…

Auteur: Raspail Jean

Info: Adios Tierra del Fuego

[ aveugle ] [ sourd ]

 

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transcendance

[...] nous ne pouvons pas exprimer ce que nous voulons exprimer et tout ce que nous disons du miraculeux absolu demeure non-sens. [...]

Nous n’avons pas encore réussi à trouver l’analyse logique correcte de ce que nous désignons en esprit par nos expressions éthiques et religieuses. [...]

Ce qui revient à dire ceci : je vois maintenant que si ces expressions n’avaient pas de sens, ce n’est pas parce que les expressions que j’avais trouvées n’étaient pas correctes, mais parce que leur essence même était de n’avoir pas de sens. En effet, tout ce à quoi je voulais arriver avec elles, c’était d’aller au-delà du monde, c’est-à-dire au-delà du langage signifiant. Tout ce à quoi je tendais – et, je crois, ce à quoi tendent tous les hommes qui ont une fois essayé d’écrire ou de parler sur l’éthique ou la religion – c’était d’affronter les bornes du langage. C’est parfaitement, absolument sans espoir de donner ainsi du front contre les murs de notre cage. Dans la mesure où l'éthique naît du désir de dire quelque chose de la signification ultime de la vie, du bien absolu, de ce qui a une valeur absolue, l'éthique ne peut pas être science. Ce qu'elle dit n'ajoute rien à notre savoir, en aucun sens. Mais elle nous documente sur une tendance qui existe dans l’esprit de l’homme, tendance que je ne puis que respecter profondément quant à moi, et que je ne saurais sur ma vie tourner en dérision.

Auteur: Wittgenstein Ludwig

Info: "Leçons et conversations", texte établi par Cyril Barrett d’après les notes prises par Yorick Smythies, Rush Rhees et James Taylor, traduit de l'anglais par Jacques Fauve, éditions Gallimard, 1992, page 155

[ infranchissable ] [ saut catégoriel ] [ signe ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

justice

En août 2016, le journal Le Monde a analysé quelques blocages juridiques français dans une série d’analyses sur le fonctionnement et les dysfonctionnements du monde juridique, sur ce qu’est une information "en mode juridique". Les juges Florès et Rigal (Le Monde, 3/8/16, p. 16/17) se sont longtemps heurtés à une jurisprudence très claire de la Cour de Cassation : un juge ne peut au cours d’un procès "réparer un tort dont celui qui l’a subi ne se plaint pas lui-même, ni substituer sa science à leur ignorance". Cette pratique qui estime que le juge va "au-delà" de ce qui lui a été demandé, porte le nom de "ultra petita" ou "extra-petita". Cela explique pourquoi le scientifique et le médecin sont parfois mal à l’aise quand il faut aborder un problème "en mode juridique", ou seulement administratif. Il leur semble interdit d’élargir le champ de vision et de faire appel à des connaissances établies mais ignorées de ces gens là : le pire est donc normal ! Le Citoyen est a priori aussi ignorant du mode juridique que du mode scientifique et médical quant à ses pratiques et son vocabulaire : il faut donc traduire au patient les situations du quotidien. Mais s’il ne sait pas "dire le mal ou le tort qu’il a pu subir", il ne doit surtout pas compter sur le juge pour l’aider à mieux le cadrer. Vu du côté médical, c’est non-assistance à personne en danger. Il existe là un fossé culturel quasi infranchissable entre des modes d’expression qui semblent incompatibles entre eux : le mode juridique contre le mode scientifique ou philosophique. Les seconds se proposent de mieux comprendre le monde en progressant ensemble, le premier se l’interdit et vous l’interdit ?

Auteur: Le Bitoux Jean-François

Info: in Le programme politique de Margrethe Vestager sur le blog de Jorion

[ verrouillage ] [ obstruction ] [ légale ]

 

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intelligence artificielle

(FLP à concocté l'entame d'une nouvelle de science-fiction, et a demandé à Chatgpt de finir l'histoire. Il est prévu de lui soumettre chaque année la même tâche afin de voir si changements et améliorations sont notables)

"Il était une fois une planète lointaine dotée de deux soleils et trois lunes. On l'avait nommée Aarxx.

Un courageux groupe d'explorateurs, envoyés vers sur cette terre  inconnue, découvrit un monde grouillant de vie. Cependant, ils se rendirent vite compte que la différence de culture entre les observateurs humains  et la chose observée produisait une diffraction très désagréable. Particulièrement en ce qui concernait les tentatives avec les autochtones dominants, une race qui ressemblaient peu ou prou à des poulpes avec chaussures de ski.

Les explorateurs humains durent s'éloigner quelque peu afin de dissiper le malaise et mieux observer. Et  tenter de comprendre cet environnement étrange. Et, pourquoi pas, trouver moyen d'y survivre et de prospérer sans déranger cette vie si bizarre. Ils réalisèrent alors que le système du vivant de cette planète semblait reposer sur une une base biotique et bactérienne articulée autour de 5 paramètres fondamentaux... Ce qui n'avait en rien empêché l'émergence d'un environnement stable, avec des système de cellules se reproduisant et prospérant.

Il découvrirent petit à petit que les habitants de la planète avaient  développé  une culture et des coutumes propres sur pareil mode à cinq.

Cependant la déconnection fontamentale entre dualité humaine et pentatonisme local avait quelque chose d'infranchissable, elle instillait - au mieux du mieux - un malaise profond entre les deux espèces-mondes lors des tentatives de contacts.

Les explorateurs décidèrent d'explorer Aarxx plus en profondeur pour tenter de mieux comprendre cette intrication pentatonique si étrangère.

Pour découvrir que toute perturbation d'un d'entre les cinq pôles, surtout à l'échelle bactérienne,  était susceptible d'entraîner des répercussions allant jusqu'à contaminer l'ensemble de la planète. Il fut également révélé que les 5 paramètres n'avaient cessé de s'équilibrer depuis les premiers soubressauts, très loin dans le passé, de la vie locale."

(suite concoctée par Chatgpt)

Les courageux explorateurs se rendirent vite compte que le seul moyen de protéger Aarxx et ses habitants était d'apprendre à vivre en harmonie avec les cinq paramètres. Ils commencèrent à collaborer avec les habitants autochtones, leur apprenant l'importance des cinq paramètres et comment les utiliser à leur avantage.

Les explorateurs se rendirent également compte que la dualité entre l'observateur et la chose observée avait un effet profond sur la planète et ses habitants. Ils ont dû apprendre à s'adapter à ce nouvel environnement et à trouver un moyen de travailler ensemble afin de protéger la planète.

Les explorateurs ont collaboré avec les indigènes pour créer de nouvelles technologies permettant de protéger la planète et ses habitants. Ils ont également travaillé à la création d'une nouvelle forme de communication qui comblerait le fossé entre les deux cultures et leur permettrait de mieux se comprendre.

Grâce à leur travail acharné et à leur dévouement, les explorateurs et les indigènes ont finalement réussi à créer un environnement stable et pacifique pour Aarxx et ses habitants. Ensemble, ils ont trouvé un moyen de vivre en harmonie avec les cinq paramètres et de protéger la planète.

Auteur: Mg

Info: 5 février 2023, les échanges se sont fait en anglais, sachant que Chatgpt est le plus efficient dans cette langue

[ écriture ] [ créativité ] [ homme-machine ] [ expérience ]

 
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extraterrestres

La cause de la manière extravagante dont le problème ovni est traité par l'humanité terrestre est qu'il lèche le transcendant. La science prétend - depuis Laplace - pour le monde physique, - et depuis Darwin - pour le monde vivant, qu'elle a prouvé l'inexistence de toute transcendance. Elle a décidé que tout fait non répétable est exclu de son champ. Donc tout phénomène paraissant violer les lois de la physique (du moment et fixées par elles) ne peut avoir d'existence réelle et est objet de croyance. L'ovni cumule les deux défauts en question.
L'éthique et le pragmatisme pourraient interdire un contact officiel ouvert et massif qui interdirait notre liberté relative et notre évolution. Incommunicabilité du moins au plus. Le phénomène semble d'ailleurs s'auto nier, en se camouflant, en mimant nos activités, en multipliant absurdités et contradictions. Tout ceci n'est peut-être que la traduction par notre cerveau du non interprétable. Le phénomène n'est peut-être pas prêt de se dévoiler. Il pourrait dépendre de nous de prendre la direction qu'il continuera de nous montrer discrètement. L'ovni pourrait confirmer que la nature a accouché de beaucoup plus que l'homme, nous lui laissant entrevoir, sans intervention directe, ce qui le ferait évoluer. L'ovni nous le lancerait par l'étalage de ses performances.
Bien qu'il reconnaisse que nous ne pouvons rien comprendre du surhumain, ne rien voir de l'absolument nouveau et, dans le nouveau partiel, qu'interpréter par analogie avec du connu, l'auteur s'y essaye, proposant un modèle compliqué. Le fait qu'un phénomène qui pourrait - s'il le voulait - passer inaperçu, mais se laisse voir et manie parfois même l'ostentation y conduit en tout cas.... Par exemple en Belgique, se mêler à la désinformation.... puis se renier... a peut-être une signification en rapport avec notre évolution dans l'Univers. Univers, dont la fonction, inscrite dans les conditions initiales du Grand Boum et la miraculeuse combinaison des constantes universelles réglées à la vingtième décimale, est de créer des êtres pensants. Il semble dans ce cas qu'un psychisme ne peut comprendre d'un psychisme supérieur que la partie qu'ils ont en commun. Le fossé est infranchissable.
Le point sur lequel l'auteur renouvelle l'ufologie, c'est la démonstration d'analogies signifiantes entre le phénomène ovni et l'expérience ante-mortem. L'une et l'autre auraient pour fonction de nous approcher du point oméga de Teilhard, super humanité au cerveau collectif, dont les cerveaux humains seraient les neurones, super organisme faisant franchir à l'espèce un niveau d'organisation aussi fort que le passage de la conscience directe animale à la conscience réfléchie humaine. La rencontre rapprochée ou l'expériences au seuil de la mort pourrait avoir comme effet (Picard est adepte de Kenneth Ring) de métamorphoser l'expérienceur par un changement de la perception du soi et de l'échelle des valeurs, générant une quête du sens, un sentiment de mission à accomplir, une élévation spirituelle hors du cadre dogmatique des religions et éveillant peut-être des capacités paranormales, médiumniques et de rêve lucide pour catalyser l'évolution psychospirituelle de l'humanité vers l'esprit planétaire collectif et transcendant d'une humanité-ruche dont les éléments possèderaient une conscience réfléchie élargie et non pas seulement des instincts. Le Rencontré semblant être sous influence, la preuve en étant qu'on a de nombreuses photos d'ovnis éloignés, aucune d'ovni proche. En bref l'ovni est un révélateur et un stimulant de la pensée sollicitée à ses limites. Nous avons là un livre intéressant qui n'est pas une compilation de plus, les observations ne servent qu'à étayer le raisonnement. S'il devait y avoir des objections la principale serait que l'auteur se veut obstinément optimiste. A mon sens l'univers n'a jamais démontré être une institution particulièrement charitable.

Auteur: MG

Info: critique de : Ovnis, laboratoire du futur, Du camouflage politique et socioculturel à l'hypothèse ET, par Michel Picard, édition JMG, 2002

[ ufos ]

 

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