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dernières paroles

Lorsqu'on lui dit: - Criez: Vive la nation!... elle osa répliquer, en pleine révolution, - Fi! L'horreur!

Auteur: Lamballe princesse de

Info: Elle se fit massacrer juste après avoir séjourné en prison. Sa tête fut portée au bout d'une pique, ses longs cheveux blonds, encore bouclés, flottant au vent

[ . ]

 

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Europe

Les allemands sont ennuyants. Ils aiment bien le fromage qui pue. Ils aiment aussi la viande graisseuse. Ils sont blonds ou roux.

Auteur: Gaillard Sacha

Info: En 2010, à 14 ans

[ dénigrement ]

 

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personnage

Il avait des cils blonds et une peau de bébé, un profil qui s'était prudemment arrêté à mi-chemin entre celui de l'homme et celui de la théière, et un diamant de second choix ornait son auriculaire potelé.

Auteur: Nabokov Vladimir

Info: Roi, dame, valet, Gallimard, collection Folio, 1988, p.112

[ description ]

 
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insolite

J'ai raconté que, pendant la Première Guerre mondiale, Hitler avait été estafette, il transportait des messages entre les tranchées allemandes, et il était révolté de voir ses compagnons d'armes fréquenter les bordels français. Pour garder pur le sang aryen, et empêcher les maladies vénériennes, il commande une poupée gonflable que les soldats nazis pourraient emmener à la guerre. Hitler conçut lui-même des poupées avec des cheveux blonds et des gros seins. Le bombardement allié de Dresde détruisit l'usine avant que les poupées soient lancées sur le marché.

Auteur: Palahniuk Chuck

Info: Snuff

[ racisme ] [ puritain ] [ pruderie ]

 

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habillement

Une toute nouvelle Adriana Philomena Stevenson, plus banale que nature. Chaussures à talons plats, sweater noir à col rabattu, pantalon à pinces, manteau de cuir. Des lunettes de presbyte, rouge à stries blanches, suspendues sur sa poitrine par une chaînette dorée. Le casque de cheveux blonds, encore raide des efforts de la coiffeuse. Un gros sac de cuir pendait à son épaule. Le sien, noir et vaste. Elle avait abandonné le sac vert d'Adriana à l'atelier. Une superstition. Ne pas se balader avec le sac d'une morte au bras.

Auteur: A. B. Daniel pseudo

Info: L'enfant venu d'ailleurs de

[ superstition ] [ personnage ]

 

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pensée-de-femme

Je biberonne ma vodka en rêvassant à Connor, et ça me fait du bien. Ses cheveux blonds qui brillent au soleil, son éternel sourire. La façon dont il a boosté mon ordinateur sans même que je le lui demande, et la façon dont...
J'ai un blanc. C'est fou ! Connor a tellement de qualités. Ses... jambes fines. Oui. Et ses larges épaules. Et le jour où il s'est occupé de moi quand j'avais la grippe. Combien de mecs feraient ça ? Hein ?
J'ai une chance de... Enfin, j'ai beaucoup de chance.

Auteur: Kinsella Sophie

Info: Les petits secrets d'Emma

[ amoureuse ]

 

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Dostoïevski

Petit, grêle, tout de nerfs, usé et voûté par soixante mauvaises années; flétri pourtant plutôt que vieilli, l'air d'un malade sans âge, avec sa longue barbe et ses cheveux encore blonds, et malgré tout respirant cette "vivacité de chat" dont il parlait un jour. Le visage était celui d'un paysan russe, d'un vrai moujik de Moscou : le nez écrasé, de petits yeux clignotant sous l'arcade brillant d'un feu tantôt sombre, tantôt doux; le front large bossué de plis et de protubérances, les tempes renfoncées comme au marteau; et tous ces traits tirés, convulsés, affaissés sur une bouche douloureuse. Jamais je n'ai vu sur un visage humain pareille expression de souffrance amassée.

Auteur: Eugène Marie Melchior de Vogüé

Info: Vogüé, qui l'a bien connu, a tracé de lui ce portrait

[ personnage ]

 

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écrivain-sur-écrivain

Parmi ces jeunes gens, je remarquai un garçon qui devait avoir dix-sept ans, solidement bâti, les cheveux blonds, le visage d’une pâleur maladive. C’était Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski, récemment arrivé de Moscou en compagnie de son frère aîné, Michel.

[...] Déjà, Dostoïevski se montrait peu sociable : il se tenait à l’écart des autres et s’abstenait de participer à leurs jeux. Plongé dans un livre, il semblait qu’il recherchât un endroit où s’isoler. Bientôt il le découvrit, et ce devint son séjour de prédilection. C’était un renfoncement dans le mur d’une classe dont la fenêtre donnait sur la Fontanka. Pendant les récréations, on était sûr de l’y trouver, un éternel livre à la main.

Auteur: Grigorovitch Dmitri

Info: Extrait des "Mémoires littéraires" dans "Dostoïevski vivant", trad. du russe par Raïssa Tarr, éditions Gallimard, 1972, page 17

[ portrait ] [ description ] [ jeunesse ]

 

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cerveau

A peine étais-je devenu aveugle que j'avais oublié le visage de ma mère, celui de mon père, et généralement de tous les êtres que j'aimais. [...] Il m'était devenu subitement égal que les gens eussent les cheveux bruns ou blonds, les yeux bleus ou verts. Je trouvais même que les voyants employaient beaucoup trop de leur temps dans ces observations inutiles. [...] Les cheveux, les yeux, la bouche, le noeud de cravate et les bagues aux doigts comptaient si peu pour moi désormais que je ne pensais plus à eux, si bien que les gens n'en avaient plus. il se formait dans mon esprit des images d'hommes et de femmes sans tête, sans doigts [...]

Auteur: Lusseyran Jacques

Info:

[ imagination ] [ aveugle ] [ non-voyant ] [ témoignage ]

 

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fatigue des sens

Je venais de baiser mon épouse et je ne coïncidais plus avec moi. J’étais en proie à la catatonie des sens qui suit immédiatement la déflagration du phallus dans l’amour fiat. J’étais mort, enterré dans cette femme familière. Des vagues rouges roulaient encore sous mes paupières exsangues. Mes poumons cherchaient leur air.
J’étais foutrement fatigué.
Je roulai sur le dos. Le drap qui plissait était frais sous ma peau. Je reprenais sans me presser mes esprits épars sur le traversin. Sa tête abandonnée dans une flaque de cheveux blonds contre mon épaule, Vera collait et décollait sa paume de son ventre moite.
Il est atroce le petit "srizz" que produit la main de l’épouse sur son ventre mol, le soir, dans le grand silence amer du matrimoniat.

Auteur: Zufferey Jean-Gabriel

Info: Dans "Le livre de Zob" page 13

[ routine ] [ lassitude ] [ petite mort ] [ orgasme ]

 
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