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femme-par-homme

La mère de Paulina ne tenait aucun rôle et n’en voulait tenir aucun, suivant l’usage en Italie ; elle avait produit dans les quinze premières années de son mariage sept enfants dont quatre étaient encore vivants ; les ayant voués à la Sainte Providence, elle les regardait s’éloigner tandis que sa vie à elle s’enfonçait toujours plus dans l’Eglise, comme si son mariage n’avait été qu’une parenthèse et si elle retrouvait à quarante-cinq ans son premier destin qui avait été de devenir nonne.

Auteur: Jouve Pierre Jean

Info: Paulina 1880

[ procréatrice ] [ religieuse ]

 

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procréatrices

La maternité n'est pas objet de philosophie, pas même objet de réflexion. Elle se présente comme une évidence arrimée à la condition féminine, son socle " naturel " et indéboulonnable : les femmes portent les enfants et les font naître, c'est leur destin ! Les neuf mois de gestation et l'accouchement qui les clôt sont ainsi réduits à une séquence mécanique de fabrication de la vie durant laquelle les femmes sont ramenées à l'état animal de reproduction. La grossesse ne se questionne pas, elle se vit! Il en va ainsi depuis les origines antiques de la philosophie et l'exclusion des femmes du champ de la pensée. 


Auteur: Froidevaux-Metterie Camille

Info: Un si gros ventre : Expériences vécues du corps enceint

[ mammifères ] [ genre fonction ] [ rôle assigné ]

 

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art pictural

(Petronius élève de J. Bosch parle du jardin des délices)

Le tableau n’abondait-il pas de symboles aquatiques? On y voyait coquillages, poissons et crabes. Ne représentaient-ils pas le mélange des fluides masculins et féminins, l’union de la chair? Depuis des siècles, les coquillages étaient un symbole d’amour, comme l’avait appris Petronius lors de sa formation, à cause de leur ressemblance avec le sexe de la femme. Si un peintre devait habiller un personnage féminin, il dissimulait les parties intimes derrière un coquillage. La moule, en revanche, était associée au diable. Dans la partie inférieure gauche du panneau, un homme portait son fardeau diabolique sur le dos, symbolisé par une moule géante dans laquelle copulaient deux êtres dont la semence procréatrice se cristallisait en trois perles.

Auteur: Dempf Peter

Info: Le mystère Jérôme Bosch, p 207

[ interprétation ]

 
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