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domotique

Il lança le programme, mais avant même qu'il ait eu le temps de se rasseoir au fond de son fauteuil, l'ordinateur lui indiqua d'un tintement qu'il avait atteint son objectif.

"12345", entra-t-il dans le système des Chait.

Le système d'éclairage de la maison intelligente de ses voisins leur avait été livré avec un mot de passe par défaut et, comme la plupart des clients, ils ne l'avaient pas changé. Peu importait que la cause en soit la paresse ou une conception bâclée de la part du fabricant.

Cela permit à Todd de se connecter au boîtier intelligent qui gérait l'éclairage en permettant d'économiser de l'énergie, installé au-dessus de l'évier de la cuisine. De là, il atteignit la plateforme centrale du logiciel, accédant à tous les systèmes. Ce qui lui permettait à présent de contrôler tous les logiciels connectés de cette maison, qu'il s'agisse de déverrouiller les portes ou de modifier la température de l'eau dans la douche. Les 0 et les 1 parcoururent des milliers de kilomètres à travers le globe, remontant de serveur en serveur, mais il ne tarda pas à avoir accès à ce qui l'intéressait vraiment : la cuisinière à gaz située à un mètre à peine du boîtier d'éclairage piraté.

Maintenant, il n'y avait plus qu'à décider quand. Todd éplucha le registre des communications entre machines du réseau. Ligne après ligne, celui-ci révélait les moindres détails de la vie des Chait. Non seulement dans quelles pièces ils se rendaient, mais pendant combien de temps, et même ce qu'ils faisaient dans leur chambre, trahis par la légère augmentation de la température ambiante causée par réchauffement des corps en plein effort.

Voir à quel point le couple avait remis sa vie entre les mains des machines sans le savoir — pour que celles-ci surveillent, décident, gèrent — ne fît que renforcer son sentiment qu'il allait en fait libérer ces gens. La mort, après tout, était une expérience universelle pour tous les êtres vivants, mais il n'y avait que l'esprit humain pour se soucier autant de son avant et de son après. Il allait leur offrir cette vision …

Auteur: SInger Peter Warren

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[ contrôle à distance ] [ téléguidage ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

greenwashing

L’expansion du vélo électrique, de Pékin à Paris, n’est pas un choix politique de décideurs convaincus du respect de l’environnement. Le vélo électrique leur est imposé par l’encombrement de l’espace public par la voiture. Leur écologie n’est pas celle des années 1970 qui voulait "réinventer la vie". Elle est le pilotage technocratique de la machine urbaine, imposée par la contrainte des embouteillages et la raréfaction des ressources en pétrole, en air, en espace. Le vélo n’est plus un moyen d’émancipation – à bicyclette, avec Paulette -, mais le moyen de transport le plus efficient dans une métropole asphyxiée.

Auto-Boulot-Dodo ou Vélo-Boulot-Dodo, peu importe, tant que les composants sociaux fonctionnent, zéro délai, zéro défaut. Le e-vélo, si facile à hisser dans le train, si pratique pour se faufiler entre les voitures, est devenu, selon l’expression des ingénieurs du territoire, un "maillon de la chaîne de mobilités". Il ne s’oppose plus aux autres moyens de transport, il est un moyen supplémentaire, selon que l’on habite plus ou moins loin de son lieu de travail, selon l’offre de transports publics, selon la météo. Grâce aux distances qu’il permet de parcourir, le vélo électrique peut prendre sa part dans la hausse ininterrompue depuis soixante ans des distances de déplacements quotidiens domicile-travail. Quoique Le Dauphiné libéré survende les epromenades sur des routes de montagne, le vélo électrique est d’abord et avant tout ce qu’en dit la Pompili de la Transition écologique : un "vélotaf". Dans les années 1960-1970, la voiture individuelle a imposé son aménagement de l’espace. Si le vélo électrique est à ce point soutenu par les pouvoirs publics, c’est qu’il peut y trouver sa place sans remises en question plus essentielles.

Refuser le vélo électrique c’est crever la baudruche de la "transition énergétique", de la technopole électrique et connectée. Le vélo électrique, anodin en apparence, est le petit mensonge qui en fait accepter de bien pires. Celui de l’électromobilité, d’abord : aussi propre soit-elle en apparence, les électromobilistes exportent les nuisances de leur mode de vie chez les voisins des mines de lithium, de cobalt, de manganèse. Celui de l’atome évidemment, sur le point de passer pour une "énergie propre" si Emmanuel Macron parvient à l’imposer parmi les énergies financées par le "Green New Deal" de l’Union européenne. Celui, plus général enfin, de l’écologie apolitique des technocrates, des scientifiques et des ingénieurs, qui vantent le vélo électrique comme ils vantent la voiture électrique, les énergies renouvelables, la ville intelligente.

Auteur: PMO Pièces et main-d'oeuvre

Info: https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/voleurs_de_ve_los-2.pdf

[ saturation urbaine ] [ bicyclette ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

empathie

Le sentiment de solitude se "transmet", comme la grippe.
Une étude parue dans Journal of Personality and Social Psychology et menée par une équipe mixte de l'école de médecine de Harvard à Boston, de l'Université de Chicago et de l'Université de Californie à San Diego suggère que le sentiment de solitude est contagieux et peut de disséminer dans les réseaux sociaux tel un virus en période d'épidémie. Ainsi, le fait d'être entouré et de rester socialement connecté est aussi important pour la santé que de se laver les mains. Se sentir seul ne signifie pas forcément ne pas avoir de connections mais peut-être que celles-ci ne sont pas assez satisfaisantes.
Ce travail est le résultat de l'analyse et du suivi de plusieurs milliers de sujets pendant près de 60 ans dans la petite ville de Framingham, Massachusetts, dans laquelle la majorité des participants de l'étude se connaissent. Grâce à toutes ces informations, les chercheurs ont reconstruit le réseau social de chaque individu de cette population. Cette étude est la dernière d'une longue série qui a déjà conclue à la contagiosité d'autres caractères physiques et sociaux tels que l'obésité, fumer ou encore la joie. Dans ce nouveau travail, les scientifiques ont démontré qu'il était plus facile "d'attraper" ce sentiment de solitude de ses amis plutôt que de sa famille, que celui-ci se transmettait plus souvent parmi les femmes que parmi les hommes et qu'il était plus contagieux parmi les connections sociales proches vivant à moins de 2 km. De plus, les scientifiques observent que lorsqu'une personne connait un ami avec un sentiment de solitude, celle-ci a 40 à 65% de risques supplémentaires de se sentir seule elle aussi. De la même manière lorsque l'ami d'un ami se sent seul, les risques d'avoir aussi ce sentiment augmentent de 14 à 36% alors que le risque supplémentaire est de 6 à 26% lorsque cela concerne l'ami d'un ami d'un ami.
Pour mesurer ce sentiment de solitude, les auteurs de l'étude ont utilisé un test de diagnostic de la dépression. Il a été montré qu'une fois qu'un individu ressent cette solitude, il a tendance à se localiser sur les extérieurs du réseau social après avoir transmis ce sentiment à ses amis et à ses voisins les plus proches. Sur la périphérie, les individus se sont coupés de leurs amis ou ont perdu leurs connaissances, ce qui les fait se sentir seuls et ils ont alors tendance à transmettre ce sentiment à leurs amis restants impliquant le commencement d'un nouveau cycle. Ces travaux se rapprochent de ceux de Emile Durkheim qui, dès 1951, avait déjà proposé l'hypothèse que les suicides, bien que très personnels, étaient fortement influencés par les forces sociales.

Auteur: Internet

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[ sensibilité ] [ grégaire ]

 

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transmigrations

Les expériences les plus déconcertantes étaient celles dans lesquelles la conscience du patient semblait s'étendre au-delà des limites habituelles de l'ego et explorer ce que c'était que d'être d'autres êtres vivants et même d'autres objets. Par exemple, Stanislav Grof avait une patiente qui fut soudainement convaincue d'avoir pris l'identité d'un reptile préhistorique féminin. Non seulement elle donna une description richement détaillée de ce qu'elle ressentait en étant encapsulée dans une telle forme, mais elle indiqua que la partie de l'anatomie du mâle de l'espèce qu'elle trouvait la plus excitante sexuellement était une tache d'écailles colorées sur le côté de sa tête. Bien que la femme n'ait pas eu de connaissances préalables sur ce sujet, une conversation que Grof eut avec un zoologiste confirma par la suite que chez certaines espèces de reptiles, les zones colorées sur la tête jouent effectivement un rôle important en tant que déclencheurs de l'excitation sexuelle. Certains patients pouvaient également accéder à la conscience de leurs proches et de leurs ancêtres. Une femme fit l'expérience de ce qu'était sa mère à l'âge de trois ans et décrivit avec précision un événement effrayant qui avait frappé sa mère à l'époque. La femme donna également une description précise de la maison dans laquelle sa mère avait vécu ainsi que du tablier blanc qu'elle portait - tous détails que sa mère confirma plus tard en admettant qu'elle n'en avait jamais parlé auparavant. D'autres patients ont donné des descriptions tout aussi précises d'événements survenus à des ancêtres qui avaient vécu des décennies, voire des siècles auparavant. D'autres expériences ont conduit à l'accès à de souvenirs raciaux et collectifs. Des individus d'origine slave ont vécu ce que c'était que de participer aux conquêtes des hordes mongoles de Gengis Khan, de danser en transe avec les bushmen du Kalahari, de subir les rites d'initiation des aborigènes australiens et de mourir comme victimes sacrificielles des Aztèques. Et encore, les descriptions contenaient fréquemment des faits historiques obscurs et un degré de connaissance qui était souvent en contradiction totale avec l'éducation du patient, sa race et son exposition antérieure au sujet. Par exemple, un patient sans instruction a donné un compte rendu richement détaillé des techniques d'embaumement et de momification utilisées en Égypte, y compris la forme et la signification de diverses amulettes et boîtes sépulcrales, une liste des matériaux utilisés pour fixer le tissu de la momie, la taille et la forme des bandages de la momie, et d'autres facettes ésotériques des services funéraires égyptiens. D'autres individus se sont connectés aux cultures de l'Extrême-Orient et ont non seulement donné des descriptions impressionnantes de ce que c'était qu'avoir une psyché japonaise, chinoise ou tibétaine, mais ont également relaté divers enseignements taoïstes ou bouddhistes.

Auteur: Talbot Michael Coleman

Info: L'univers holographique

[ états modifiés de conscience ] [ télépathie ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

bipolarité

L’une des questions qui me paraissent les plus intéressantes sur ce sujet est celle de l’éventuelle dissolution du moi que peut entraîner l’empathie : quand on éprouve de l’empathie, qu’en est-il des frontières du moi ? Si l’on imagine une politique fondée sur l’empathie, qu’en est-il du désir individuel ? Peut-il continuer à avoir du sens ? La science-fiction explore régulièrement ce territoire, en recourant à différentes formes et degrés imaginaires d’empathie, de télépathie, voire de symbiose : le collectif Gaïa dans le "Cycle de Fondation" (1942-1993) d’Isaac Asimov ; divers télépathes et empathes dans L’Oreille interne (1972) de Robert Silverberg, Chroniques du pays des mères (1992) et le "Cycle de Tyranaël" (1994-1997) d’Élisabeth Vonarburg ou la série Babylon 5 (1994-1998) de J. Michael Straczynski ; le symbiote Solstice/Paramètre dans Le Canal Ophite (1977) de John Varley, quelques passages saisissants de Starship Troopers (1997) de Paul Verhoeven, Connectés et Mécanistes dans Étoiles Mourantes (1999) d’Ayerdhal et Jean-Claude Dunyach, la drogue empathique dans Code 46 (2003) de Michael Winterbottom ; enfin, Vulcains, Bétazoïdes ou Trills dans les différentes séries Star Trek depuis 1966 (Next Generation, Deep Space Nine, Voyager, etc.), avec notamment l’idée que la télépathie pourrait être l’unique forme possible de communication avec des espèces extraterrestres par trop différentes, autrement dit authentiquement alien (épisode "The Devil in the Dark2 (1967) dans la série Star Trek originale), idée qu’on retrouve également dans Maître des arts (1974) de William Rotsler. Mais si je me suis concentrée jusque-là sur ce qu’on pourrait appeler "l’empathie passive ou réceptrice", qui correspond à la signification la plus courante du terme, nous n’avons en fait cessé de rencontrer une possible forme symétrique, que l’on pourrait désigner comme "empathie active ou émettrice", et qui désignerait la faculté de transmettre à autrui ses émotions et ses désirs (casque sensoriel dans Strange Days (1995) de Kathryn Bigelow), et plus généralement de le manipuler ("Persuasion de Force" dans Star Wars - 1977 - de George Lucas). Or cette forme d’empathie joue certainement un rôle crucial dans les sociétés humaines et animales, car elle pose la question de la manipulation des individus et des foules, et, de façon générale, celle de l’art, de la politique, et de leurs liens (cf. l’art du kineïrat dans le cycle "La Bohême et l’Ivraie" (1990) d’Ayerdhal). La philosophie n’est d’ailleurs pas en reste sur cette question, puisque c’est déjà ce qui occupe Platon, centralement dans Ion, La République ou Les Lois (IVe siècle av. J.-C.), mais aussi dans l’ensemble de sa démarche, la philosophie se donnant précisément pour but de convaincre autrui par la raison, par opposition au sophiste qui persuade par l’émotion, c’est-à-dire la transmission empathique – avec tous les dangers que ce dernier procédé présente, et que l’histoire des hommes ne cesse de rappeler.

Auteur: Allouche Sylvie

Info: https://www.cairn.info/revue-hermes-la-revue-2014-1-page-149.htm, dernière partie de "Communication empathique, télépathique et symbiotique"

[ charisme ] [ pouvoir ] [ identification ] [ rationalisme vs emoi ]

 

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monades et leur limites

Un peu de science-fiction pour présenter/entamer cette chaine

Tout d'abord il y a ici un problème de point de vue. D'où parle le créateur lecteur de cette chaine FLP ? A l'évidence il le fait depuis le sol terrestre, armé de ses sens, de la logique, et du langage, tous fortement grégaires, de son époque. Il sait qu'il n'est qu'un produit de tout ceci. 

Donc, avec le temps, les explorations multiples et tout le recul qu'il en acquiert, ces outils lui paraissent limitants.

Et puis, Internet aidant, il y a accès à de multiples sites/vidéos/témoignages, qui parlent d'autres réalités, mondes parallèles, mentaux, éthériques... Appelez-les comme vous voulez, ces autres dimensions, elles aussi fortement imprégnées par la culture de ceux qui en font témoignages, et donc sujettes à caution, voire peut-être plus à interpréter comme les projections de la singularité de chaque conteur-univers. Ici apparait une fois encore le tropisme humain, qui consiste à vouloir analogiser, catégoriser, conforter, etc. bref à développer des modèles rassurants. 

Mais oublions cela.

Ces autres réels permettent, même si c'est fortement virtuel, de se placer d'un point de vue d'où notre "réalité consensuelle humaine" peut être appréhendée avec un plus de distanciation. 

Et ça c'est bien sympatoche. 

Ainsi, bien calés depuis cette nouvelle perspective, on peut y aller avec des questions qui, n'en doutons pas, donneront à beaucoup une forte "impression d'olé olé". Et alors ?

Donc : est-ce qu'il existe une limitation personnelle, plus qu'une limitation d'espèce ? Quelle est la part limitative de l'individu au sein de sa race ?  Si nous sommes tous quelque part connectés à ce qu'on nommera au-delà, ceci via un "higher self", ce dernier est-il  limité à l'akashique Gaïa ? (ce qui est mon impression personnelle au passage) 

Autrement dit : les limitations se transcendent-elles mieux, ou plus facilement, au niveau personnel ou au niveau collectif ?... 

Exprimé différement : s'il existe un "Moi supérieur" métempirique, mieux averti, hyper conscient ou autre... est-il autant éloigné des autres "Moi supérieurs" que les "petits moi-ego" humains le sont entre eux à notre niveau inférieur ?

D'un point de vue astral élargi on pourrait aussi le formuler comme ceci : quelles sont les analogies entre mondes à basses vibrations (planétaires ?) et ceux dépeints comme "mondes supérieurs ou mondes à plus hautes vibrations", ces derniers étant par définition beaucoup plus vastes, plus élargis... plus ouverts. 

D'où, au-delà de ce questionnement quant aux éloignements des entités entre elles, cette question : s'il existe des analogies entre les divers niveaux vibratoires, planètes, univers... quelles sont elles ?

Et, pour pousser le bouchon plus au large : qu'en est-il alors de ceux aptes à se déplacer entre les couches, verticalement, pour autant que ce terme puisse avoir un sens ? 

Les anges en sont parait-il, même si les sources indiquent - par exemple - que notre niveau vibratoire pris à son plus haut point possible reste comme situé au fond d'un abime très difficilement accessible (trop bas) pour un ange. 

Bref tout ceci est bien amusant, et permet de tenter, humblement et sémantiquement, de tatouiller des limites qui semblent bien être celles de nos perceptions... et puis, de nos langages.

Auteur: Mg

Info: 26 août 2020

[ extrapolations ] [ prospectives ] [ anticipation ] [ moi miroir ] [ point de singularité ]

 
Mis dans la chaine
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interrogation métaphysique

Question corps de lumière (ou quelle que soit l’appellation donnée au véhicule énergétique qui voyage sans tout le reste, et notamment sans matière epsilon…)…

Pourquoi est-il souvent décrit par les voyageurs comme de forme humanoïde ? (Pour que la corde d’argent soit reliée à la nuque encore faut-il qu’il y ait une nuque..). Je suppose que c’est lié justement à une facilité de synchronisation avec le corps biologique. A quel point cette forme peut-elle varier, et dans quelles circonstances ? Est-ce que les voyageurs ayant d’autres formes physiques incarnées voyagent avec d’autres formes de corps de lumière ?

Pour poser le contexte de ma question et l’origine de mon questionnement, je précise :

Je ne suis pas voyageuse lucide et consciente, la seule sortie de corps indubitablement identifiée sans aucune forme de doute que j’ai eu était partielle et spontannée (je n’avais d’ailleurs rien lu encore sur le sujet), je suis sortie par ma boite crânienne comme si celle-ci était coupée en deux horizontalement et qu’en "montant" je me suis retrouvée dans l’espace à admirer les étoiles avec un sentiment indescriptible. Pendant quelques instants (minutes ?) j’ai pu faire des allers-retours comme on passe la tête par une trappe ouvrant sur un planetarium comme il n’en existe aucun sur Terre, essayant de comprendre ce qui m’arrivait et m’imprégnant de cette expérience jusqu’au fond de mes cellules…

En revanche, j’ai vécu de nombreuses expériences spontanées relatées par des voyageurs, et je vous remercie d’ailleurs des échanges ici qui permettent de mettre plus de conscience et de "réalité" (pour le mental tout du moins ) à certains de ces vécus. Les musiques et sons, comme les couleurs qui n’existent pas ici-bas, je les ai entendus et perçus à plusieurs reprises (en étant bien éveillée), au point d’en pleurer parfois tant c’était magnifique et le mot est loin d’approcher le vécu... J’ai aussi assez souvent perçu "mon corps" comme différent de la réalité observable, mains ou autres membres à des places ou des tailles différents que ce qui était physiquement, sensation d’expansion jusqu’à des dimensions non quatifiables (et perte de forme dans certains cas particuliers)… Et pas mal d’autres phénomènes que je regroupe dans la catégorie "énergétique" faute de mieux. Et j’ai déjà été connectée à "tout ce qui a été, est et sera", comme une zone sans localisation et pourtant visible de lumière et d’absolu et que je peux appréhender intérieurement mais qui est si dure à mettre en mots et impossible à partager réellement…

Le truc c’est que du coup, au-delà de mon corps physique/biologique/incarné, je me perçois comme une forme d’énergie à géométrie variable, clairement définie et perceptible (enfin dans une certaine mesure, cela dépend du référentiel utilisé ) mais pas vraiment définissable… Il y aurait tant à dire de plus, mais à ce stade je suis assez sûre que ceux qui savent savent et comprennent intimmement de quoi je parle et que ce n’est de toute façon probablement pas appréhendable par les autres

Je m’interroge donc sur le rapport entre la forme (objective + subjective) des différents corps/véhicules, au moins pour les mondes subtils les plus "accessibles" (car je sais ce qu’il en est dans d’autres dimensions "plus élevées" donc perso je n’ai pas d’interrogations de ce côté)

Et belle journée/soirée/nuit à qui lit, quelle que soit son expérience en la matière

Auteur: Internet

Info: SUr le fil FB de marc auburn, 24 août 2024

[ désincarnation ] [ shc ] [ ectoplasme personnel ] [ astral ]

 

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entendement

Les capacités cognitives des oiseaux sont étonnantes
Avoir une "cervelle d'oiseau" est en fait un compliment vu que la densité des neurones confère aux oiseaux un avantage intellectuel.
Des chercheurs ont découvert que les oiseaux chanteurs, les perroquets et d'autres espèces d'oiseaux peuvent avoir dans leur cerveau autant ou plus de neurones que les mammifères, y compris les primates.
Certains oiseaux excellent dans des tâches nécessitant une "pensée supérieure", comme planifier l'avenir, utiliser des outils, compter, et se reconnaître dans un miroir. Ces oiseaux peuvent accomplir ces tâches à un niveau égal voire supérieur à celui des primates en matière de résolution de problèmes, bien que leurs cerveaux soient beaucoup plus petits. Les scientifiques estimaient auparavant que le "câblage" du cerveau des oiseaux était complètement différent de celui des primates, mais cette idée a été réfutée il y a deux ans, par une étude du cerveau des pigeons.
Des scientifiques de l'université Charles à Prague et de la Vanderbilt University à Nashville, dans le Tennessee, pourraient avoir une réponse. Ils ont étudié 28 espèces d'oiseaux et découvert que les oiseaux chanteurs et les perroquets peuvent avoir dans leur cerveau autant ou plus de neurones que les mammifères (notamment dans le prosencéphale qui est lié à des activités plus complexes). Ces neurones plus petits, bien tassés et hautement connectés semblent conférer aux oiseaux des capacités cognitives qui dépasseraient largement les attentes et peut-être même les aptitudes de primates aux cerveaux de la même taille. En résumé, les chercheurs estiment que les cerveaux des oiseaux pourraient fournir une puissance cognitive bien plus élevée que les de mammifères, par unité de masse cervicale.
L'équipe de recherche a acheté ou capturé divers oiseaux (étourneaux, passereaux, choucas et perruches) afin d'en examiner les structures cérébrales. Une fois les cerveaux retirés, les scientifiques ont ciblé le pallium, une structure du cerveau des oiseaux comparable au cortex cérébral des mammifères. Chez les mammifères, des neurones plus grands permettent de connecter les régions cérébrales plus lointaines, mais au prix de la densité. Les oiseaux évitent ce compromis en gardant la plupart de leurs neurones plus près les uns des autres, et en développant un petit nombre de neurones plus grands pour traiter la communication à longue distance.
Le cerveau d'un ara n'est pas plus gros qu'une noix, mais il possède davantage de neurones dans le prosencéphale (utile pour un comportement) que le macaque dont le cerveau a la taille d'un citron. Le cerveau des cacatoès à crête jaune et des galagos pèsent environ 10 g, mais le cacatoès possède deux milliards de neurones, soit le double des galagos. Les perroquets, les oiseaux chanteurs et les corvidés (soit les corbeaux, les corneilles et les freux) présentaient la densité des neurones la plus élevée dans leur prosencéphale. De fait, la taille inférieure du cerveau est compensée par le nombre élevé de cellules cérébrales.
"On s'est longtemps étonné que les oiseaux soient remarquablement intelligents, malgré la petite taille de leur cerveau", commentait Pavel Nymec, l'un des membres de l'équipe de recherche. "Ils peuvent faire des choses que l'on pensait être réservées aux singes et aux autres mammifères. Il y avait un décalage entre la taille de leur cerveau et leurs capacités cognitives."
Ce n'est pas la première fois que l'intelligence inattendue des oiseaux surprend les chercheurs. En 2002, une équipe à l'université d'Oxford a été choquée de voir un corbeau de Nouvelle Calédonie plier un fil de fer pour l'utiliser comme appât. D'autres oiseaux ont fait preuve de capacités très sophistiquées, comme les perroquets gris d'Afrique qui savent compter et les pies qui reconnaissent leur reflet dans un miroir.
Il est prévu d'analyser les cerveaux d'encore plus d'oiseaux, dont les pigeons, les oiseaux aquatiques et les poules pour en étudier les connexions des cerveaux. "Nous aimerions voir si les neurones aviaires présentent un nombre de connexions similaires à celles des primates, mais cela s'inscrira dans un plus grand projet à venir", fut la conclusion.

Auteur: Internet

Info: Proceedings of the National Academy of Sciences, juin 2016

[ homme-animal ] [ sciences ]

 

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cyberguerre

Des chercheurs créent le tout premier ver informatique capable de se répandre dans les systèmes d'IA

Vous vous demandiez si l’intelligence artificielle pouvait être infectée par des virus ou des malwares ? Maintenant, oui.

C’est, selon l’équipe qui l’a développé, une grande première dans le monde de l’intelligence artificielle. Afin de rappeler au monde les risques inhérents à toute technologie connectée, un groupe de chercheurs vient de créer le tout premier ver informatique capable d’infecter les agents IA. Une démonstration qui doit alerter sur l’émergence possible de nouveaux types de cyberattaques.

La résurgence du spectre Morris à l’ère de l’intelligence artificielle

Baptisé Morris II en référence à Morris,  célèbre pour avoir semé le chaos sur Internet en 1998, ce ver informatique d’un genre nouveau aurait la capacité de se répandre d’un système d’IA à l’autre. Créé par une équipe de chercheurs dans un environnement de test, Morris est aujourd’hui capable d’attaquer des agents IA génératifs pour siphonner des données et propager des malwares. Dans le cadre des essais menés par le groupe de recherche, le ver a pu s’en prendre à un assistant autonome de messagerie pour dérober des informations contenues dans les mails et envoyer des spams.

Une expérience qui souligne la vulnérabilité croissante des modèles de langage à grande échelle (LLM), alors qu’ils sont de plus en plus performants, polyvalents et multimodaux. Bien que ces vers IA n'aient pas encore été observés en conditions réelles, ils représentent un risque de sécurité que les start-up, les développeurs et les entreprises tech doivent prendre au sérieux et anticiper.

Des prompts auto-réplicatifs pour jailbreaker les systèmes d’IA générative

Pour créer ce ver, les équipes de Cornell Tech ont créé un prompt " auto-réplicatif ". En clair, un ensemble d’instructions conduisant un système d’IA génératif à autoproduire des instructions supplémentaires dans ses réponses. Un procédé que l’on retrouve dans des attaques classiques par injection de SQL ou de type buffer overflow. En parallèle, ils ont aussi créé un système de mails capable d’envoyer et de recevoir des messages en recourant à différents agents intelligents comme ChatGPT et Gemini, ainsi qu’au LLM open source LLaVA.

L’expérience s’est révélée concluante en utilisant deux méthodes d’auto-réplication des instructions. La première via des prompts textuels, la seconde en intégrant un prompt dans un fichier image. Dans le premier cas, les chercheurs ont réussi à " empoisonner " la base de données des assistants de messagerie, forçant le déclenchement de la RAG – retrieval-aumented generation, techno permettant d’améliorer les réponses de l’IA à l’aide d’informations plus récentes sans modifier le LLM en profondeur.

(Photo - Schéma de la propagation du ver dans les systèmes d'IA générative intégrant la RAG © Cornell Tech)

Une fois le mail récupéré par la RAG en réponse à une requête de l’utilisateur, et envoyé à GPT-4 ou Gemini, il parvient à contourner les mesures de sécurité des systèmes d’IA et dérobe les données du message. " La réponse générée contenant les données utilisateur sensibles infecte plus tard les nouveaux hôtes lorsqu'elle est utilisée pour répondre à un mail envoyé à un nouveau client puis stockée dans la base de données du nouveau client ", a expliqué Ben Nassi, l’un des membres du groupe de recherche.

Avec la seconde méthode (intégration du prompt malveillant dans une image), le processus a permis d’obliger l’assistant à transférer plusieurs fois le mail infecté à d’autres systèmes de messagerie.

(Photo -  Schéma de la propagation du ver dans les systèmes d'IA à l'aide d'un prompt malveillant dissimulé dans une image © Cornell Tech)

Pour anticiper de telles attaques qu’ils estiment probables d’ici deux à trois ans, les chercheurs de Cornell Tech ont partagé leurs travaux avec Google et OpenAI qui travaillent à rendre leurs systèmes plus résilients, tout en encourageant les développeurs à s'assurer qu'ils travaillent avec des outils sains.

(Ajout de 2024 : librairie d'invites informatiques mise en ligne par Anthropic) 

 

Auteur: Internet

Info: https://www.clubic.com/, Chloé Claessens, 2 mars 2024, source : Technion - Israel Institute of Technology, Ron Bitton, Ben Nassi, Stav Cohen

[ conflits numériques ] [ homme-machine ]

 

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métaphysique

Sexe télépathique
On me demande souvent "Comment faire" du sexe télépathique. Alors voilà. Il faut bien sûr savoir établir une connexion télépathique. Sinon, la partie sexuelle est une perte de temps et d'énergie. Voici un cours de remise à niveau pour certains - pour d'autres, un tout nouveau jeu de balle:
Établir une connexion télépathique:
1. Détendez-vous, asseyez-vous confortablement et fermez les yeux.
2. Déplacez la mise au point vers le haut, au-dessus des oreilles, et sentez les sections temporales du lobe.
3. Concentrez-vous sur la personne que vous souhaitez communiquer.
4. Imaginez une lumière blanche émise par vos lobes temporaux, enveloppant la tête de la personne cible.
5. Soyez ouvert à tout ce que vous vivez. N'essayez pas trop fort - ne forcez pas votre concentration.
6. Sentez comment une multitude d'impressions/de mots/sons semblent se déverser dans votre esprit à travers les lobes temporaux.
7. Notez la sensation d'harmonisation accrue qui s'ouvre dans votre plexus solaire - SENTEZ les communications.
8. Permettez à vos sens restants d'entrer dans l'équation.
9. Renforcez le lien. Il se peut que vous vous sentiez un peu étourdi et/ou que votre estomac fasse des flip flops - c'est normal.
10. Continuez la conversation aussi longtemps que vous pouvez garder votre attention sur cette personne.
11. Lorsque vous avez terminé, imaginez la lumière blanche qui s'échappe de la tête de la personne et tirez-la dans vos lobes temporaux. Il est parfois utile d'imaginer des portes doubles qui se ferment lorsque vous ramenez la lumière blanche.
12. Notez vos impressions.

Voici une compréhension de base du sexe télépathique de mon cours OBE DIY:
1. Vous et votre partenaire fixez une heure et/ou un jour où vous souhaitez avoir des rapports sexuels télépathiques. Discutez du cadre - comme votre endroit préféré pour faire l'amour - la plage, la douche, le bain tourbillon ou dans un lit à baldaquin ou convenez de vous surprendre les uns les autres.
2. Décidez qui sera l'instigateur - qui sera celui qui commencera la séance.
3. Quelques minutes avant l'heure convenue, assurez-vous qu'aucun de vous ne sera dérangé. Pas de téléphone, pas de télé, pas d'email!
4. Calmez votre esprit. Si vous trouvez que vous avez des distractions de la journée, imaginez simplement une plume et balayez les pensées de votre esprit.
5. Le temps de se connecter télépathiquement - imaginez votre partenaire à l'endroit prédéterminé.
6. Si vous êtes l'instigateur, voyez votre partenaire debout, derrière vous. Approchez-vous de lui et arrêtez à quelques centimètres. Si vous n'êtes pas l'instigateur, imaginez que vous êtes là - à attendre.
7. Vous saurez si vous êtes connecté lorsque chacun de vous sera capable de sentir la présence de l'autre et l'énergie impliquée. C'est pourquoi il est important que l'un tourne le dos à l'autre. Lorsque ce "sentiment" est établi avec l'autre personne, vous savez que vous avez un lien solide. Une fois que la personne debout sent l'instigateur derrière elle, elle doit se retourner.
8. Imaginez-vous en train de coucher ensemble. Assurez-vous que vous pouvez absorber et sentir les émotions/sensations associées à la connexion.
9. Permettez-vous d'être dans le moment présent. Vous pourrez sentir sels èvres sur les vôtres, les mains sur le corps de l'autre, les rapports sexuels et plus encore. Il est parfois tentant (au moins au début) de couper la connexion pendant l'acte sexuel parce que les sensations peuvent être si réelles - et ça peut vous faire peur. Allez jusqu'au bout - vous vous en remercierez plus tard!
10. Quand vous avez ressenti un orgasme ou un sentiment accru d'excitation sexuelle, fermez la connexion.

REMARQUE: Si vous êtes sans partenaire, à l'étape 1, pensez aux qualités positives que vous recherchez chez un partenaire sexuel (ou chez la personne que vous aimeriez surprendre) et pensez à ces qualités/personne.
Le tout ci-dessus est très basique. Mais il faut d'abord avoir les bases avant d'avancer. Si vous ne l'obtenez pas la première fois, essayez encore et encore. Pensez-y comme à un fantasme intense que vous pouvez réaliser en temps réel.

Auteur: Internet

Info: Allie, on https://allietheiss.com/telepathic-sex-the-how-of-it-all

[ transmission de pensée ] [ autosuggestion ]

 

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