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xénolinguistique

Comparons la durabilité du réel avec celle du sémantique.

Si je vous dis "bloc de granit" ou "montagne"... ou "Cervin", nous voilà avec des portions de notre réalité, bien circonscrites, qui ont de bonne chance de perdurer plus longtemps que nos existences éphémères.

Maintenant attardons-nous un peu sur ces mots "dalle carrée en granit". On précise un peu l'objet, ainsi figé avec le langage. (étant entendu que la langue francophone est bien intégrée par qui en discute.)

Dans l'absolu ces deux faces : le mot et la chose, sont éphémères à des degrés divers. 

a) Le mot, en terme de durabilité, touche aux extrêmes. Il peut être exprimé et disparaitre en 2 secondes mais il peut aussi être gravé sur une plaque en iridium qui, stockée au bon endroit, ou envoyée  dans l'espace, pourra atteindre une durée qui dépassera de loin celle d'un bloc de granit. On peut même dire que cette idée de "dalle de granit", conformément transmise via les générations, les peuples, voire même entre systèmes planétaires ou galaxies, et donc éventuellement gravée ou disséminée sur d'autres supports, ne pourra pas (dans l'absolu une fois encore) se dégrader ou s'éroder. Notre expression dalle de granit est ici une idée immortelle.

b) Maintenant la chose : une "dalle de granit", à l'horizon humain ou terrestre est en effet supposée durer plus longtemps qu'une vie d'homme, éventuellement plus longtemps que son espèce elle-même.  Mais, quoi qu'on puisse en dire ce bout de granit taillé disparaitra un jour ou l'autre, principalement par usure du temps, tout comme la terre est apparue il y a 5 milliards d'années et qu'elle disparaitra dans quelques autres milliards de cycles.

Par conséquent la sémantique, ou l'esprit (qui ne pense en bonne continuité qu'avec le verbe et les mots) se trouvent possiblement promis à une forme d'éternité, qui passe par l'idée de conservation des signes organisés. On dira que ce problème de continuité semble avoir été bien abordé et en partie résolu via les méthodologies de stockage de la double hélice de l'ADN que nous commençons à peine à entrevoir. Mais c'est une autre histoire.  

La secondéité qui exprime ces pensées est bien sûr "au centre" de tout ça. Elle est l'émergence biologique, issue de la matière, de Gaïa... du granit si on veut... qui se retrouve capable, par un effet évolutif "Gaïa", civilisationnel et grégaire, de développer les idées ci-dessus grâce à un langage écrit et donc externalisable. 

Elle se dit que pour aller un peu au-delà de tout ça il reste à déceler/rencontrer une autre espèce non terrestre, dotée d'un langage articulé et externalisable si possible.

Il faudra alors trouver/développer une méthodologie suffisamment claire, logique et progressive pour qu'à partir de quelque chose de très simple et basique - comme notre dualité source par exemple - nous sachions aborder et développer des façons d'expliciter - et nous laisser éduquer - face/par une race différente (imaginons des entités intelligentes, sur base biologique de silicium, émergées d'une planète très exotique) l'idée/concept que nous avons formalisé ici sous "dalle de granit". 

Pour ce faire il faudra d'abord trouver la première accroche d'une interface sémiotique - allant dans les deux sens - pour ensuite développer un dictionnaire commun, qui devra d'abord établir, au cas par cas, l'historique, l'étymologie et les circonstances d'apparition de chaque nouveau terme/objet/concept de cette culture non terrestre, culture ayant aussi développé un système de signes-langages qu'elle nous enseignera simultanément.

Auteur: Mg

Info: fév 2023

[ notions athanasiques ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

vitupération

ET ces pauvres demeurés humains, singes savants, posés là par "Dieu c'est qui ?"... pour nommer les choses... bla bla... les définir par de petits murs de lettres. Et ça, comment s'appelle hein ? Comment ?... Une TRUELLE... ah bon ?! vachement intéressant. Perso je l'aurai définie comme une petite pelle manuelle plate... Et le chaud, vous savez, cette sensation ?... mais oui, ce qui est chaud, comme le soleil... Vous dites comment ? CA CHAUFFE ? C'est comme ça qu'on le formule ?... Et le froid, ça FROIDE alors?... Non, ça froide pas ? Ah bon, ça brûle... intéressante non logique... Comme tout pouvait tourner en rond... tous ces débiles, abusés par l'ordre, les conventions, tout ce chenit... destinés à l'origine à établir une saine communication entre les être, communication vite métamorphosée en tromperies ressassées, quasi pédagogiques de faits, décors de cartons pates maintenant solidement fixés sur leurs socles de corail... Accumulation perverse, toujours plus solides, installées tous azimuts... médiatiques, politiques... militaires... professionnelles, sociétales... Le faux partout, des masques "sur et sous" les apparences... Et tous menés par leurs petits intérêt, le pognon, Mammon, niark niark, ravi lui... mort de rire le Mammon... Jamais le dernier pour les rassurer, ces crétins... (...) Il voyait défiler ces gamins et il allait devoir leur enseigner un truc... quelque chose... Mais quoi? Aaah, de la musique. Ach so, vont ânonner quoi alors ? Le solfège ? ce truc qui pue la mort des bourgeois séculaires... ou carrément recopier de ces vieilleries classiques qui réconfortent à peine les vieux et les installés, ceux qu'ont plus envie de se faire bousculer, les morts tièdes du convenu agréé par les habitudes... Par la paresse et les convenances qui pensent pour vous. Non créativité véritable, mort, abrutissement, hébétude du surtravail et du stress qui, une fois abandonnés, ne laissent plus place qu'au vide mou, passés au papier de verre du médiatique fédérateur. Monstre repu non pensant, lancinament bourré jusqu'à la gueule par les gouttes incessantes du jus siroteux qui suinte des médias formatés... Tous, jusqu'à la dernière virgule.. Tous... Satiété.

- Bon, les enfants, aujourd'hui on s'en fout, voilà... le son c'est le son... vouloir le mettre sur papier c'est une arnaque, ça veut rien dire... écoutez un peu cette même mélodie jouée par machin avec sa guitare saxophone, ou machine avec sa voix... Eh oui, vous entendez la même phrase musicale, écrite ici... Etonnant, non ?... Et si ces deux mélodies s'étaient ressemblées c'eut été de la tromperie les gars, parfaitement... - Quoi ? A cause des timbres différents... mais j'espère bien petits connards, et alors ? C'est parce qu'on a mis des mots sur les sensations qu'on se portes mieux ?... Pauvres naïfs, continuateurs de l'ennui du monde, robots inorganiques, sans vraie fiente dedans... Allez plutôt mourir, tristes sopalins jamais utilisés, inutiles... Crottes propres. Et cette saleté d'âge, qui vient vous brouiller tout, couches et couches superposées, tant d'expériences contradictoires, vérités contredites, sagesses éphémères... Inversées folies, dictons à trois coups... Langages verrouilleurs de l'esprit... Qu'est alors devenue la force vive qui nous animait ? Qui, en dépit des emmerdes accumulées, nous faisait aller de l'avant... Cette force qui nous permettait de faire et d'observer tout en même temps... Tels d'impériaux brises glaces dans les banquises urbaines, heures de pointes... femmes et des hommes,... C'est quand même ahurissant, cette réalité qui ne vous montre qu'une infime partie du bouillonnement qui tressaute dans ses intérieurs... petits être diables-lumières, tous différents dans leurs similitudes, chacun engoncé dans sa monade... Sa monade dans la grande monade des hommes. la nôtre, ouais, ouais... T'as déjà communiqué avec une autre monade ?... A part celle de ton chien... MAis non, laisse tomber, y'a que la notre... monade si terne, blabaltant ad infinitum avec elle-même... Il est où le gnière qui communique avec les dauphins, les fourmis, les bougainvilliers... graviers... Hein ? Réponse, rien, nada... Personne... Personne, tu m'entends... Des singes malins qui ne se commettent qu'entre eux, sans réels soucis des autres espèces, essences, races, systèmes... L'homme, moi l'homme... om OME... heaume... home... Aume... Mon cul !! Que sais-je ?.... Moi qui ne fais pas de réserve pour l'avenir, préférant le détruire... Oui Monsieur, pas besoin... Pourquoi faire ?... La nature me donne tout... C'est du DU tout ça, ben voyons. Du DU pour moi ! Et ceux qui sont contre je les enfiente, surmerde, compisse... Doigts d'honneurs devant vos faces d'empaffés mous, juste capables de penser à vos petits frichtis... Salopes, SALOPES... Et ne me parlez pas, vous puez du bec... et de l'âme

Auteur: Mg

Info: 14 janv. 2013

[ écologie ] [ environnement ] [ colère pulsionnelle ]

 

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