Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!.....
Lire la suite >>
Résultat(s): 8
Temps de recherche: 0.0318s
recevoir
Ceux qui m'aiment et m'admirent m'ennuient. Ceux qui m'aiment sans m'admirer me gagnent. Ceux qui m'admirent sans m'aimer m'éblouissent.
Auteur:
Archet Anne
Années: 197? - 20??
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: F
Profession et précisions: blogueuse, philosophe et historienne
Continent – Pays: Amérique du nord - Québec
Info:
Aphorismes
[
exister
]
[
triade
]
exactitude
Il n'y a rien de si fort que les paroles fondées sur la vérité. Ce sont des éclairs qui éblouissent les yeux des hommes et les empêchent de répliquer.
Auteur:
Saint-Cyran Duvergier de Hauranne Jean
Années: 1581 - 1643
Epoque – Courant religieux: renaissance
Sexe: H
Profession et précisions: abbé de Saint-Cyran, prêtre catholique et théologien
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Maximes, p. 74, in Moralistes du XVIIe siècle, Bouquins, 1992
[
.
]
mémoire
Il y a des éclairs qui durent l'espace d'un centième de seconde et qui aveuglent. Il y a des regards qui durent un peu plus longtemps et qui vous éblouissent pour toujours.
Auteur:
Deyglun Henry
Années: 1903 - 1971
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: acteur et rédacteur radio
Continent – Pays: Europe - France
Info:
[
détail
]
[
retenir
]
[
coup de foudre
]
scepticisme
Le doute sage et vraiment philosophique (s'il existait) consisterait donc à éteindre (ou plutôt à voiler) les lumières qui nous éblouissent, pour juger par un autre organe de l'esprit que celui de sa vue.
Auteur:
Joubert Joseph
Années: 1754 - 1824
Epoque – Courant religieux: préindustriel
Sexe: H
Profession et précisions: juge
Continent – Pays: Europe - France
Info:
24 avril 1808 t.2 p.265
[
mettre en question
]
[
réfléchir
]
[
imagination
]
[
non-voyant
]
[
abstraction
]
[
profondeur
]
présent
Si les histoires m'ennuient, les instants m'éblouissent. Je préfère sans hésiter la nuit au matin, la lune au soleil, et mille fois mieux ce qui se passe ici et maintenant à ce qui aura lieu, ou a déjà eu lieu, ailleurs.
Auteur:
Petrosyan Mariam
Années: 1969 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: F
Profession et précisions: écrivaine
Continent – Pays: Europe - Arménie
Info:
La Maison dans laquelle
[
actuellement
]
[
indicible
]
déclaration d'amour
Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone;
Une île paresseuse où la nature donne
Des arbres singuliers et des fruits savoureux;
Des hommes dont le corps est mince et vigoureux,
Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne.
Guidé par ton odeur vers de charmants climats,
Je vois un port rempli de voiles et de mâts
Encor tout fatigués par la vague marine,
Pendant que le parfum des verts tamariniers,
Qui circule dans l'air et m'enfle la narine,
Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.
Auteur:
Baudelaire Charles
Années: 1820 - 1867
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: poète, écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Les Fleurs du mal, XXII, Parfum exotique
[
poème
]
souhait
A vrai dire, j'avais une espérance : celle de devenir fou. Je savais bien que j'étais, que j'avais toujours été sur le point de devenir fou. Mais je ne l'avais jamais été, et je ne l'étais pas. Etre fou ! mais c'est l'ambition légitime de tous les hommes dignes du nom d'hommes. Je sais, je sais, il y a les gâteux, les baveux, et les agités féroces, qu'on met en cages ! Exceptions. Il y a surtout, en plus grand nombre, les bons fous rêveurs, qui s'éblouissent délicieusement, comme les bergers d'une idylle de rêve, d'un papillon posé à la fleur des pommiers dans la cour de Charenton ! il y a les mères qui, assises sur un banc, retrouvent, dans le bercement sous un châle, l'illusion du premier-né ; il y a celui qui se croit empereur ! il y a celui qui se croit dieu ! et cet empereur-là ne perdra jamais de batailles ; et ce dieu n'aura jamais d’athées.
Auteur:
Mendès Catulle
Années: 1841 - 1909
Epoque – Courant religieux: Industriel
Sexe: H
Profession et précisions: romancier, poète, dramaturge, librettiste et critique littéraire
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Le Chercheur de tares
[
liberté intérieure
]
[
ouverture
]
mégapole
[...] ... On ne voit, du fleuve qui borde la ville au nord, qu'un prodigieux panorama. On ne peut le contempler qu'avec une espèce d'appréhension, mais on a parfois le souffle coupé par la majesté du spectacle. Les silhouettes claires des immeubles s'élancent à l'assaut du ciel, dévorant l'azur : des surfaces planes, d'autres longues, des rectangles grossiers et des flèches acérées, des minarets et des pics, toutes les formes géométriques imaginables se profilent contre le lavis bleu et blanc du ciel.
La nuit, en descendant le long de River Highway, la voie sur berge, des myriades de soleils vous éblouissent, une espèce de voie lactée qui s'étend de la ville vers le sud, et s'empare de la cité dans une brillante démonstration de magie électrique. Tout autour de la ville, les réverbères des boulevards extérieurs scintillent, proches ou lointains, et viennent se refléter dans les eaux sombres du fleuve. Les fenêtres des immeubles grimpent de plus en plus haut vers les étoiles, en lumineux rectangles, et vont se fondre dans le halo vert, jaune et orange qui embrase le ciel. Les feux verts et les feux rouges ont l'air de vous faire de l'oeil, et, le long du Stem, tout cet étalage incandescent se mélange en une aveuglante orgie de couleurs.
La ville s'offre comme un écrin éblouissant de bijoux précieux, stratifiés en couches lumineuses d'une vibrante intensité.
Les immeubles forment le décor.
Face au fleuve, ils brillent de tous leurs feux artificiels. On les contemple, fasciné, en retenant sa respiration.
Derrière les immeubles, derrière les lumières, il y a les rues.
Dans les rues, il y a des ordures. ... [...]
Auteur:
McBain Ed
Années: 1926 - 2005
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain de polar
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
Du balai ! Se passe dans la ville d'Isola, cité fictive semblable à New York
[
buildings
]