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femmes-par-femmes

Pendant 4000 ans, des cultures africaines ont permis que les femmes soient mutilées. Cette tradition répandue dans beaucoup de pays musulmans, bien des gens croient que le Coran l'exige. Et pourtant ce n'est pas le cas ; ni le Coran ni la Bible ne mentionnent qu'il faut mutiler les femmes pour plaire à Dieu. Cette coutume n'est encouragée et exigée que par les hommes - des hommes ignorants et égoïstes - qui veulent s'assurer l'exclusivité des faveurs de leurs épouses. Les mères acceptent que leurs filles soient mutilées de crainte qu'elles ne trouvent pas de maris. Une femme non excisée est considérée comme impure, obsédée par le sexe et impossible à marier. [...] Il n'y a pas de raison à la mutilation de millions de petites filles chaque année, sinon l'ignorance et la superstition. Par contre, la douleur, la souffrance et la mort qui en résultent sont des raisons plus que suffisantes pour que cette pratique disparaisse.

Auteur: Dirie Waris

Info: Fleur du désert : Du désert de Somalie à l'univers des top models

[ féminisme ] [ souffrance ]

 

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rapports humains

Le seul comportement sûr est donc celui que mentionne Aristote dans le dernier chapitre de son Topica : de ne pas débattre avec la première personne que l’on rencontre, mais seulement avec des connaissances que vous savez posséder suffisamment d’intelligence pour ne pas se déshonorer en disant des absurdités, qui appellent à la raison et pas à une autorité, qui écoutent la raison et s’y plient, et enfin qui écoutent la vérité, reconnaissent avoir tort, même de la bouche d’un adversaire, et suffisamment justes pour supporter avoir eu tort si la vérité était dans l’autre camp. De là, sur cent personnes, à peine une mérite que l’on débatte avec elle. On peut laisser le reste parler autant qu’ils veulent car desipere est juris gentium, et il faut se souvenir de ce que disait Voltaire : "la paix vaut encore mieux que la vérité", et de ce proverbe arabe : "Sur l’arbre du silence pendent les fruits de la paix".

Auteur: Schopenhauer Arthur

Info: L'Art d'avoir toujours raison

[ sagesse ] [ gens raisonnables ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

processus créateur

Il [Mozart] écrivait d'un coup tout le morceau en notant d'abord les parties les plus importantes, par exemple, le premier violon, ensuite il ajoutait la basse puis les parties intermédiaires. Il est prouvé cependant que des parties très travaillées comme les passages rapides et contrapuntiques de certains quatuors ou de grandes symphonies ont fait l'objet d'un travail particulier. Landon dans son dictionnaire de Mozart mentionne l'existence d'esquisses pour la symphonie Jupiter, mais d'une façon générale le compositeur, selon l'expression "jetait sur le papier" ce qu'il entendait mentalement dans son intégralité. Cette possibilité, ce don, expliquent que l'ouverture de Don Giovanni ait été "écrite" à Prague entre minuit et six heures du matin la veille de la générale ; écrite, oui sans nul doute, avec les parties de chaque instrumentiste, mais il serait préférable de dire "autodictée" et composée mentalement sans doute depuis plusieurs jours. Pas besoin d'instrument, un bon stock de papier rayé, de bonnes plumes bien taillées, de l'encre noire suffisent [...] 

Auteur: Lechevalier Bernard

Info: Le cerveau de Mozart

[ musique classique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

damnatio memoriae

La mémoire d’Antoine fut condamnée par un sénatus-consulte que Dion situe en 31 et Plutarque en 30. Si les discussions peuvent porter sur la définition exacte de la date à laquelle une telle mesure fut décidée, elles ne semblent pas concerner la réalité de la mesure juridique d’abolition de la mémoire. La condamnation de la mémoire d’Antoine a été préparée par une succession de déclarations d’hostis publicus entre 43 et 32 av. J.-C., déclarations dont Marc Antoine fut loin d’avoir l’exclusivité. Mais, après la victoire des troupes d’Octave sur celles de Cléopâtre et Marc Antoine, des mesures furent prises pour atteindre la mémoire d’Antoine. Les textes historiques sont très clairs sur ce point. A deux reprises, l’historien Plutarque évoque les atteintes portées, entre autres, aux statues de Marc Antoine, dans la Vie de Cicéron d’abord, et dans la Vie d’Antoine (Plutarque) ensuite. Au 3ème siècle ap. J.-C., l’historien Dion Cassius mentionne quant à lui le caractère systématique de ces mesures, sans véritablement rentrer dans les détails toutefois.

Auteur: Ferriès Marie-Claire

Info: Le sort des partisans d’Antoine : damnatio memoriae ou clementia ?, dans S. Benoist et A. Daguet-Gagey (éds), Mémoire et histoire. Les procédures de condamnation dans l’Antiquité Romaine, Metz, 2007, p. 54.

[ manipulation ] [ historique ] [ bannissement des anales ] [ archives truquées ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

spéculation

Mais quelle est donc la principale condition préalable pour que l'évolution suive son cours ? Dans une publication intitulée Physical Mode of the Biofield, Andrej Detela nous l'apprend: il s'agit de l'information. Cependant, il précise que des structures doivent être déjà en place ou se mettre en place pour que le processus évolutif ait lieu. Il faut donc:
• Une base d'information. Detela mentionne en particulier qu'il faut pouvoir emmagasiner d'énormes quantités d'énergie (bytes d'information).
• Une composante évolutive. L'aspect évolutif dépend de la capacité de la structure concernée à s'auto-organiser.
Toujours selon Detela, les deux processus sont inséparables et en symbiose, car il faut une source d'information primale pour que l'évolution s'effectue. Ce principe se retrouve à tous les niveaux structurels d'un organisme vivant. Donc, plus un organisme évolue, plus il se complexifie et plus il peut gérer de l'information, améliorer ses systèmes de communication et utiliser efficacement l'énergie des divers niveaux. Qui plus est, ce principe s'applique au-delà du champ biologique et vaut aussi pour toute structure énergétique subtile.

Auteur: Lapierre David P.

Info: Un monde de conscience

[ parapsychologie ]

 

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Information

Mais quelle est donc la principale condition préalable pour que l'évolution suive son cours ? Dans une publication intitulée Physical Mode/ of the Biofield, Andrej Detela nous l'apprend: il s'agit de l'information. Cependant, il précise que des structures doivent être déjà en place ou se mettre en place pour que le processus évolutif ait lieu. Il faut donc: • Une base d'information. Detela mentionne en particulier qu'il faut pouvoir emmagasiner d'énormes quantités d'énergie (bite d'information). • Une composante évolutive. L'aspect évolutif dépend de la capacité de la structure concernée à s'auto-organiser. Toujours selon Detela, les deux processus sont inséparables et en symbiose, car il faut une source d'information primale pour que l'évolution s'effectue. Ce principe se retrouve à tous les niveaux structurels d'un organisme vivant. Donc, plus un organisme évolue, plus il se complexifie et plus il peut gérer de l'information, améliorer ses systèmes de communication et utiliser efficacement l'énergie des divers niveaux. Qui plus est, ce principe s'applique au-delà du champ biologique et vaut aussi pour toute structure énergétique subtile.

Auteur: Lapierre David P.

Info: Un monde de conscience

[ information ] [ conscience ] [ évolution ] [ collectivité ] [ oméga ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

paranormal

En 1986, les chercheurs Satwant Pasricha et Ian Stevenson, ont documentés 16 cas d'expériences de mort imminente indiennes dans le Journal de la Société américaine pour la Recherche Psychique (77, 1 15-135).

Leurs petits échantillons de NDE indiennes et américaines se ressemblent à certains égards, mais diffèrent pour d'autres.

Les sujets de l'Inde ne signalent pas voir leur propre corps physique au cours de l'expérience de mort imminente, au contraire des sujets américains. Les expérienceurs indiens déclarent fréquemment être envoyés vers le royaume de la mort par des fonctionnaires qui découvrent alors qu'une erreur d'aiguillage a été commise avant de les renvoyer vers une "re-vie" alors que les sujets américains qui racontent pourquoi ils sont revenus mentionnent soit des rencontres avec un ou plusieurs membres décédés de leur famille, qui recommande un retour, soit qu'ils sont revenus à cause de liens d'amour et de devoir vis à vis de personnes vivantes. Ou encore parce qu'"on" leur a dit que ce n'était pas le temps de mourir.

Auteur: Internet

Info:

[ comparaison ] [ Asie ] [ Occident ] [ miroir sociétal ] [ projection communautaire ]

 

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pôle spirituel

Dans la littérature religieuse des Accadiens*, la demeure des dieux était désignée sous le nom de Kharsag ou encore de Khurra, la Montagne céleste où vécurent les Seigneurs Annunaki dans un royaume paradisiaque situé sur les hauteurs et constitué de jardins, de vergers, de temples et de champs irrigués s’élevant sur sept étages ou stations. A la manière des Veilleurs du Livre d’Enoch, l’Annanage était régi par un conseil de sept sages qu’on peut aisément identifier aux sept archanges du judaïsme ou aux six Amesha Spentas, "esprits généreux" qui, en compagnie du dieu suprême Ahura Mazda, présidaient sur les hiérarchies d’anges dans la tradition iranienne. Comment ne pas penser non plus aux "sept Dormants de la Caverne", que mentionne le Coran ou bien encore aux sept Aqtâbs, transfuges des rois de rigueur d’Edom qui régissent le monde dans l’ésotérisme islamique. On raconte aussi dans la cosmogonie hindoue que les sept Rishis ou "gardiens du temps" résident sur les hauteurs enneigées des montagnes du monde. Un symbolisme similaire se trouve dans le "récit de Zozime" et de son voyage vers les "îles des Bienheureux".

Auteur: Anonyme

Info: Dans "Les magiciens du nouveau siècle", page 334. *Du pays d'Akkad en Mésopotamie sumérienne

[ septénaire ] [ mythologie ] [ centre ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

pensée-de-femme

Devrait-elle évoquer les nuits sans sommeil, le nombre de fois qu'elle doit se laver les mains en une journée, la lessive à étendre, à plier, les sacs dans lesquels il faut mettre puis ôter les vêtements de rechange, couches et lingettes, la cicatrice tordue qui court sur son ventre et semble la narguer, la solitude absolue, les heures qu'elle passe agenouillée par terre, un hochet, une clochette ou un cube à la main, si bien qu'elle a parfois envie d'arrêter des femmes plus âgées dans la rue pour leur demander comment elles s'y prenaient,comment elles ont réussi à traverser cete période ? A moins qu'elle ne mentionne cet élan féroce auquel elle ne s'attendait pas, ce sentiment que le terme 'amour', bien trop réducteur, est impuissant à décrire, car, parfois, elle croit qu'elle pourrait s'évanouir tant elle a besoin de cet enfant qui lui manque cruellement quand il n'est pas juste à côté d'elle - cette sorte de folie, de possession qui la pousse souvent à se faufiler dans la pièce où il vient de s'endormir juste pour le regarder, pour s'assurer que tout va bien, pour lui parler tout bas.

Auteur: O’Farrell Maggie

Info: Cette main qui a pris la mienne p. 313-314

[ maman ] [ efforts ] [ difficulté ]

 

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pensée-de-femme

Devrait-elle évoquer les nuits sans sommeil, le nombre de fois qu'elle doit se laver les mains en une journée, la lessive à étendre, à plier, les sacs dans lesquels il faut mettre puis ôter les vêtements de rechange, couches et lingettes, la cicatrice tordue qui court sur son ventre et semble la narguer, la solitude absolue, les heures qu'elle passe agenouillée par terre, un hochet, une clochette ou un cube à la main, si bien qu'elle a parfois envie d'arrêter des femmes plus âgées dans la rue pour leur demander comment elles s'y prenaient, comment elles ont réussi à traverser cette période ? A moins qu'elle ne mentionne cet élan féroce auquel elle ne s'attendait pas, ce sentiment que le terme 'amour', bien trop réducteur, est impuissant à décrire, car, parfois, elle croit qu'elle pourrait s'évanouir tant elle a besoin de cet enfant qui lui manque cruellement quand il n'est pas juste à côté d'elle - cette sorte de folie, de possession qui la pousse souvent à se faufiler dans la pièce où il vient de s'endormir juste pour le regarder, pour s'assurer que tout va bien, pour lui parler tout bas.

Auteur: O'Farrell Maggie

Info: Cette main qui a pris la mienne, p. 313-314

[ maman ]

 

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