contraction du langage
Dans le discours courant, il n'y a pas de véritables espaces entre les mots, de sorte que lorsque deux mots apparaissent fréquemment ensemble, ils peuvent facilement se fondre en un seul.
Auteur:
Deutscher Guy
Années: 1969 -
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: linguiste
Continent – Pays: Proche&moyen orient - Israël
Info:
Through the Language Glass: Why the World Looks Different in Other Languages
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mot-valise
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routines
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contraction du langage
"Je ne suis", à l'usage, se révèle souvent identique à "je suis". C'est-à-dire que, de la phrase "je ne suis pas sûr", on passe à cette élision de "je suis pas sûr ", puis à "j'suis pas sûr ", pour arriver à "chui pas sûr". D'où l'importance augmentée du "pas" qui vient à lui seul poser la négation. C'est donc "Chuis sûr..." ou "Chuis pas sûr" Autre exemple plus spécifique. Vous venez à parler de vos impôts, (bien sûr trop chers à votre gout). On vous rétorquera aisément, en parlant du fisc. "Oh, ils prennent où il y a." Phrase qui, dans la discussion, devient : "O Y prennent où y'a". Et donc ce truc phonétique extraterrestre "oïprénouïa" ou "iprénouïa".
Auteur:
Mg
Années: 1958 - 20??
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: musicien, compilateur, sémioticien, directeur, guitariste, compositeur-chercheur, entrepreneur, astacologue, écrivain, imprimeur-éditeur-producteur, linguiste, père de famille, chansonnier, politicien très local, brocanteur, bûcheron, agent-couchettes...
Continent – Pays: Europe - Suisse
Info:
2012
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phonétique
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langue française
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expression gnomique
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