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laideur

Elle épouserait un chien avec un chapeau.

Auteur: Proverbe Français

Info:

[ vacherie ]

 

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humour

Jeune homme désintéressé épouserait jeune fille laide même fortunée.

Auteur: Dac Pierre

Info: L'Os à Moelle : 13 mai 1938-7 juin 1940

[ ambiguïté ] [ petites annonces ] [ rencontre ]

 

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femmes-par-hommes

Si l'argent poussait dans les arbres, les femmes épouseraient des singes.

Auteur: Internet

Info:

[ intéressées ] [ vénales ]

 

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femmes-hommes

Je me console d'être femme en songeant que, de la sorte, je n'en épouserai jamais une.

Auteur: Montagu Lady Wortley

Info:

[ femmes-par-femmes ] [ misogyne ]

 

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femmes-par-homme

De plus elle a assez de cervelle pour deux, ce qui est la quantité exacte dont la fille qui vous épousera aura besoin.

Auteur: Wodehouse Pelham Grenville

Info: Mostly Sally

[ épouses ] [ manoeuvrières ] [ politiques ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

déclaration d'amour

Oui, Amour, toucher la plus douce nappe d'air, hier amont de Vaucluse, c'était te dénuder, se jeter sur toi, et n'être plus qu'une forme heureuse dans l'espace, comme sur la terre de sable qui nous accueillait. [---] Je me porte vers ton corps toujours prêt à s'ouvrir, ton visage, ta parole, ton rire quand ma bouche clôt ta bouche--- ma source chérie, ta nuit tant cherchée et désirée. Merci, merci : tes deux lettres feront, déferont et referont mon bonheur de droit, par toi aujourd'hui. Tu sais tout cela, chère Adorée.

Auteur: Char René

Info: à Marie-Claude, qu'il épousera un an avant sa mort

[ érotisme ]

 

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pensée-de-femme

"Je m'appelle Dalloway" Ce fut la première vision qu'il eut de Richard - un jeune homme blond, plutôt emprunté, assis sur une chaise longue, qui laissaient échapper : "Je m'appelle Dalloway" Sally s'en était emparée ; et par la suite elle l'appelait toujours "Je m'appelle Dalloway ! " En ce temps là, il était en proie aux révélations. Celle-ci - qu'elle épouserait Dalloway - était aveuglante - instantanément écrasante. Il y avait une sorte de - comment dire - une sorte de naturel dans sa façon d'être avec lui ; quelque chose de maternel, de doux.

Auteur: Woolf Virginia

Info: Mrs Dalloway

[ coup de foudre ]

 

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femmes-par-homme

Elle était jolie, avec bien plus qu'un simple physique agréable, don naturel chez toutes les jeunes filles. Une rose encore en bouton, dont le destin serait de se faner prématurément.
Les choix de son existence étaient tellement limités qu'il était déprimant d'envisager l'avenir. Sans vraiment trop savoir, dans l'espoir d'échapper à sa vie sordide, elle épouserait un garçon du voisinage, bien trop tôt, simplement parce qu'il serait disponible.
Sa beauté fraîche disparaîtrait, car elle n'apprendrait jamais les ficelles destinées à la lui conserver.
Son corps mince et avenant perdrait tout son attrait par trop de bébé faits trop vite, car c'est dans les couches de la société ou la pilule s'avérait réellement indispensable qu'elle restait inutilisée, par faute de honte mal placée et d'ignorance. Je me demandai s'il lui arrivait de rêver; si c'était le cas, ce ne devait être que des rêves à l'imaginaire limité. Il lui manquait la conscience du savoir qui fait les rêves d'envergure.

Auteur: Bunker Edward

Info: Aucune bête aussi féroce

[ littérature ] [ pauvreté ] [ prolétariat ]

 

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souvenirs

Quand je serai vieille, je m'allongerai sur mon lit ou me calerai les reins dans un fauteuil et j'écouterai la musique que j'écoute aujourd'hui, celle qui passe à la radio ou dans les boîtes de nuit. Je fermerai les yeux pour retrouver la sensation de mon corps en train de danser. Mon corps délié, souple, obéissant, mon corps au milieu des autres corps, mon corps affranchi de tout regard, quand je danse seule au milieu de mon salon. Quand je serai vieille, je passerai des heures ainsi, attentive à chaque son, à chaque note, à chaque impulsion. Oui, je fermerai les yeux et je me projetterai mentalement dans la danse, dans la transe, je retrouverai un à un les mouvements, les ruptures, et mon corps épousera de nouveau le rythme, la mesure, au plus près de sa pulsation.

Quand je serai vieille, si je le suis un jour, il me restera ça. Le souvenir de la danse, les basses qui cognent dans le ventre, et l'ondulation de mes hanches.

Auteur: Vigan Delphine de

Info: Les gratitude, Les gratitude Page 96, JCLattès, 2019

[ futur antérieur ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

miroir

Le point de départ : ce visage d'autrui qui me fait face. Hegel s'en inquiétait à juste titre : fragile, dérisoire devant l'écrasante puissance du monde, il n'en est pas moins ce qui excède toute totalité, brise l'unicité du monde, ruine toute prétention au Système. Simple chose en ce monde, il ne serait rien de plus qu'une masse de viande que je pourrais, comme toute chose, posséder, maîtriser, connaître. Mais précisément : regarder autrui, c'est éprouver d'abord qu'il n'est pas seulement cette bouche, ce nez, ces chairs que le temps déjà commence de meurtrir, mais un regard, qui me fait face - et qu'est-il, celui-là, sinon la manifestation de la présence dans mon monde, d'un " autre monde ", qui le dépasse infiniment ? Ces yeux devant moi, ne seront jamais miens, je n'épouserai jamais leur vision, en eux sont des espaces qui toujours m'échapperont, un univers à jamais inviolable, un autre monde, par rapport au mien incommensurable - cette " vie intérieure " qui, seule, fait d'une masse de chair ce visage par lequel un être, échappant à sa forme, se présente à nous dans son identité... .. voir un visage, c'est déjà entendre " tu ne tueras point ".

Auteur: Le Bris Michel

Info: René Guénon

[ univers ] [ rapports humains ] [ physionomie ] [ singularités ]

 

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