Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 32
Temps de recherche: 0.0362s

justification simple pour retard au travail

Je n'arrivais pas à défaire le noeud de mes chaussures.

Auteur: Internet

Info:

 

Commentaires: 0

justification pour arrivées en retard

Quelqu'un a mangé mon cerveau cette nuit et je n'arrivais plus à me réveiller.

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

 

Commentaires: 0

guitare

Je n'arrivais pas à croire combien Jimi Hendrix était bon, c'était une chose difficile à gérer, je n'avais qu'a m'incliner et à dire "c'est fantastique".

Auteur: Clapton Eric

Info:

[ rock ]

 

Commentaires: 0

focale

Quand je mettais au point et quand j'arrivais à quelque chose qui, à mes yeux, était très beau, j'arrêtais alors, au lieu de tourner l'objectif jusqu'à une mise au point parfaite, ce que tous les autres photographes tiennent absolument à faire.

Auteur: Margaret Cameron Julia

Info: Annals of my Glass House, 1874

[ imperfection ] [ flou ]

 

Commentaires: 0

racisme

Quand j'étais enfant, certains gars essayaient de me faire haïr les Blancs pour ce qu'ils faisaient aux Noirs, et pour un certain temps j'ai vraiment essayé. Mais à chaque fois que j'arrivais à les détester, une rencontre avec un blanc venait tout chambouler.

Auteur: Monk Thelonious

Info:

[ communautarisé ] [ absurde xénophobie ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

écrivain-sur-écrivain

J’ai toujours eu des problèmes à le lire parce qu’il avait trop tendance à interrompre son récit pour s’interroger sur le sperme et la contemplation des étoiles, mais quand tu arrivais à y accéder il n’y avait rien de mieux, mais franchement, j’abandonnais la plupart du temps.

Auteur: Bukowski Charles

Info: A propos de Henry Miller, lettre à John Martin, 14 juin 1980

[ mystico-sirupeux ] [ critique ] [ digressions ennuyeuses ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

abrutissement

Après seize ans de mariage, je ne reconnaissais plus cet homme. J'étais médusée de constater qu'on pouvait changer du jour au lendemain. Qu'une eau tranquille pouvait engendrer la plus tragique des inondations. J'en arrivais à croire que je m'étais peut-être mal comportée. Mon avis lui importait peu. Ce n'était plus le même homme qui m'avait fascinée au nord du pays, lorsqu'il était professeur d'histoire, de géographie et de français au collège Aimé-Césaire.

Auteur: Mabanckou Alain

Info: Les petits-fils nègres de Vercingétorix, Seuil, p.191

[ femmes-hommes ] [ couple ]

 

Commentaires: 0

jeu de mots

<Rhaegar> Hahaha! Un pote ultra catho vient de m'envoyer un texto voir si je ne peux pas le sortir d'une situation délicate : il est avec sa "douce amie", ils sont seuls, et elle commence à devenir un peu trop entreprenante... :D
<Rhaegar> Je lui ai répondu que j'arrivais.
<Volo> Sérieux ? >_>
<Rhaegar> Mais je sais pas si j'attends 1/2 h ou 1h pour lui dire que je suis à 500km de Rennes...

Auteur: Internet

Info:

[ humour ] [ dialogue-web ]

 

Commentaires: 0

papa

Dors sur ma poitrine un petit moment, ça te réchauffera un peu" dit mon père avec affection. Contre la poitrine de mon père, je me sentis un peu tranquillisé. Et cependant, je n'arrivais pas à m'endormir. La tête levée, je regardais le visage de mon père... Quand le vent soufflait, il frôlait mon épaule, avec une caresse comme pour endormir les petits bébés, il dit : "Ce n'est rien, les feuilles se remettent à bruire, dors bien".

Auteur: Pa Kin Li Yaotang

Info: La pagode de la longévité

[ sécurité ] [ rassurer ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

désespoir

J'étais intriguée par ces femmes des siècles passés qui mouraient de chagrin - elles se mettaient au lit et s'éteignaient, tout simplement. C'était ce que je voulais : je ne désirais rien d'autre que m'étendre et laisser la vie se retirer de moi. Je n'arrivais pas à y croire, chaque matin, quand j'ouvrais les yeux et que je sentais la vie se répandre en moi comme la sève dans un arbre - cette force indéniable de l'existence.

Auteur: O'Farrell Maggie

Info: Quand tu es parti...

[ séparation ] [ tristesse ]

 

Commentaires: 0