Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 4
Temps de recherche: 0.0285s

sécheresse

Le soleil brûlait fort dans la journée, réverbérant sa lumière violente sur les angles des cailloux et sur le lit des torrents asséchés.

Auteur: Le Clézio Jean-Marie

Info: Désert

[ aridité ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

Sahara

Non, certes, jamais aucun autre site de la terre ne m'a ensorcelée, charmée autant que les solitudes mouvantes du grand océan desséché qui, des plaines pierreuses de Guémar et des bas-fonds maudits du chott Mel'riri, mène aux déserts sans eau de Sinaoun et de Rhadamès.

Auteur: Eberhardt Isabelle

Info: Ecrits intimes

[ aridité ]

 

Commentaires: 0

inspiration

Le désert est le milieu de la révélation, il est génétiquement et physiologiquement autre, sensoriellement austère, esthétiquement abstrait, historiquement hostile…ses formes sont puissantes et suggestives. […]

Les prophètes et les ermites vont dans le désert. Les exilés et les pèlerins le traversent. C’est ici que les fondateurs des grandes religions ont cherché les vertus spirituelles et thérapeutiques de la retraite, non pour fuir mais pour trouver le réel.

Auteur: Shepard Paul

Info:

[ Sahara ] [ aridité ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

Sahara

Chaque soir, leurs lèvres saignantes cherchaient la fraîcheur des puits, la boue saumâtre des rivières alcalines. Puis, la nuit froide les enserrait, brisait leurs membres et leur souffle, mettait un poids sur leur nuque. Il n'y avait pas de fin à la liberté, elle était vaste comme l'étendue de la terre, belle et cruelle comme la lumière, douce comme les yeux de l'eau. Chaque jour, à la première aube, les hommes libres retournaient vers leur demeure, vers le sud, là où personne d'autre ne savait vivre. Chaque jour, avec les mêmes gestes, ils effaçaient les traces de leurs feux, ils enterraient leurs excréments. Tournés vers le désert, ils faisaient leur prière sans paroles. Ils s'en allaient, comme dans un rêve, ils disparaissaient.

Auteur: Le Clézio Jean-Marie

Info: Désert

[ aridité ] [ frugalité ]

 

Commentaires: 0