Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 17
Temps de recherche: 0.0294s

cauchemar

En quel siècle suis-je venu ?! L'on se déchire, l'on se mange.

Auteur: Gombaud Antoine chevalier de Méré

Info:

[ horreur ] [ monde ]

 

Commentaires: 0

chaos

La fiction horrifique nous montre que le contrôle que nous croyons avoir est purement illusoire, et qu'a chaque instant nous pouvons vaciller dans le chaos et l'oubli.

Auteur: Barker Clive

Info:

[ horreur ] [ illusion ] [ oubli ] [ réalité ] [ réalité ] [ vérité ]

 

Commentaires: 0

surprise

- Oh, vous êtes réveillé, me dit quelqu'un lorsque que j'ouvris les yeux. Écoutez, n'essayez pas de parler, vous êtes immergé dans une solution. Vous avez un tube transpiratoire planté dans le cou. Et Vous n'avez plus de mâchoire.

Auteur: Scalzi John

Info: Le Vieil Homme et la guerre

[ inattendu ] [ réveil ] [ horreur ]

 

Commentaires: 0

incommunicabilité

On dirait qu’une faculté qui nous semblait inaliénable, la mieux assurée de toutes nous fait maintenant défaut : la faculté d’échanger nos expériences. […] Ne s’est-on pas aperçu à l’armistice, que les gens revenaient muets du front ? non pas enrichis mais appauvris en expérience communicable.

Auteur: Benjamin Walter

Info:

[ horreurs de la guerre ] [ indicible ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

dégoût

Le monde était un camaïeu de couleurs sales, de toutes les nuances de la merde. Le monde était une puanteur d’odeurs caustiques qui faisaient couler son nez et pleurer ses yeux. Le monde était une menace indéfinissable qui faisait courir sur sa peau des caresses gluantes et froides de limaces.

Auteur: Brunner John

Info: Dans "Tous à Zanzibar", trad. Didier Merle, Librairie Générale Française, 1995, page 623

[ sensations ] [ métaphores ] [ horreur ] [ planète terre ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

naitre

Mon père était une bête féroce et ma mère une hyène. La charognarde est morte en mettant bas. Dès les premières heures, j'ai dévoré mes frères... nous n'étions que des monstres. Des monstres issus de la même portée! Alors j'ai quitté les tréfonds de ma caverne pour la surface du monde... Et ce monde aussi, était un enfer!

Auteur: Lamy Thierry

Info: Promise, tome 1 : Le livre des derniers jours

[ horreur ]

 

Commentaires: 0

traumatisme

Lorsque les parents d'un enfant sont tués sous ses yeux, c'est comme si l'on tuait tout l'univers avec le soleil, la lune, l'arbre, le champ, le cahier, la poupée. Même s'il lui reste un grand-père, un frère, une soeur, dorénavant ils lui sembleront tout différents, comme venus de la fin des temps. Les choses ne seront plus à leur place même si leur forme demeure.

Auteur: Janko Anna

Info: Une si petite extermination

[ horreur ]

 

Commentaires: 0

mégalopole

Il apparaissait que ma venue à New York avait été une erreur. Là où j'avais cherché émerveillement et inspiration, dans le dédale des vieilles rues qui s'achevaient en impasses, dans les squares aux fontaines oubliées, entre les modernes tours cyclopéennes et les pinacles babyloniens dressés sous la lune, je n'avais découvert qu'un horrible sentiment d'oppression qui menaçait de me dominer, de me paralyser, de m'annihiler.

Auteur: Lovecraft Howard Phillips

Info: "Lui"

[ description ] [ écrasement ] [ horreur ]

 
Mis dans la chaine
Commentaires: 2
Ajouté à la BD par Coli Masson

mémoire

Le souvenir de ce qui est arrivé est en nous indélébile, comme le tatouage que les rescapés des camps portent encore sur le bras... Chaque printemps les arbres fleurissent à Auschwitz car l'herbe n'est pas dégoûtée de pousser dans ces campagnes maudites... Quand les sophistes nous recommandent l'oubli nous penserons à l'agonie des déportés sans sépulture et des petits enfants qui ne sont pas revenus. Car cette agonie durera jusqu'à la fin du monde.

Auteur: Jankélévitch Vladimir

Info: Pardonner, 1971

[ horreur ] [ camp de concentration ]

 

Commentaires: 0

barbarie

Jouer avec la frayeur d'un enfant procure une grande joie à ce genre de brutes. Un enfant atteint plus vite le bord du gouffre, il a toujours peur de façon définitive. On sait bien que la violence, la cruauté sont un aphrodisiaque puissant et que ceux qui ne jouent pas avec la mort d'un être humain, ceux qui ne la voient pas germer et venir à maturation chez cet autre, ne connaissent pas la vraie volupté. D'abord timide, incrédule, elle enfle et dépasse la victime: c'est alors que les bourreaux éprouvent le plus de plaisir.

Auteur: Janko Anna

Info: Une si petite extermination

[ sadisme ] [ horreur ]

 

Commentaires: 0