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cités

Les villes ont la capacité d'offrir quelque chose à tout le monde, uniquement parce qu'elles sont créées par tout le monde, et seulement quand elles le sont.

Auteur: Jacobs Jane

Info: The Death and Life of Great American Cities

[ ouvertes ] [ variées ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

cité

En ce sens, comme l’indique fortement Tocqueville, ce qui importe à la société ce n’est pas tant que les citoyens professent la vraie religion, mais qu’ils professent une religion.

Auteur: Sanchez Pascal

Info: Les croyances collectives

[ culte ] [ croyances ] [ peuple ]

 

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cités

Les villes sont les cancers du monde. Elles anéantissent l'homme, elles en font un être lâche, sournois, envieux, et c'est l'envie qui impose ses droits sociaux, l'envie et la lâcheté.

Auteur: Arlt Roberto

Info: Les Sept fous

[ agglomérations ]

 

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cité

Couleurs qui se mélangent avec les briques et les eaux foncées des canaux de la ville - verts, bruns et cette forte ombre sang de boeuf, connue comme le rouge de Bruges.

Auteur: Elliott Vicky

Info:

[ eau ] [ littérature ]

 
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cité

La ville pour celui qui y passe sans y entrer est une chose, et une autre pour celui qui s'y trouve pris et n'en sort pas ; une chose est la ville où l'on arrive pour la première fois, une autre celle qu'on quitte pour n'y pas retourner ; chacune mérite un nom différent ; peut-être ai-je déjà parlé d'Irène, sous d'autres noms ; peut-être n'ai-je jamais parlé que d'Irène.

Auteur: Calvino Italo

Info: Les Villes invisibles

[ relativité ] [ proximité ] [ découvrir ] [ localité ]

 

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cité frontière

Constantinople, reine des villes, belle aux sept collines !....Couchée sur deux continents, la poitrine découverte, elle s'offre au borée qui se lève de la mer Noire et et au notus qui souffle de la mer de Marmara. Et l'on croit voir les deux courants contraires rivaliser d'assauts pour la conquérir. L'Orient et l'Occident bataillent, levant des gerbes d'écume, tournoient dans le grand tourbillon à la pointe de Sarayburnu, au pied de Sainte Sophie, au cœur de la ville.

Auteur: Iordanidou Maria

Info: Loxandra

[ Istanbul ] [ Byzance ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

cité imaginaire

Irène est la ville qu’on voit quand on se penche au bord du plateau à l’heure où les lumières s’allument, et dans l’air limpide on distingue là-bas au fond toute l’agglomération : où les fenêtres sont plus nombreuses, où elle se perd en sentiers à peine éclairés, où elle amasse les ombres des jardins, où elle dresse des tours avec des feux pour les signaux ; et par les soirs de brume, une clarté fumeuse se gonfle ainsi qu’une éponge pleine de lait au bas des calanques.

Auteur: Calvino Italo

Info: Les Villes invisibles

[ localité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

cité

La ville où je naquis, un fleuve étroit l'arrose;

L'eau coule sous le pont comme une claire prose,

Et mire honnêtement dans son calme miroir

Et le doit et l'avoir;

Elle enregistre un arbre, un mur sur son passage

Et fait l'additioin du paysage.

La ville où je naquis a de petits pavés

Carrés, durs, enfoncés, cimentés dans la terre,

Et blâmant le caillou qui roule, solitaire.

Le clocher, par dessus la poste de l'octroi,

Regarde avec effroi

Un chemin qui longe une vigne.

Auteur: Porché François

Info: Humus et poussière

[ poème ] [ bourgade ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

cité imaginaire

Manneran n’est pas une ville faite de pierre, comme le sont nos cités du Nord ; le matériau de construction est plutôt une sorte de plâtre artificiel, peint de couleurs pastel, ce qui donne à chaque mur et à chaque façade l’aspect d’un chant joyeux. L’éclat du jour était étincelant et les rayons du soleil qui enflammaient les rues m’obligeaient à m’abriter les yeux de la main. J’étais stupéfait devant la complexité de ces rues. Les architectes de Manneran utilisaient à profusion les ornements ; partout, ce ne sont que balcons de fer forgé ouvragés, volutes et arabesques fantastiques, chapiteaux somptueux, draperies éclatantes aux fenêtres : au regard d’un homme du Nord, une sorte de monstrueux kaléidoscope qui, seulement à la longue, s’ordonne en un spectacle où rivalisent la grâce, l’élégance et les proportions.

Auteur: Silverberg Robert

Info: Dans "Le temps des changements", page 97

[ description ] [ féérique ] [ science-fiction ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

cité imaginaire

Ce qui différencie Argia des autres villes, c'est qu''à la place de l'air, il y a la terre. Les rues sont complètement souterraines, les pièces pleines d'argile jusqu'au plafond, dans les escaliers il y a un escalier négatif, au-dessus des toits des maisons il y a des couches de sol rocheux comme des ciels avec des nuages. Nous ne savons pas si les habitants peuvent se promener dans la ville, élargir les trous de vers et les crevasses par lesquelles les racines se faufilent : l'humidité détruit les corps et leur laisse peu de force ; il vaut mieux qu'ils restent immobiles et allongés, tellement il fait sombre.

D'Argia, d'ici, on ne voit rien ; il y a ceux qui disent : "C'est en bas", et il faut les croire ; les lieux sont déserts. La nuit, si vous mettez votre oreille au sol, vous entendez parfois une porte claquer.

Auteur: Calvino Italo

Info:

[ enfouie ] [ enterrée ]

 

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Ajouté à la BD par miguel