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question

Lorsqu'on a appris à mourir, que doit-on redouter ?

Auteur: Inoue Yasushi

Info:

 

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convivialité

A l'hôte que doit-on ? Bon accueil s'il demeure, congé s'il veut partir.

Auteur: Homère

Info: Illiade

 

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question

Les sociétés ayant atteint le plus haut degré de civilisation méprisaient toutes le travail. Que doit-on penser de la nôtre?

Auteur: Archet Anne

Info: Aphorismes

 

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frustration

La haine est un déplaisir actif, l'envie un déplaisir passif ; aussi, ne doit-on pas s'étonner que l'envie se change si souvent en haine.

Auteur: Goethe Johann Wolfgang von

Info: Maximes et réflexions, Deuxième partie, trad. Sigismond Sklower, p.52, Brockhaus et Avenarius, 1842

[ jalousie ]

 

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interrogation

Au demeurant, je me la pose, cette question oiseuse : que doit-on préférer : un bonheur facile ou des souffrances élevées ? Répondez, lequel est préférable ?

Auteur: Dostoïevski Fédor Mikhaïlovitch

Info: Dans mon souterrain, p.158, in Les oeuvres littéraires de Dostoïevsky, vol. V, Éd. Rencontre

[ choix ]

 

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humour

- Pourquoi doit-on se lever pour écouter un hymne international ?
- Parce que si tu restes assis, t’entends rien. Les hymnes nationaux ont cette particularité qu’ils s’écoutent avec le trou du cul…

Auteur: Charb Stéphane Charbonnier

Info: Maurice et Patapon, tome 3 : La France qui se lèche tôt

[ anti-nationaliste ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

colonialisme

Archaïques, les sociétés amérindiennes le furent, mais si l'on peut dire, négativement et selon nos critères européens. Doit-on pour autant qualifier d'immobiles des cultures dont le devenir ne se conforme pas à nos propres schémas? Faut-il voir en elles des sociétés sans histoire? Pour que la question ait un sens, encore faut-il la poser de telle sorte qu'une réponse soit possible, c'est à dire sans postuler l'universalité du modèle occidental.

Auteur: Clastres Pierre

Info: La société contre l'État

[ position d'autorité ] [ pensée unique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

historien

Aussi doit-on attacher moins d'importance quand on lit ou que l'on écrit l'histoire, au récit des faits qu'à ce qui s'est passé auparavant, en même temps et après ; car si l'on supprime la recherche des causes, des moyens, des intentions et des conséquences, heureuses ou malheureuses, de chaque événement, l'histoire n'est plus qu'un jeu d'esprit ; elle ne sert plus à l'instruction du lecteur ; elle distrait pour le moment, mais on n'en tire absolument aucun profit pour l'avenir.

Auteur: Polybe

Info: Histoires, éd. Benoît Lacroix, IIe siècle av. J.-C., chap. III, p. 31

[ recul ] [ distanciation ]

 

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vacherie

On ne peut cependant pas se défendre d'un malaise à propos de Houellebecq, du sentiment qu'il y a là quelque chose de louche. On est en droit de refuser ce nihilisme et cette manière d'universaliser la bassesse. Faut-il penser que cette oeuvre, par sa sincérité, son humour, transcende sa médiocrité, ses pulsions répugnantes ? Doit-on au contraire considérer qu'elle tend au lecteur un piège gluant, qu'elle sert à justifier son auteur à ses propres yeux et aux nôtres, à nous faire partager médiocrité et frustrations, à nous y attirer ? Dépassement ou simple entreprise de blanchiment ? Je n'ai pas la réponse.

Auteur: Jourde Pierre

Info: La Littérature sans estomac

[ littérature ] [ malaise ] [ écrivain-sur-écrivain ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

climat

On ne va pas instaurer un écofascisme ou un stalinisme vert ! Personne ne veut ça. Mais il ne faut pas se mentir : si l’on consomme moins, il y aura une petite incidence sur un certain type de confort. A l’instant, trois voitures viennent de passer, avec une seule personne dans chacune. Il ne s’agit pas de l’interdire mais il faut que cela devienne rare. Un billet d’avion coûte souvent moins cher qu’un billet de train, c’est incompréhensible. On réplique parfois que la liberté n’est pas négociable. C’est idiot, toute notre vie est conditionnée par des privations de liberté : je ne suis heureusement pas libre d’agresser un passant, ni de ne pas payer mes impôts ou de ne pas scolariser mes enfants. Des tas d’actes sont interdits ou obligatoires, pour le bien commun. Ne doit-on pas considérer la planète - la vie - comme un bien commun ? Dans quelques années, des épisodes caniculaires empêcheront de sortir de chez soi. Le corps ne peut pas rester longtemps à 55 °C. Le réchauffement nous privera de la liberté de sortir, ce n’est pas rien ! Il faut s’imposer de petites restrictions pour éviter une catastrophe in fine bien plus liberticide.

Auteur: Barrau Aurélien

Info: Interview à "Libération", 02.10.18

[ long terme ] [ conséquence ] [ responsabilité ] [ écologie ] [ sobriété ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson