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putaclic

Le sexe avec les humains est ennuyeux.

Une femme affirme avoir des relations sexuelles avec des elfes et les préfère aux humains car avec ces derniers c'est ”ennuyeux”.

Hallgerdur Hallgrimsdottir, auto-proclamée experte en sexe elfique, a même écrit un livre intitulé Please Yourself dans lequel elle affirme avoir "de nombreux orgasmes" en faisant l’amour avec les elfes.

“Les relations sexuelles avec des humains sont casse-pieds. Les elfes savent ce que vous voulez au lit. Ils n’ont pas besoin de vous le demander, ils peuvent lire dans vos pensées et le savent très bien, ce qui est vraiment incroyable.” affirme-t'elle lors d’une interview dans Vice.

Parlant des corps des elfes, elle précise : "Ils sont très flexibles, et peuvent donc utiliser des positions qui ne seraient pas possibles pour un humain.” Ouvrant un livre sur ces postures sexuelles elfiques : “Voilà l'image d'une des positions qu’un elfe peut accomplir” dit-elle. On y voit un elfe penché en arrière, tête tournée vers le ciel. Expliquant une autre image, elle déclare: "Il est debout et elle a les pieds sur ses épaules. Il pratique le sexe oral avec elle. Ils ont des langues incroyables.” Ajoutant “Avec les elfes, la taille n’a pas d’importance.” précisant aussi : “le sperme des elfes est assez brillant et scintillant.”

Hallgerður raconte que sa première rencontre sexuelle avec un elfe eut lieu par accident il y a quelques années. "J'étais en train de me promener dans la nature islandaise... il est venu me voir et m'a murmuré des choses à l'oreille, vous savez, des trucs cochons...".

On dit que les Islandais croient aux elfes et aux peuples occultes, il est cependant difficile de déterminer si cette affirmation est vraie. Une enquête menée par le département d'ethnologie de l'Université nationale a montré que très peu d'Islandais y croyaient. Pourtant, beaucoup ne nieraient pas non plus franchement leur existence et il semblerait que beaucoup feraient preuve de retenue lorsqu'ils pénètrent sur le territoire présumé des elfes. Comme on dit : "on ne sait jamais".

Auteur: Internet

Info: https://icelandmag.is, 22 septembre 2015

[ phantasme ] [ fantasmagorie ] [ libido ] [ érotisme ]

 

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quanticité

Trente ans plus tard, l'affacturage quantique gagne en vitesse

L'algorithme de Shor permettra aux futurs ordinateurs quantiques de factoriser rapidement de grands nombres, compromettant ainsi de nombreux protocoles de sécurité en ligne. Un chercheur a désormais démontré comment y parvenir encore plus rapidement.

L'algorithme de Peter Shor est une méthode quantique permettant de factoriser rapidement de grands nombres. Cet algorithme, développé dans les années 1990 menace la cryptographie à clé publique utilisée pour la sécurité sur Internet.

La nouvelle avancée d'Oded Regev

Oded Regev, un informaticien de l'Université de New York, a développé une nouvelle variante de l'algorithme de Shor qui améliore la relation entre la taille du nombre à factoriser et le nombre d'opérations quantiques nécessaires. C'est la première fois qu'une telle amélioration est réalisée depuis la découverte de l'algorithme original.

Regev a combiné l'algorithme de Shor avec des techniques de cryptographie basée sur les réseaux (lattices), qui traitent de la géométrie de haute dimension.

Fonctionnement de l'algorithme de Regev

L'algorithme de Regev généralise la fonction périodique au cœur de l'algorithme de Shor en utilisant plusieurs dimensions. Au lieu de multiplier un seul grand nombre plusieurs fois, il multiplie des paires de petits nombres ensemble, puis multiplie les résultats entre eux. Cela réduit considérablement le nombre de multiplications de grands nombres nécessaires, ce qui accélère le calcul quantique.

Implications et défis

Bien que l'algorithme de Regev accélère la partie quantique du calcul, il nécessite plus de qubits (bits quantiques) que l'algorithme de Shor original. Les qubits sont fragiles et sujets aux erreurs, ce qui rend la gestion d'un grand nombre de qubits difficile.

Cependant, des travaux récents ont permis de réduire le nombre de qubits requis par l'algorithme de Regev, le rendant plus proche d'une implémentation pratique.

Il faut souligner que l'amélioration de l'algorithme de Shor par Regev montre qu'il est toujours possible de faire des découvertes surprenantes dans le domaine de l'informatique quantique, même sur des problèmes étudiés depuis des décennies. Il reste encore beaucoup d'algorithmes quantiques à découvrir.

Auteur: Internet

Info: https://www.quantamagazine.org/thirty-years-later-a-speed-boost-for-quantum-factoring-20231017/, octobre 2023, résumé par deepseek

[ factorisation ] [ réduction ] [ polynomial vs exponentiel ]

 

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nano-biologie

Dans l'immense théâtre de la vie, où chaque organisme joue son rôle sur la scène de l'évolution, les Streptomyces nous offrent une performance remarquable. Ces bactéries, artisans du sol et productrices de molécules précieuses, dévoilent un mécanisme ingénieux pour corriger les erreurs de leur partition génétique. Au cœur de cette machinerie se trouve NucS, une endonucléase au rôle singulier : elle ne se contente pas de réparer les fautes de copie de l'ADN, elle les transforme en cassures double brin, des blessures volontaires qui appellent à la réparation. Ce geste audacieux, presque radical, est un acte de "bricolage évolutif", où une enzyme, initialement conçue pour une autre tâche, est détournée pour servir de gardienne de l'intégrité du génome.

Mais NucS ne travaille pas seule. Elle s'allie à la β-clamp, une protéine fidèle de la réplication, pour traquer les erreurs là où elles se produisent : près du front de copie de l'ADN. Ensemble, elles forment un duo improbable, unissant leurs forces pour maintenir l'ordre dans le chaos de la réplication. Et lorsque les mésappariements sont corrigés, les cassures qu'elles laissent derrière elles sont réparées par d'autres mécanismes, comme la recombinaison homologue ou la jonction d'extrémités non homologue, des artisans de la réparation déjà bien établis.

Ce "bricolage" n'est pas unique à NucS. L'évolution est une grande improvisatrice, réutilisant sans cesse ce qui existe pour créer du nouveau. Les plumes des dinosaures, d'abord ornements ou régulateurs de chaleur, deviennent les ailes des oiseaux. Les gènes Hox, autrefois simples architectes de la segmentation, orchestrent désormais la construction des membres et des organes. Même les virus, ces envahisseurs redoutables, sont parfois intégrés au génome et recyclés en outils utiles, comme les syncytines, essentielles à la formation du placenta.

Ainsi, NucS et son histoire nous rappellent que la vie est une œuvre en perpétuelle réécriture, où chaque pièce du puzzle est réutilisée, réadaptée, et parfois même détournée, pour répondre aux défis changeants de l'existence. Dans ce grand bricolage évolutif, chaque organisme est à la fois l'artisan et l'œuvre, sculptant son destin à partir des outils hérités de ses ancêtres.

Auteur: Internet

Info: https://academic.oup.com/nar/article/52/9/5033/7617145?login=false - Correction of non-random mutational biases along a linear bacterial chromosome by the mismatch repair endonuclease NucS - trad, adapt par Mg, deepseek, gemini et perplexity

[ adaptation ] [ évolution constante ] [ pressions sélectives ] [ épigénétique ]

 

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dissimuler

La cryptographie quantique n'est pas un algorithme de chiffrement à proprement parler : elle permet simplement de mettre en œuvre un algorithme de cryptographie classique, et même ancien, qui est le seul démontré sans failles : le "masque jetable". Cet algorithme, bien que parfaitement sûr, est peu utilisé car il nécessite un échange de clé de longueur aussi grande que le message à transmettre. Cet échange de clé pose des problèmes de sécurité aussi importants que la transmission du message en lui-même, ce qui limite le domaine d'applicabilité de cet algorithme.
Cependant, la cryptographie quantique permet à deux interlocuteurs de s’échanger une clé en toute sécurité ; en effet, cette méthode permet non seulement de démasquer toute tentative d’espionnage grâce aux propriétés de la mécanique quantique, mais également de réduire la quantité d’information détenue par un éventuel espion à un niveau arbitrairement bas et ce grâce à des algorithmes classiques ("privacy amplification"). La cryptographie quantique constitue donc un outil précieux pour des systèmes de cryptographie symétrique où les deux interlocuteurs doivent impérativement posséder la même clé et ce en toute confidentialité.
Mais pourquoi utiliser le système de cryptographie quantique pour communiquer une clé, et non le message en lui-même ? Pour deux raisons essentielles :
Les bits d'informations communiqués par les mécanismes de la cryptographie quantique ne peuvent être qu'aléatoires. Ceci ne convient pas pour un message, mais convient parfaitement bien à une clé qui, dans le cas du "masque jetable" peut (et même doit) être aléatoire.
Même si le mécanisme de la cryptographie quantique garantit que l'espionnage de la communication est détectée, il est possible que des bits d'informations entrent en possession de l'espion avant que celui-ci ne soit détecté. Ceci est inacceptable pour un message, mais sans importance pour une clé aléatoire qui peut être simplement jetée en cas d'interception.
Les fondements de la cryptographie quantique ont été établis, entre autres, par les travaux de 1984 de Charles H. Bennett et Gilles Brassard. Les premières idées ont été posées par Stephen Wiesner dans les années 1960, mais, chose que l'on peut considérer surprenante, leur publication avait été rejetée.

Auteur: Internet

Info: http://www.techno-science.net, décembre 2016

[ informatique ]

 

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femmes-hommes

L'effet coolidge doit son nom à Calvin Coolidge, président des États-Unis entre 1923 et 1929, et plus précisément à une anecdote le concernant. L'histoire raconte que le couple Coolidge était en visite, durant son mandat, dans une ferme modèle du gouvernement. Pendant que le président visitait une autre partie de la ferme, la première Dame visitait le poulailler. Le fermier lui expliquait que le coq copulait toute la journée, et des dizaines de fois par jour. Là-dessus, la First Lady lui aurait dit : "Racontez donc cela au Président".
Après avoir à son tour été informé sur les habitudes sexuelles du coq, le président aurait répliqué : "Toujours avec les mêmes poules ?". Bien entendu, l'agriculteur démentit puisque le coq s'occupe de tout le poulailler. Le président aurait alors répondu : "Racontez donc cela à mon épouse".
Authentique ou non, cette anecdote a donné ultérieurement le nom "effet Coolidge" à ce phénomène du monde animal. On a notamment constaté que chez certaines espèces, lorsque le mâle vient de coïter, son comportement sexuel change et il est à nouveau prêt immédiatement à de nouveaux ébats si on introduit une nouvelle femelle réceptive.
La recherche sur des rats de laboratoire a confirmé cette hypothèse. Quand un mâle est mis en présence d'une femelle, ils commencent très vite à copuler intensément et plusieurs fois. Après un petit moment, le mâle devient attentif envers la femelle et son comportement sexuel diminue pour tomber presque à zéro. Si l'on introduit une nouvelle femelle, tout le cycle recommence : la pulsion sexuelle intense du début qui diminue progressivement. Les rats masculins ont reproduit ce schéma chaque fois qu'une nouvelle femelle était introduite.
Les personnes qui connaissent le monde de l'élevage reconnaîtront également bien ce phénomène. Quand un agriculteur constate qu'un taureau n'est pas prêt à couvrir une vache, il sait qu'il peut immédiatement provoquer son excitation en lui présentant une nouvelle vache.
Sans entrer dans les explications scientifiques, on a constaté que l'expérience des rats se confirmait avec d'autres espèces animales. Un animal mâle paraît donc excité au plus haut point lorsqu'il est mis en présence de "nouveauté".

Auteur: Internet

Info:

[ vus scientifiquement ]

 

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homme-machine

Frank Rosenblatt est surtout connu pour son Perceptron, un dispositif électronique construit selon des principes biologiques et doté d'une capacité d'apprentissage. Les perceptrons de Rosenblatt ont d'abord été simulés sur un ordinateur IBM 704 au Cornell Aeronautical Laboratory en 1957. Lorsqu'un triangle était placé devant l'œil du perceptron, celui-ci captait l'image et la transmettait le long d'une succession aléatoire de lignes aux unités de réponse, où l'image était enregistrée.

Il a développé et étendu cette approche dans de nombreux articles et dans un livre intitulé Principles of Neurodynamics : Perceptrons and the Theory of Brain Mechanisms, publié par Spartan Books en 1962. Le Perceptron lui a valu une reconnaissance internationale. Le New York Times l'a qualifié de révolution en titrant "New Navy Device Learns By Doing", et le New Yorker a également admiré l'avancée technologique.

Des recherches sur des dispositifs comparables étaient également menées dans d'autres endroits, comme le SRI, et de nombreux chercheurs attendaient beaucoup de ce qu'ils pourraient faire. L'enthousiasme initial s'est toutefois quelque peu estompé lorsqu'en 1969, Marvin Minsky et Seymour Papert ont publié le livre "Perceptrons", qui contenait une preuve mathématique des limites des perceptrons feed-forward à deux couches, ainsi que des affirmations non prouvées sur la difficulté d'entraîner des perceptrons à plusieurs couches. Le seul résultat prouvé du livre, à savoir que les fonctions linéaires ne peuvent pas modéliser les fonctions non linéaires, était trivial, mais le livre a néanmoins eu un effet prononcé sur le financement de la recherche et, par conséquent, sur la communauté. 

Avec le retour de la recherche sur les réseaux neuronaux dans les années 1980, de nouveaux chercheurs ont recommencé à étudier les travaux de Rosenblatt. Cette nouvelle vague d'études sur les réseaux neuronaux est interprétée par certains chercheurs comme une infirmation des hypothèses présentées dans le livre Perceptrons et une confirmation des attentes de Rosenblatt.

Le Mark I Perceptron, qui est généralement reconnu comme un précurseur de l'intelligence artificielle, se trouve actuellement au Smithsonian Institute à Washington D.C. Le MARK 1 était capable d'apprendre, de reconnaître des lettres et de résoudre des problèmes assez complexes.

Auteur: Internet

Info: Sur https://en.wikipedia.org/wiki/Frank_Rosenblatt

[ historique ] [ acquisition automatique ] [ machine learning ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

survie

Les océans sont responsables de plus de la moitié de la production d'oxygène de la planète grâce à l'activité de photosynthèse du plancton végétal marin. Responsables de la majorité de cette photosynthèse océanique, les protistes, des micro-organismes marins eucaryotes (avec un noyau), unicellulaires et parfois photosynthétiques. Ni bactérie, ni virus, ni plante, ni animal à proprement parler, les protistes présentent une grande plasticité tant anatomique que physiologique, et un métabolisme complexe.
Emiliania huxleyi est un protiste appartenant à la lignée des haptophytes. De par son extrême abondance, cette toute petite cellule planctonique forme une espèce emblématique du phytoplancton marin. Dotée de métabolismes fondamentaux variés (photosynthèse, calcification, etc.), elle est connue pour son micro-squelette calcaire qui rend l'océan blanc-laiteux et visible depuis l'espace, lorsque les cellules se multiplient en gigantesques efflorescences.
Pour décrypter le génome d'Emiliania, premier génome d'haptophyte séquencé, les scientifiques ont utilisé treize souches de cette espèce provenant de tous les océans qui ont ensuite été isolées dans différents laboratoires.
Première découverte, le génome d'Emiliania huxleyi est vingt fois plus petit que le génome humain: il est constitué de 141 millions de bases (le génome des diatomées a environ 24 millions de bases et le génome humain environ 3 200 millions). Mais, surprise, il contient au moins un tiers de gènes en plus que le génome humain. Le consortium international a mis en évidence la présence de plus de 30 000 gènes codant pour toutes sortes de protéines et de fonctions, dont plus de la moitié sont totalement inconnues dans les bases de données génétiques existantes.
D'autre part, les treize souches séquencées, que l'on croyait relativement proches, ne partagent en moyenne que 75% de leurs gènes: on pourrait parler de génome-coeur d'Emiliania. Ainsi, 25% des gènes ne sont présents que dans certaines souches: ce génome "permutable" est composé des gènes spécifiques à certaines souches. Cette configuration en "pan-génome" (avec un génome-coeur entouré d'un génome permutable) est typique des bactéries et des archées. La présence d'une telle proportion de gènes spécifiques à certaines souches est remarquable pour un organisme eucaryote sexué. Elle offre sans nul doute à Emiliania une flexibilité génomique et des capacités d'adaptation élevées.

Auteur: Internet

Info: 14 juin 2013

[ sciences ] [ génétique ]

 

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transmutation

Pour la première fois, des scientifiques observent la création de matière à partir de lumière.

L'une des implications les plus fascinantes de la célèbre équation d'Einstein E=mc2 est que matière et énergie sont interchangeables.

En d'autres termes, il devrait être possible de créer de la matière à partir d'énergie pure, telle que la lumière. Ce processus, connu sous le nom de création de matière ou de production de paires, a été proposé pour la première fois par les physiciens Gregory Breit et John Wheeler en 1934. Cependant, il est resté insaisissable pendant des décennies, car il nécessite des photons de très haute énergie pour entrer en collision l'un avec l'autre et produire des paires d'électrons et de positons.

Aujourd'hui, une équipe de scientifiques du Brookhaven National Laboratory de New York a rapporté la première observation directe de la création de matière à partir de la lumière en une seule étape. Ils ont utilisé le collisionneur d'ions lourds relativistes (RHIC), un puissant accélérateur de particules capable d'assembler des ions lourds à une vitesse proche de celle de la lumière. Ce faisant, ils ont créé des champs électromagnétiques intenses contenant des photons virtuels, qui sont des perturbations de courte durée dans les champs qui se comportent comme de vrais photons.

Lorsque deux ions se sont croisés sans entrer en collision, certains de leurs photons virtuels ont interagi et se sont transformés en photons réels à très haute énergie. Ces photons sont ensuite entrés en collision et ont produit des paires électron-positron, qui ont été détectées par le détecteur STAR au RHIC. Les scientifiques ont analysé plus de 6 000 de ces paires et ont constaté que leur distribution angulaire correspondait à la prédiction théorique de la création de matière à partir de la lumière.

Cette expérience confirme non seulement une prédiction de longue date de l'électrodynamique quantique, mais démontre également une nouvelle façon d'étudier les propriétés de la matière et de l'antimatière dans des conditions extrêmes. Les scientifiques espèrent poursuivre l'étude de ce phénomène et de ses implications pour la physique fondamentale et la cosmologie. 


Auteur: Internet

Info: https://www.thesci-universe.com/ 5/18/2023

[ recherche fondamentale ]

 

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durabilité

Il a survécu à cinq extinctions massives, voici l’animal qui vit depuis le plus longtemps sur Terre

Les dinosaures se sont éteints il y a 66 millions d’années. Cependant, d’autres espèces antérieures ont survécu et sont toujours présentes aujourd’hui. Mais laquelle est la plus ancienne ? C’est la question pas si bête du podcast quotidien de l’édition du soir.

S’il reste difficile de dater avec précision le commencement, les plus anciennes traces de vie sur Terre remontent à 3,8 milliards d’années. Ce sont des restes fossilisés que les scientifiques ont retrouvés dans des sédiments. À cette époque très lointaine, les seules espèces présentes sont aquatiques. Et ce sera comme ça pendant plus de 3 milliards d’années.

Le Museum d’histoire naturelle, à Paris, nous apprend que la vie sur les continents n’est apparue qu’il y a environ 500 millions d’années, sous forme de mousses et de lichens. Mais quel animal, encore présent aujourd’hui, sillonne la planète depuis le plus longtemps 

Limules et cœlacanthes

Ici encore, difficile d’être complètement affirmatif. On ne peut se fier qu’aux fossiles qui ont été retrouvés. Le plus ancien connu à ce jour est celui d’une limule, un arthropode marin en forme de fer à cheval. Ce cousin du crabe était déjà là il y a 445 millions d’années. Il a survécu à cinq extinctions massives. Toujours dans l’eau, on sait également que les cœlacanthes, qui vivent dans les grandes profondeurs, existaient déjà il y a 400 millions d’années. Mais il faut préciser que ces animaux n’ont cessé d’évoluer et que ceux d’aujourd’hui ne sont pas exactement identiques à ceux d’il y a plusieurs centaines de millions d’années.

Bien avant les dinosaures

Sur terre, on peut citer le cafard, qui a été beaucoup plus gros qu’il ne l’est aujourd’hui. En 2001, le fossile d’un spécimen de 9 centimètres, datant d’il y a 300 millions d’années, a été retrouvé aux États-Unis. Éléphants, manchots et primates ne sont apparus que bien plus tard, il y a 60 millions d’années environ. Quant aux dinosaures, ils ont vécu pendant une période comprise entre -240 millions et -66 millions d’années. Les hominidés, eux, ne foulent la planète que depuis 2,8 millions d’années.



 

Auteur: Internet

Info: https://www.ouest-france.fr/, 7 janvier 2025

[ pérennité adaptative ] [ évolution ] [ stabilité ] [ longévité ]

 

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ésotérisme

La Kundalini prendrait en charge le système nerveux, éveillant au passage les Chakras, carrefour du monde subtil qui sont au nombre de sept. Ils sont :

7- Couronne (au dessus de la tête)
6- Troisième oeil (entre les sourcils)
5- Gorge (le cou)
4- Cardiaque (le coeur)
3- Plexus solaire (à la pointe du sternum)
2- Hara (deux pouces sous le nombril)
1- Sacrum (à la pointe de la colonne vertébrale).

Ils correspondent aux sept corps subtils :

1 corps physique (ou substantiel) - Le corps physique contient le corps éthérique
2 corps éthérique (ou corps de vie) - le corps éthérique déborde du corps physique et interpénètre le corps astral
3 le corps astral (ou émotionnel) - le corps astral interpénètre le corps mental
4 corps mental (ou de pensées) - le corps mental interpénètre le corps causal
5 corps causal (ou corps de l'âme) le corps causal interpénètre le corps mental supérieur (corps bouddhique)
6 corps mental supérieur ou conscience atomique (ange gardien) le corps bouddhique interpénètre le corps divin (corps) atmique.
7 corps divin (ou monade ou atmique ou corps de la conscience cosmique).

Qui ont sept fonctions

Septième chakra : conscience universelle et divine, unité et illumination – centre coronal – glande pinéale
Sixième chakra : intuition, perception intérieure, facultés psychiques et cognitives – plexus choroïde – hypophyse, hypothalamus
Cinquième chakra : communication, expression, créativité – plexus laryngé – glande thyroïde
Quatrième chakra : centre affectif, sentiments, harmonie, amour compassion, bonté, paix – plexus cardiaque – thymus
Troisième chakra : sensibilité, personnalité, image de soi, volonté, puissance – plexus solaire – glandes surrénales/pancréas
Deuxième chakra : sensations, émotions, instincts, sexualité – plexus hypogastrique – gonades
Premier chakra : stabilité, sécurité, survie, matérialité, équilibre fondamental – plexus pelvien – siège de l’énergie kundalini

Le centre ajna (au milieu du front) permet l’éveil de facultés de clairvoyance. Il est d’ailleurs souvent représenté par un troisième œil au milieu du front.
Lorsque le centre du sommet de la tête est éveillé, le yogi réalise l’union avec le Brahman – le Tout, la conscience cosmique - et il obtient entre autres la faculté de se déplacer dans son corps subtil.

Auteur: Internet

Info: compilé par Mg

[ symbole ] [ spiritualité ] [ septénaire ]

 

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