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covid-19

L’Occident va payer son utopie d’avoir enfanté la science biologique ; en croyant servir l’homme il l’a inféodé à un modèle naturaliste animalier, un simple produit de la mécanique génétique qui favorise le plus fort, ou encore la brute. Nous atteignons probablement le seuil des derniers épisodes d'un grand chapitre de l'épopée de l’homme sur terre.

Le virus ne représente que le négatif de la transcendance oubliée, il est pure contingence, le multiple, la division infinie du sens dans l’absolue facticité du monde. A l’inverse, dans l’inconditionné de la transcendance s’élance la nécessité comme puissance dévoilant la raison ultime de l’être de l’homme, celle de prendre le monde en lui pour l’élever à sa véritable dimension spirituelle.

Il était donc fatal que la crise survienne avec l’avancée dogmatique de la pensée biologique.

Face au virus, seule l’unité transcendantale du sujet peut s’opposer. Vouloir utiliser un vaccin contre la contingence relève simplement d’une aberration de la pensée technique car, comme dans l’histoire de Protée, cela ne fait que renforcer son pouvoir de métamorphose infinie.

La scission qui se produit en Europe autour du vaccin et du passeport sanitaire est certainement l’épreuve finale entre l’obscurantisme ignoré de la science biologique et la résurgence de l’esprit. Le combat ne fait que commencer même et surtout si c’est le dernier.

Auteur: Gandolfi René

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[ volonté de maîtrise ] [ inconscient ] [ conséquences de la sécularisation ] [ technicisme ]

 
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signifiant

Quant à la névrose de contrainte, il se confirme que c’est la représentation de mot et non le concept s’y attachant qui est le lieu où le refoulé fait sa percée. (Plus précisément le souvenir-de-mot). D’où le fait que ce sont les choses les plus disparates qui se trouvent volontiers réunies comme représentation de contrainte sous un mot plurivoque. [...] Par ex., le cas suivant. Une jeune fille, qui fréquente l’école de couture et qui aura bientôt fini, est tourmentée par la représentation de contrainte suivante : Non, tu ne dois pas t’en aller, tu n’as pas encore fini, tu dois faire encore plus, apprendre encore tout ce qui est possible. Derrière cela, il y a le souvenir de scènes d’enfance où elle est mise sur le pot, ne veut pas y rester et connaît la même contrainte. Tu ne dois pas t’en aller, tu n’as pas encore fini, tu dois faire encore plus. Le mot faire permet de réunir la situation ultérieure et la situation infantile. Les représentations de contrainte revêtent souvent une indétermination verbale particulière pour permettre une telle utilisation multiple. Si l’on examine de plus près (consciemment) cette représentation, une expression vient alors en parallèle : "tu dois apprendre encore plus" ; ce qui deviendra peut-être plus tard la représentation de contrainte fixée naît d’une telle interprétation fondée sur un malentendu de la part du conscient.

Auteur: Freud Sigmund

Info: Lettre à Wilhelm Fliess du 22 décembre 1897, trad. Françoise Kahn et François Robert, éditions P.U.F., Paris, 2006

[ structure psychologique ] [ influence inconsciente ]

 
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olfaction

Peut-être aussi trop de parfum est une façon de se faire une personnalité à peu de frais, autre manière de tromper l’autre et de se tromper soi-même. Il y a des parfums discordants, combien de femmes y sont piégées. C’est un peu comme si, à un enterrement, l’orchestre jouait un fox-trot, o comme si, devant une belle nature, la musique était une marche funèbre. Il y a des femmes et des hommes qui annulent leur vitalité personnelle en se parant d’un parfum contradictoire à l’attirance qu’ils provoqueraient sans lui.

L’odeur du corps dit l’angoisse, le travail, les besoins. Ça signalise, mais ce n’est pas signifiant du sujet. Il y a un narcissisme de l’odeur qui n’a pas été éduqué dans notre civilisation. Un être humain propre sent toujours bon pour qui l’aime. Mais, dans notre civilisation, pour beaucoup, l’odeur de propre serait une odeur bourgeoise : c’est bien dommage ! Si quelqu’un sent mauvais, c’est qu’il sent ce qui provoque l’angoisse chez l’autre. Alors que celui qui sent bon donne envie de s’approcher de lui. [...]

Le corps, c’est l’objet. Le sujet, c’est le psychisme. L’inter-psychisme n’est plus assez libre quand l’objet est d’emblée trop présent. La désodorisation est un processus d’humanisation à bon marché, c’est-à-dire sans pouvoir en payer le prix.

L’odeur, comme la voix et la vue, fait partie à notre insu de la sympathie que nous éprouvons les uns pour les autres.

Auteur: Dolto Françoise

Info: Dans "Le féminin", éditions Gallimard, 1998, page 115

[ attrait ] [ répulsion ] [ inconscient ]

 

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détermination

Dans cette histoire [la fable des disques blancs et des disques noirs], un couple de signes distinctifs, blanc ou noir, permet de discriminer le rapport d’un sujet avec deux autres. Chaque sujet se repère en se référant à la recherche que font ces deux autres en fonction de ce qu’ils voient de lui-même et de l’un d’entre eux. Les trois passent par une succession d’oscillations synchrones qui finit par les déterminer de façon conclusive à ce que j’appellerai ici un Wahl, un choix fondamental, par quoi chacun décide de ce qu’il est effectivement, blanc ou noir, et s’avère prêt à le déclarer, ce pour quoi la fable est construite.

Eh bien, n’est-ce pas là ce qui nous est familier dans la structure de la pulsion ?

Nous y trouvons l’identification relative, la dénégation, le refus d’articuler, la défense, qui sont aussi cohérents avec la pulsion que l’envers et l’endroit d’une même chose. L’affaire se conclut par une décision qui devient pour le sujet la marque de ce que, en fait, il fait toujours le même choix, dans les mêmes situations. Ce pouvoir de répétition, nous l’appelons selon les sujets comme nous pouvons – une tendance masochiste, un penchant à l’échec, le retour du refoulé, l’évocation fondamentale de la scène primitive – il ne s’agit que d’une seule et même chose, la répétition, dans le sujet, d’un type de sanction dont les formes dépassent de beaucoup les caractéristiques du contenu.

Auteur: Lacan Jacques

Info: Dans le "Séminaire, Livre VI : Le désir et son interprétation", éditions de La Martinière et Le Champ Freudien éditeur, 2013, page 466

[ inconscient ]

 
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structuration du langage

[…] la métonymie est au départ, et c'est elle qui rend possible la métaphore. Mais la métaphore est d'un autre degré que la métonymie. […]

Anna Freud endormie […] parle dans son sommeil - Grosses fraises, framboises, flans, bouillies.

Voilà quelque chose qui a l’air d’être du signifié à l’état pur. Et c'est la forme la plus schématique, la plus fondamentale, de la métonymie.  Sans aucun doute, elle les désire, ces fraises, ces framboises. Mais il ne va pas de soi que ces objets soient là tous ensemble. Qu'ils soient là, juxtaposées, coordonnés dans la nomination articulée, tient à la fonction positionnelle qui les met en position d'équivalence. C’est le phénomène essentiel.

S’il y a bien quelque chose qui nous montre indiscutablement qu’il ne s’agit pas là d’un phénomène d’expression pur et simple, qu’une psychologie, disons jungienne, nous ferait saisir comme un substitut imaginaire de l’objet appelé, c’est précisément parce que la phrase commence par quoi ? Par le nom de la personne, Anna Freud. C’est une enfant de dix-neuf mois, et nous sommes sur le plan de la nomination, de l’équivalence, de la coordination nominale, de l'articulation signifiante comme telle. C'est seulement à l'intérieur de ce cadre [métonymique] qu'est possible le transfert de signification [métaphore].

C'est le cœur de la pensée freudienne. L'œuvre commence par le rêve, ses mécanismes de condensation et déplacements, de figuration, ils sont tous de l'ordre de l'articulation métonymique, et c'est sur ce fondement que la métaphore peut intervenir.

Auteur: Lacan Jacques

Info: Dans le "Séminaire, Livre III", "Les psychoses", éditions du Seuil, 1981, pages 361-362

[ grammaire ] [ inconscient ] [ psychanalyse ] [ contiguïté ]

 
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pathologie psychologique

Parmi les facteurs qui contribuent à causer les névroses, et qui créent les conditions dans lesquelles les forces psychiques se mesurent les unes aux autres, trois ressortent particulièrement ; un facteur biologique, un facteur phylogénétique, un facteur purement psychologique. Le facteur biologique est l’état de détresse et de dépendance très prolongée du petit d’homme. [...]

[facteur phylogénétique] Nous observons que, chez l’homme, à la différence de la plupart des animaux qui lui ont apparentés, la vie sexuelle ne se développe pas d’un seul tenant, de ses débuts à la maturité, mais connaît, après un premier épanouissement qui s’étend jusqu’à la cinquième année, une énergique interruption, pour reprendre ensuite à la puberté, et renouer avec ses débuts dans l’enfance. [...]

Le troisième facteur, ou le facteur psychologique, se trouve dans une imperfection de notre appareil psychique, qui correspond exactement à la différenciation en son sein d’un moi et d’un ça et qui, par conséquent, se rattache aussi, en dernière analyse, à l’influence du monde extérieur. En considération des dangers de la réalité, le moi est contraint à se mettre en position de défense contre certaines motions pulsionnelles du ça, et à les traiter comme des dangers. Mais le moi ne peut se protéger contre les dangers pulsionnels intérieurs de manière aussi efficace que contre un fragment de la réalité extérieure. En effet, lié lui-même intimement au ça, il ne peut se défendre contre le danger pulsionnel qu’en restreignant sa propre organisation et en tolérant la formation de symptôme en contrepartie des dommages qu’il cause à la pulsion.

Auteur: Freud Sigmund

Info: "Inhibition, symptôme et angoisse", traduit de l’allemand par Michel Tort, Presses Universitaires de France, 1973, page 84

[ inconscient ] [ origine ]

 

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parabole

Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés.

Chacun d'eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu'un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d'un fantassin romain.

Mais la monstrueuse bête n'était pas un poids inerte; au contraire, elle enveloppait et opprimait l'homme de ses muscles élastiques et puissants; elle s'agrafait avec ses deux vastes griffes à la poitrine de sa monture et sa tête fabuleuse surmontait le front de l'homme, comme un de ces casques horribles par lesquels les anciens guerriers espéraient ajouter à la terreur de l'ennemi.

Je questionnai l'un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu'il n'en savait rien, ni lui, ni les autres; mais qu'évidemment ils allaient quelque part, puisqu'ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher.

Chose curieuse à noter : aucun de ces voyageurs n'avait l'air irrité contre la bête féroce suspendue à son cou et collée à son dos; on eût dit qu'il la considérait comme faisant partie de lui-même. Tous ces visages fatigués et sérieux ne témoignaient d'aucun désespoir; sous la coupole spleenétique du ciel, les pieds plongés dans la poussière d'un sol aussi désolé que ce ciel, ils cheminaient avec la physionomie résignée de ceux qui sont condamnés à espérer toujours.

Et le cortège passa à côté de moi et s'enfonça dans l'atmosphère de l'horizon, à l'endroit où la surface arrondie de la planète se dérobe à la curiosité du regard humain.

Et pendant quelques instants je m'obstinai à vouloir comprendre ce mystère; mais bientôt l'irrésistible Indifférence s'abattit sur moi, et j'en fus plus lourdement accablé qu'ils ne l'étaient eux-mêmes par leurs écrasantes Chimères.

Auteur: Baudelaire Charles

Info: "Chacun sa chimère" du recueil Petits poëmes en prose

[ inconscient ] [ servitude ] [ fatalité ]

 

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différenciation

C’est une phase essentielle du processus d’individuation. Elle a pour but de détacher la conscience de l’objet de sorte que l’individu cesse de placer l’assurance de son bonheur, voire de sa vie, dans des facteurs qui lui sont extrinsèques, qu’il s’agisse de personnes, d’idées ou de circonstances, et qu’à la place, il prenne conscience du fait que tout dépend de lui et que le trésor est ou n’est pas en sa possession. S’il parvient à s’approprier cet or, alors le centre de gravité de l’individu va se situer à l’intérieur de lui et non plus dans un objet extérieur dont il dépend. Atteindre un tel état de détachement est le but des pratiques orientales, et c’est également celui de tous les enseignements de l’Eglise. Dans les différentes religions, le trésor est projeté sur des figures sacrées mais aujourd’hui cette hypostase n’est plus possible pour un esprit éclairé. Les valeurs impersonnelles d’un grand nombre d’individus ne peuvent plus désormais s’exprimer dans des symboles historiques.

On se trouve donc face à la nécessité de trouver une méthode individuelle par laquelle on puisse donner forme aux images impersonnelles. Car elles doivent absolument prendre forme, elles doivent vivre la vie qui leur incombe, sans quoi l’individu est amputé d’une fonction fondamentale de sa psyché et devient alors névrosé, perdu et en conflit avec lui-même. En revanche, s’il est capable d’objectiver les images impersonnelles et de s’y relier, il sera en contact avec cette fonction psychique vitale à laquelle la religion s’est consacrée depuis l’aube de la conscience. […]

La seule façon rationnelle de présenter cet état de détachement, c’est d’en donner une définition : il s’agit d’une sorte de centre qui n’est pas situé dans le moi, mais dans la psyché de chacun. C’est le centre d’un non-moi.

Auteur: Jung Carl Gustav

Info: "Sur les fondements de la psychologie analytique", trad. Cyrille Bonamy et Viviane Thibaudier, éd. Albin Michel, Paris, 2011, pages 234-235

[ universel-singulier ] [ inconscient collectif ] [ devoir psychologique ]

 

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moi

Le fait fondamental que nous apporte l’analyse [...] c’est que l’ego est une fonction imaginaire. [...]

Si l’ego est une fonction imaginaire, il ne se confond pas avec le sujet. Qu’est-ce que nous appelons un sujet ? Très précisément, ce qui, dans le développement de l’objectivation, est en dehors de l’objet.

On peut dire que l’idéal de la science est de réduire l’objet à ce qui peut se clore et se boucler dans un système d’interactions de forces. L’objet, en fin de compte, n’est jamais tel que pour la science. Et il n’y a jamais qu’un seul sujet – le savant qui regarde l’ensemble, et espère un jour tout réduire à un jeu déterminé de symboles enveloppant toutes les interactions entre objets. [...]

Pendant l’analyse, par exemple d’un comportement instinctuel, on peut négliger un certain temps la position subjective. Mais cette position ne peut absolument pas être négligée quand il s’agit du sujet parlant. Le sujet parlant, nous devons forcément l’admettre comme sujet. Et pourquoi ? Pour une simple raison, c’est qu’il est capable de mentir. C’est-à-dire qu’il est distinct de ce qu’il dit.

Eh bien, la dimension du sujet parlant, du sujet parlant en tant que trompeur, est ce que Freud nous découvre dans l’inconscient.

Dans la science, le sujet n’est finalement maintenu que sur le plan de la conscience, puisque le x du sujet dans la science est au fond le savant. [...] Freud au contraire nous montre qu’il y a dans le sujet humain quelque chose qui parle, qui parle au plein sens du mot, c’est-à-dire quelque chose qui ment, en connaissance de cause, et hors de l’apport de la conscience. [...]

Du même coup, cette dimension ne se confond plus avec l’ego.

Auteur: Lacan Jacques

Info: Dans le "Séminaire, Livre I", "Les écrits techniques de Freud (1953-1954)", éditions du Seuil, 1975, pages 301-302

[ discours de l'analyste ] [ discours scientifique ] [ différences ] [ sujet de l'inconscient ] [ subjectif-objectif ]

 
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humanisme frelaté

Lorsque vous entendez quelqu’un parler de "mâle blanc" vous pouvez être sûr que vous avez affaire à un idiot, dans le sens où il ne sait pas que son sujet est pris dans un discours, il croit que le langage est un pur instrument à sa disposition, ne se rendant compte à aucun moment qu’avant d’être parlant il est toujours déjà parlé...

IL N’Y A DE RACES QUE DE DISCOURS.

Pourquoi le principal effet de la lutte officielle contre le racisme est-il de perpétuer le racisme?

Ceux qui revendiquent publiquement au nom de l'Autre et pour l'Autre les modes de vie spécifiques de l'Autre ne font rien d'autre qu'affirmer leur propre supériorité, leur narcissisme pathologique, comme s'ils étaient eux-mêmes dégagés de leur propre communauté originelle, et qu'ils pouvaient ainsi statuer et juger en toute neutralité sur ce qui est bon pour l'Autre et pour les autres.

L'antiracisme est un racisme au second degré, le racisme "politiquement correct", un nanti-raciste est quelqu'un qui vit du racisme.

Le "politiquement correct" est à l'origine de toutes les violences sociales.

Il n'y a de races que de discours, le "discours" étant à entendre dans sa stricte acception lacanienne, comme dispositif prenant en compte la jouissance du sujet qui tente de faire lien social...

Si le Discours Universitaire est, en tant que Discours du Maître perverti, la structure qui soutient le discours dominant, c’est que que le Signifiant qu’il recèle, le Signifiant "un", placé au lieu de la Vérité, en bas à gauche, est précisément ce signifiant-là qui n’autorise pas le sujet à "refouler" complètement sa position d’énonciation, à oublier ce "d’où" il est toujours parlé autant qu’il parle, cela fait dire à Lacan qu’un peu de honte suffit à ne pas avoir une vie entière à mourir de honte...

Auteur: Dubuis Santini Christian

Info: Publication facebook du 01.08.20

[ reproduction inconsciente des mécanismes de domination ]

 

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