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lenteur

... une millimétrique prudence.

Auteur: Pennac Daniel

Info: La fée carabine

[ précautionneux ]

 

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temps

La mémoire, c'est l'imagination à l'envers.

Auteur: Pennac Daniel

Info: La Fée Carabine

[ penser ] [ passé ] [ futur ]

 

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pause

Quand le vrai silence s'installe là où on ne l'attend pas, on sent que l'Homme repense l'Homme de fond en comble ; c'est beau.

Auteur: Pennac Daniel

Info: La fée carabine, Folio no2043, p. 273

[ contraste ]

 

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fisc

Soyez prudent avec les boissons fortes. Elles peuvent vous donner envie de tirer (à la carabine) sur les percepteurs d'impôt et vous les faire manquer.

Auteur: Heinlein Robert A.

Info: Time Enough for Love

[ humour ] [ alcool ]

 

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contemplation

On croit qu'on amène son chien pisser midi et soir. Grave erreur : ce sont les chiens qui nous invitent deux fois par jour à la méditation.

Auteur: Pennac Daniel

Info: La fée carabine

 

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réparties

A une dame qui le voit tirer à la carabine et qui lui dit craindre qu'il tue ses enfants, Alfred Jarry rétorque : - Nous vous en ferons d'autres, madame.

Auteur: Renard Jules

Info: Journal

 

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naturel

Il y a ceux qui trouvent la mort scandaleuse et ceux qui la trouvent naturelle avec un âge pour, des circonstances qui font que c'est la guerre, c'est la maladie, c'est la moto, la bagnole, l'époque, la vie, il y a ceux qui trouvent que la mort c'est la vie.

Auteur: Pennac Daniel

Info: La Fée Carabine

[ mourir ] [ accepter ]

 

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animal domestique

[...] Que les gens n'aiment pas les chats, c'est leur problème. Ce qui est chiant, c'est les gens qui les tuent. Le plus con, c'est Giono. Il a expliqué ça dans un bouquin. Souvent, il prenait sa petite carabine et il allait tuer des chats.
Giono est un enculé !

Auteur: Forlani Remo

Info:

[ insulte ] [ vacherie ]

 

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allumeuse

Céline à toujours aimé ça, reine de la fête, adulée des garçons – toutes bandes confondues. Même quand elle était plus jeune, il y avait des coins d’ombre où se laisser glisser contre le corps d’un petit ami, jouer à ne pas aller plus loin mais s’arrêter tout au bord. Eux rêvaient de ses doigts aux ongles roses sur leur petit
pénis dressé ; elle serrait amoureusement de grosses peluches gagnées à la carabine en espérant des mots d’amour. Et s’il fallait se laisser tâter maladroitement les seins pour obtenir de pauvres Je t’aime balbutiants et autres dérivés sans imagination, elle était prête.

Auteur: Brunet Marion

Info: L'été circulaire, Page 14, Albin Michel, 2018

[ femmes-par-femmes ] [ aguicheuse ]

 

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cosmopolitisme

New York est une vraie ville, pleine de bruits et de couleurs. Avec des odeurs et des musiques. Avec des panamas, des casquettes de base-ball, des chéchias, des turbans, des kippas, des cheveux noirs et blonds, crépus ou lisses, des tresses, des crânes rasés. Avec des accents, des langues diverses. Une vraie ville, de celles qui allument les neurones. Le cosmopolitisme, c'est les vitamines du cerveau. Une ville qui n'est pas cosmopolite est un fruit pourri, rabougri et véreux. Pour voter Front national, il faut détester les villes. Toutes les villes sont Rome, carrefour du monde. Des confins des mondes barbares, on y vient user les épines de sa barbarie contre les épines de la barbarie de l'autre, et c'est de cette poussière des villes que l'on fait le ciment de la civilisation. Toutes les grandes villes sont de terribles maisons de la culture, creusets assiégés, toujours menacés par les habitants des grands espaces qui les entourent, aveuglés, méfiants, apeurés par la vie qu'on y mène, si différente de la leur, toute occupée aux tâches simples et primitives de l'enrichissement, de la procréation et du graissage de carabine. New York est détestée par l'Amérique. C'est une ville de nègres, de Juifs, d'homosexuels, d'avorteurs, de gauchistes, et de musiciens qui commettent le crime de chanter autre chose que Ô Suzanna, j'arrive d'Alabama avec mon banjo sur les genoux.

Auteur: Val Philippe

Info: New York police blues, reportage, Charlie Hebdo, 29 juillet 1998

 

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