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mort imminente

Pour en revenir à Pamela Reynolds (le cas le plus célèbre et le plus impeccable à ce jour, scientifiquement parlant), le corps a été vidé d’une partie de son sang et réfrigéré à 17°C ; le cœur ne battait plus et le cerveau reflétait un électroencéphalogramme plat, insensible à toute stimulation externe. Le tout pendant une bonne demi-heure ! Malgré cet état de mort clinique, sa conscience a continué de fonctionner et même avec une plus grande clarté que durant son état de veille ordinaire. Elle a pu percevoir des événements qui s’étaient réellement déroulés dans la salle d’opération lors de sa sortie hors du corps. Pamela Reynolds a vécu tous les stades classiques de la NDE (rencontre de personnes décédées et d’un "être de lumière") et cela a complètement transformé sa vie durant les années qui suivirent. Dans ce cas-là, pour la médecine, cette personne était bien cliniquement morte et en même temps, sa conscience a vécu des événements avec une grande lucidité, une clarté d’esprit, des capacités de perception et de raisonnement aiguisées, une mémorisation très nette, alors que son cerveau ne fonctionnait plus.

Auteur: Chambon Olivier

Info: Expériences extraordinaires autour de la mort : Réflexion d'un psychiatre sur la science et l'au-delà

[ contrôlée ]

 

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fin de l'analyse

Dans les traitements psychothérapeutiques, une interruption, une fin peut survenir à tous les stades possibles du développement, sans que l’on ait toujours le sentiment qu’un but a été atteint pour autant. Il est typique que des suspensions temporaires surviennent : 1. Après que le sujet a reçu un bon conseil ; 2. Après qu’a eu lieu une confession plus ou moins complète, mais toutefois suffisante ; 3. Après la reconnaissance et l’acceptation d’un contenu psychique jusqu’alors inconscient, bien qu’essentiel, et dont la prise de conscience donne un nouvel élan à l’activité et à la vie du sujet ; 4. Après un détachement obtenu grâce à un travail psychologique prolongé, d’avec la psyché de l’enfance ; 5. Après la réalisation d’une nouvelle adaptation rationnelle à des conditions de vie peut-être difficiles ou exceptionnelles ; 6. Après la disparition de symptômes douloureux ; 7. Après un tournant positif de la destinée : examen, fiançailles, mariage, divorce, changement de profession, etc. ; 8. Après la redécouverte de l’appartenance à une confession religieuse, ou après une conversion ; 9. Après que s’est esquissée l’édification d’une philosophie pratique de la vie ("philosophie" au sens antique !).

Auteur: Jung Carl Gustav

Info: Dans "Psychologie et alchimie", éd. Buchet-Chastel, 2014, trad. par Henry Pernet et Roland Cahen, pages 24-25

[ causes ] [ raisons ] [ dénouement ]

 

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parents-enfant

[...] lorsque la castration anale est mal assumée, soit parce qu’elle a été mal donnée par l’adulte, soit parce que l’adulte qui l’a donnée en paroles n’est pas un modèle à imiter par le sujet (si cet adulte lui-même est angoissé de ses propres désirs), jamais celui qu’il éduque ne pourra sublimer suffisamment, c’est-à-dire parler, fantasmer "pour de rire" ses pulsions anales. L’adulte tutélaire confond imaginaire et réalité ; il n’est ni tolérant, ni indulgent, ni permissif vis-à-vis de ses propres fantasmes, qui doivent rester inconscients, réprimés ou refoulés, de ses pulsions orales et anales. C’est une triste évidence de constater que nombreux sont ces adultes incapables de donner une castration symboligène des stades archaïques parce qu’eux-mêmes regrettent de ne plus être enfants ou regrettent que leur enfant grandisse et éprouve des désirs d’autonomie à leur égard. Ils empêchent l’enfant de se hausser à un niveau qui lui permette de dépasser ce stade éthique archaïque dans lequel il a dû rester un certain temps, et dont l’âge le sortira quasi spontanément s’il a près de lui des parents heureux, je veux dire des parents vivant d’une libido génitale autrement qu’au niveau libidinal de consommation et de travail (sublimation orale et anale). Dans la dynamique familiale, c’est beaucoup plus l’inconscient qui est l’agent de l’éducation, réussie ou non, qu’un savoir pédagogique appris.

Auteur: Dolto Françoise

Info: "L'image inconsciente du corps", éditions du Seuil, 1983, pages 89-90

[ autorité ] [ grandir ]

 

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sécularisation

Comment se décompose le Christianisme ?

Lorsque l'on descend du salut à la sécurité, de l'espoir du salut à la demande de sécurité, et de la grâce à la santé, de la grâce sanctifiante à la prison de la santé.

Le nihilisme (et aussi bien le fascisme) se loge entre ces deux stades, entre ces deux marches de la descente aux enfers de la modernité : le salut n'est déjà plus crédible, mais la sécurité n'a pas encore disposé sa police efficace, totalisante et maternelle.

Il y a donc une place pour l'explosion : c'est le nihilisme.

Orphelin de la croyance, le nihiliste ne demande qu'une chose : qu'elle soit remplacée par quelque chose d'encore plus efficace.

Ce sera le contrôle, l'espionnage, la lutte planétaire du Bien contre le Mal, la terreur sécuritaire enfin réalisée à tous les niveaux.

Le nihiliste s'en satisfera pleinement : c'est cela qu'il voulait, comme un enfant turbulent réclame une baffe sans le savoir.

La baffe est faite, les jeux aussi.

La sécurité, qui est l'idéal sur lequel se rebâtit le monde d'après l'Histoire (et, pour moi, l'Histoire, j'y insiste, était celle du salut), comble pleinement le nihiliste dont le malheur était d'avoir perdu un maître et de ne pas en avoir retrouvé un autre (c'est tous le sens des Démons).

Il en a trouvé un.

Le nihilisme est derrière nous.

Le sécuritisme universel l'a englobé.

Auteur: Muray Philippe

Info: 2003

[ infantilisation ] [ dégénérescence ]

 

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vingtième siècle

Les théories en cours à l’époque (vers 1920) s’appuient notamment sur les travaux des sexologues Havelock Ellis, Karl Ulrichs et Richard von Krafft-Ebing. Ce dernier distingue plusieurs stades dans l’homosexualité féminine, moins étudiée pourtant que l’homosexualité masculine : la femme ne se trahissant pas par son apparence extérieure ou ses caractéristiques mentales, la femme choisissant de porter des vêtements masculins, la femme prétendant être un homme et enfin la femme ne présentant que ses organes génitaux comme attributs féminins – en somme, leurs pensées, leurs actions et leur apparence sont celles d’un homme. Havelock Ellis, lui, ne considère pas l’homosexualité comme une maladie, point de vue novateur pour son époque. Il a lui aussi sa propre échelle dans les degrés du saphisme : de l’amitié passionnée à "l’invertie active". (Havelock Ellis, Sexual Inversion, 1897, cité par F. Tamagne, Histoire de l’homosexualité en Europe Berlin, Londres, Paris, 1919-1939, Editions du Seuil, 2000, p. 239.) L’idée la plus audacieuse vient de Karl Heinrich Ulrichs, homosexuel lui-même, qui invente "la notion d’uranisme" à savoir pour un homosexuel masculin, avoir "une âme de femme dans un corps d’homme 78". Il va jusqu’à définir l’homosexualité masculine comme un "troisième sexe" et rencontre un grand succès en son temps. (Karl Heinrich Ulrichs, cité par F. Tamagne, Histoire de l’homosexualité en Europe Berlin, Londres, Paris, 1919-1939, Editions du Seuil, 2000, p. 233.) Concernant l’homosexualité féminine, moins étudiée, cette idée pourrait être inversée, à savoir qu’une femme homosexuelle aurait donc une âme d’homme dans un corps de femme.

Auteur: Compain Marthe

Info: note en bas de la page 174 de sa thèse sur M. Havet

[ genres sexuels ]

 

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manque de l'objet

En mettant l’accent sur la notion de frustration, nous ne dérogeons pas beaucoup à la notion mise par Freud au centre de la conflictualité analytique, qui est celle de désir. [...]

La notion de frustration, quand elle est mise au premier plan de la théorie analytique, se rapporte au premier âge de la vie. Elle est liée à l’investigation des traumas, fixations, impressions, provenant d’expériences préœdipiennes. Cela n’implique pas qu’elle soit extérieure à l’Œdipe – elle en donne en quelque sorte le terrain préparatoire, la base et le fondement. [...]

Quel est le mode de relation à l’objet qui est en jeu dans la frustration ? Il introduit manifestement la question du réel. Voici en effet qu’avec la notion de frustration s’introduit dans le conditionnement, le développement du sujet, tout un cortège de notions que l’on traduit dans un langage de métaphores quantitatives – on parle de satisfaction, de gratification, d’une certaine somme de bienfaits adaptés, adéquats, à chacune des étapes du développement du jeune sujet, et dont la plus ou moins complète saturation, ou au contraire carence, est ainsi considérée comme un élément essentiel. [...]

La frustration est donc considérée comme un ensemble d’impressions réelles, vécues par le sujet à une période du développement où sa relation à l’objet réel est centrée d’habitude sur l’imago dite primordiale du sein maternel, par rapport à quoi vont se former chez lui ce que j’ai appelé tout à l’heure ses premiers versants et s’inscrire ses premières fixations, celles qui ont permis de décrire les types des différents stades instinctuels. [...] Bref, nous avons ici l’anatomie imaginaire du développement du sujet.

Auteur: Lacan Jacques

Info: dans le "Séminaire, Livre IV", "La relation d'objet", éditions du Seuil, 1994, pages 82 à 84

[ mythe psychanalytique ] [ inassouvissement ]

 
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spiritualité

En Indonésie, il y a le Temple de Borobodur. Sous le regard de bouddhas assis, abrités dans des niches puis dans des stupas en forme de cloche, le pèlerin parcourt en montant 3 kilomètres de corridors et d’escaliers au long desquels des bas-reliefs dépeignent, de manière détaillée et imagée, les grandes étapes du cheminement spirituel. Le soubassement carré, symbolisant la terre, représente le monde du désir, celui où nous vivons ici et maintenant, séduits par toutes sortes de distractions. On traverse, au fil des cinq terrasses suivantes, également carrées, le rupadhatu, le monde de la forme, et les cinq premiers stades conduisant à l’éveil. En gravissant les trois plateformes circulaires et concentriques, symbolisant le ciel, on progresse vers l’arupadhatu, le monde sans forme, qu’atteignent les êtres pleinement éveillés, les bouddhas. Leurs statues, à ces niveaux, contemplent sereinement les collines environnantes par les ouvertures des stupas. Chaque bouddha est représenté dans une posture qui lui est propre et faisant un geste de la main, ou mudra, caractéristique.
Le stupa principal, couronnant le sommet, couvre deux chambres vides, les seuls espaces intérieurs de tout le monument. Ces derniers abritaient-ils des statues de Bouddha ou des reliques sacrées qui ont été pillées, ou symbolisent-il la vacuité du nirvana et la libération ultime du cycle de renaissance et de mort, le samsara, où sont piégés les êtres sensibles, tant qu’ils n’atteignent pas la bouddhéité ? Quoi qu’il en soit, Borobudur, vu du ciel, apparaît bien comme un mandala, une représentation bouddhique de l’Univers.
Certains résument parfois ainsi sa partie sommitale.
"Dans le cercle chaque stupa présente un Bouddha avec un signe distinctif différent. Le Stupa central, vide, symbolise la perfection. Qui n'est pas de ce monde."

Auteur: Internet

Info: Compilé par Mg

[ monument historique ] [ impossibilité ]

 
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femmes-par-femme

L’énonciation de jugements est donc l’une des manifestations les plus importantes de l’Animus. Celui-ci se comporte de la même manière avec les pensées d’ordre général, c’est-à-dire que, venant du plus profond de nous-même, ces dernières s’imposent à nous d’une manière définitive et pour ainsi dire inébranlable. Lorsqu’elles sont dictées de l’extérieur, nous les adoptons parce qu’elles nous paraissent d’une certaine façon évidentes ou attirantes. Mais ces pensées qu’elle adopte et même propage à son tour, la femme ne se sent généralement pas tenue de les approfondir pour les comprendre réellement. Une capacité de discernement peu développée la conduit ainsi à approuver toute idée avec le même enthousiasme et le même respect, qu’elle ait ou non de la valeur, parce que tout ce qui lui paraît venir de l’intellect lui en impose énormément et exerce sur elle une étrange fascination ; l’homme, en revanche, rendu méfiant et intolérant par son esprit critique développé, a souvent besoin d’un certain temps pour déterminer ce qui a de la valeur.
[...]
D’une manière générale, on peut dire que l’intellect de la femme a un aspect sous-développé, naïf ou primitif. Chez elle, il n’y a pas de soif de s’instruire, mais de la curiosité ; pas de jugement, mais des préjugés ; pas de pensée, mais de l’imagination et du rêve ; pas de volonté, mais des souhaits.
Là où l’homme s’attaque à des problèmes, la femme se contente de réponses, là où il acquiert du savoir et des connaissances, elle se satisfait de croyances ou de superstitions, ou alors elle se livre à des suppositions. Il est évident que ce sont là les premiers stades, ceux que l’on constate dans l’esprit des enfants ou des primitifs.

Auteur: Jung Emma

Info: Dans "Anima et Animus", pages 80-81

[ machisme intériorisé ] [ intelligence ] [ hommes-femmes ]

 

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recherche scientifique

Supposons qu'un physicien imaginaire, élève de Niels Bohr, se voit présenter une expérience dans laquelle une particule de virus pénètre dans une cellule bactérienne et, 20 minutes plus tard, la cellule bactérienne est lysée et 100 particules de virus sont libérées.  Il dira : "Comment se fait-il qu'une particule ait pu pénétrer dans une cellule bactérienne ? "Comment se fait-il qu'une particule soit devenue 100 particules du même type en 20 minutes ? C'est très intéressant. Voyons comment cela se passe ! Comment la particule pénètre-t-elle dans la bactérie ? Comment se multiplie-t-elle ? Se multiplie-t-elle comme une bactérie, en se développant et en se divisant, ou se multiplie-t-elle par un mécanisme totalement différent ? Doit-elle se trouver à l'intérieur de la bactérie pour se multiplier, ou peut-on détruire la bactérie et faire en sorte que la multiplication se poursuive comme avant ? Cette multiplication est-elle une astuce de la chimie organique que les chimistes organiciens n'ont pas encore découverte ? Nous allons le découvrir. Il s'agit d'un phénomène si simple que les réponses ne peuvent être difficiles à trouver. Dans quelques mois, nous le saurons. Il suffit d'étudier comment les conditions influencent la multiplication. Nous ferons quelques expériences à différentes températures, dans différents milieux, avec différents virus, et nous saurons. Peut-être devrons-nous pénétrer dans les bactéries à des stades intermédiaires entre l'infection et la lyse. Quoi qu'il en soit, les expériences ne prennent que quelques heures chacune, de sorte que le problème ne sera pas long à résoudre".

Huit ans plus tard, il n'a pas réussi à résoudre le problème qu'il s'était fixé. Mais il pourra vous dire "Eh bien, j'ai fait une petite erreur.  Ce n'était pas faisable en quelques mois. Peut-être qeu ça va prendre quelques décennies, et peut-être faudra-t-il l'aide de quelques dizaines d'autres personnes. Mais voyez un peu ce que j'ai trouvé, peut-être aurez-vous envie de vous joindre à moi."

Auteur: Delbrück Max Ludwig Henning

Info: In "Experiments with Bacterial Viruses (Bacteriophages)", Harvey Lecture (1946), 41, 161-162. Cité dans Robert Olby, The Path of the Double Helix : The Discovery of DNA (1974, 1994), 237.

[ point d'entrée ] [ complexité ] [ détail ] [ intriguant phénomène ]

 

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gamins

L’enfant ne remonte pas à la plus haute Antiquité. En réalité, il est d’invention récente, guère plus de deux cent ans. L’enfance, avant, c’était le bas âge et on n’en parlait pas, on attendait que ça passe. Puis l’enfance est arrivée. Et, avec elle, l’enfant et ses sortilèges. Il fut alors convenu que l’enfant était le meilleur revers de la médaille humaine et l’enfance le stade le plus enviable de la vie. L’enfant devint l’avenir de l’homme. En se prosternant devant lui, tous ceux qui n’étaient plus des enfants commencèrent à désirer plus ou moins consciemment l’état d’innocence qu’ils lui prêtaient. Du moins appelaient-ils ainsi ce qu’un autre a nommé "principe de plaisir".

Il est à noter que ce néo-totémisme infantomaniaque n’est apparu qu’après la disparition de l’enfant comme future force de travail et assurance vieillesse : c’est depuis qu’il n’est plus indispensable à la survie matérielle de ses parents, comme aux âges farouches où ceux-ci attendaient qu’il pousse la charrue à leur place quand ils ne pourraient plus le faire eux-mêmes, qu’il est devenu vital non seulement comme fruit de la performance technique (à travers les méthodes d’engendrement artificiel et toute la sacrée gamme des acharnements procréatifs) mais surtout comme idole ou fétiche. [...]

Pour qui, même enfant, a pris l’habitude de considérer l’enfance comme une sorte d’infirmité de naissance pénible mais curable, la surprise est constante que tant d’autres y voient les éléments d’une poésie perdue à retrouver, le temps des rires et des chants dans l’île aux enfants où c’est tous les jours le printemps. D’autant que l’infanthéisme fait rage quand justement il n’y a plus d’enfants ni d’enfance. Plus d’adultes non plus, par la même occasion. La frontière entre les deux stades de la vie s’efface au profit du premier dont l’adulte infanthéiste épouse à toute allure les goûts, la façon de parler, de jouer, de croire ou de ne pas croire, de s’émouvoir, de réclamer des friandises et des divertissements mais aussi des lois qui le protègent des dangers du monde extérieur.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Exorcismes spirituels, tome 4", Les Belles Lettres, Paris, 2010, pages 1597-1597

[ fétichisation ] [ indistinction ] [ abstraction ] [ infantilisation ]

 

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