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réflexion

La philosophie ferait bien de s'abstenir d'émettre de nouvelles injonctions sur la nécessité de rétablir le sens de l'existence, l'utilité de la vie, ou de réparer l'harmonie brisée entre l'homme et la nature. Elle devrait tenter d'être plus qu'une simple goutte d'eau dans le pathétique et douloureux océan d'autosatisfaction humaine. Le nihilisme n'est pas un embarras existentiel, juste une opportunité spéculative.

Auteur: Brassier Ray

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[ mise en cause ] [ refus ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

étymologie

Nous avons décidé de nommer l'ensemble du domaine de la théorie du contrôle et de la communication, qu'il s'agisse de machine ou d'animaux, sous le nom de Cybernétique, que nous formons à partir du mot grec qui signifie timonier*. En choisissant ce terme, nous souhaitons reconnaître que le premier article important sur les mécanismes de rétroaction est un article sur les gouverneurs, publié par Clerk Maxwell en 1868, et que  gouverneur est dérivé du latin... Nous souhaitons également faire référence au fait que les moteurs de direction d'un navire sont en effet l'une des formes les plus anciennes et les mieux développées de mécanismes de rétroaction.

Auteur: Wiener Norbert

Info: In Cybernetics (1948), 19. *du grec ancien κυϐερνητική , kubernêtikê ("art de piloter, art de gouverner"), dérivé de κυβερνάω , kybernáó ("piloter"), lequel donne le latin gubernare, d'où gouverner en français.

[ feed-back ] [ cause-effet ] [ mise en boucle ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

financements

En particulier, l'exploration dirigée vers l'infiniment grand ou l'infiniment petit requiert de plus en plus d'énergie et d'efforts, et est accompagnée de plus en plus d'impact environnementaux, au point que l'intérêt pour l'humanité devient de plus en plus contestable. Le Centre européen pour la recherche nucléaire (CERN) consomme déjà en électricité la moitié de la puissance d'un réacteur nucléaire : est-il indispensable de doubler sa consommation lors de son prochain agrandissement, qui engloutira par ailleurs des matériaux de haute technologie, alors que ses pistes de recherche deviennent de plus en plus incertaines ? Avons-nous un besoin impératif de centres de calculs et de stockages numériques géants, d'observatoires astronomiques kilométriques ? L'investissement démesuré dans le Réacteur thermonucléaire expérimental international (ITER), étalé sur un siècle en espérant aboutir finalement à la production d'électricité par fusion nucléaire, est-il justifié, compte tenu de son caractère hasardeux ? Dans un autre registre, faut-il, afin de les étudier ou de les préserver, collecter massivement des échantillons d'animaux et de plantes, en parcourant des milliers de kilomètres en avion et en propageant involontairement des pathogènes susceptibles de nuire à ces espèces ? Pour "sauver le climat", est-il nécessaire de rassembler des dizaines de milliers de personnes en congrès et de leur faire rédiger des milliers d'articles scientifiques ? Les débats de politique scientifique, menés dans un cadre national ou international, comparent les bénéfices attendus et les coûts, mais ces derniers sont souvent limités aux coûts financiers et il est plus rare que les coûts environnementaux soient entièrement pris en compte.

Auteur: Graner François

Info: https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/virus_et_recherche.pdf

[ surenchère ] [ mise en cause de l'utilité réelle ] [ marché de la science ] [ question ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson