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être humain

La guerre est absolument nécessaire pour maintenir l'agressivité naturelle de l'espèce humaine.

Auteur: Larue Monique

Info: Copies conformes

[ mâle ] [ guerrier ] [ combattant ] [ résilient ] [ survie ]

 

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femmes-hommes

Les femmes sont héroïques pour souffrir dans le monde, leur champ de bataille.

Auteur: Daudet Alphonse

Info:

[ femmes-par-hommes ] [ combattantes ]

 

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femmes-par-hommes

Les femmes ont souvent du respect pour ceux qu'elles détestent et leur font même des avances par politique, mais gare à ceux qu'elles prétendent aimer !

Auteur: Haggard Henry Rider

Info: L'esclave reine

[ combattantes ]

 

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après-guerre

Après la guerre, on va découvrir un syndrome de dépression qui va toucher certains résistants. Parce que jamais, ils ne s’étaient sentis aussi vivants que frôlant la mort à chaque instant.

Auteur: Berest Anne

Info: La Carte postale

[ combattants ] [ fadeur ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

maquisard

La mort est omniprésente. Maladies, affrontements avec les forces de l’ordre et aléas des actions économiques posent un cadre de vie hautement précaire. Le guérillero est un mélange d’audace, de courage et de fatalisme.

Auteur: Serrano Secundino

Info: Maquis : Histoire des guérillas anti-franquistes, p. 259

[ combattant ] [ triade ] [ résistant ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

hommes-par-femme

C'est infatigable une femme. C'est souvent, parfois, plus patient qu'un homme. Les hommes ils aiment en mettre un coup, tout de suite, ils prennent leurs pieds à se défoncer dans l'effort, ils aiment bien les jeux de brutes, plus c'est dur, plus ça les fait bander.

Auteur: Poulain Catherine

Info: Le grand marin

[ combattants ] [ guerriers ]

 

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femmes-par-femme

La "guerre féminine" possède ses propres couleurs, ses propres odeurs, son propre éclairage et son propre espace de sentiments. Ses propres mots enfin. On n'y trouve ni héros ni exploits incroyables, mais simplement des individus absorbés par une inhumaine besogne humaine. Et ils (les humains) n'y sont pas les seuls à souffrir : souffrent avec eux la terre, les oiseaux, les arbres. La nature entière. Laquelle souffre sans dire mot, ce qui est encore plus terrible...

Auteur: Alexievitch Svetlana

Info: La guerre n'a pas un visage de femme

[ combattantes ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

vie intense

En me souvenant de nos semaines d’Oermingen, je cherchais à m’expliquer mon étrange goût de la guerre. Scaferlati pour troupes, qui est tout jeunesse et inconscience, ne traduit qu’imparfaitement le fond de mes sentiments. Je hais, j’abomine la guerre, c’est certain, car je hais la douleur, la cruauté, la violence, la contrainte, la chair blessée. Mais ce qui m’exalta dans l’état de combattant, lorsque j’avais dû l’accepter, c’était la conscience d’être au-delà des conventions, des mesquineries, des soucis, des calculs de la vie. C’était l’orgueil d’une pureté vraie. C’était le sacrifice de tout, imposé d’abord sans doute par les événements, puis consenti, et qui ne laissait place que pour une frénésie de vivre, pour cet enivrement un peu fou auquel nous nous abandonnions sur les routes et dans les vergers de la Sarre.

Auteur: Betz Maurice

Info:

[ combattant ] [ soldat ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

portrait

Imaginez la scène: un plateau TV, des gants de boxe posés devant la caméra, et un duel cathodique à audience maximale: Bernard Tapie, version 1989, contre Eric Zemmour, version 2021. Nul doute que l’homme d’affaires français, décédé dimanche à 78 ans, aurait savouré, si l’occasion s’était présentée, ce énième moment de gloire médiatique, lui qui parvint à s’imposer il y a trente ans face à Jean-Marie Le Pen dans un moment de télévision resté très controversé. Leur affrontement, genre pugilat, fit alors couler beaucoup d’encre à une époque où le "clash" n’était pas encore la règle. Mais il reste dans les mémoires car aucune autre personnalité, de droite comme de gauche, n’était parvenue avant lui à dompter en direct le fondateur du Front national.

Bernard Tapie était un populiste-né au sens où son instinct animal du public et des formules qui font mouche – assorties d’un bon lot de vérités arrangées (les fake news d’aujourd’hui) – constituait son tremplin électoral. Tapie le politicien, entré au culot dans l’arène du pouvoir républicain par l’éloge médiatique du capitalisme, répugnait à l’exactitude des chiffres et aux démonstrations rigoureuses. Il feignait aussi d’ignorer, lui l’homme d’affaires franco-français, les contraintes de la mondialisation. Son registre était, comme d’autres populistes, celui de l’incantation nationale. Mais à la différence d’un Jean-Marie Le Pen et d’un Eric Zemmour, Tapie regardait dans les yeux la France telle qu’elle est, sans faire de différence entre les Blancs, les chrétiens et les autres. Marseille, cette ville qui n’était pas la sienne où il sera inhumé, l’avait convaincu que le métissage et la multiculturalité peuvent être des atouts s’ils riment avec fierté. Cela n’enlève rien aux mensonges qu’il proféra souvent, aux combines qu’il affectionnait et aux dégâts sociaux engendrés par ses rachats d’entreprises revendues ensuite à la découpe. Mais cela explique sans doute les raisons de l’affection populaire qui, jamais – y compris en prison – ne l’abandonna.

Bernard Tapie laisse derrière lui, vu de l’étranger, l’image d’un bateleur franchouillard, cascadeur chanceux des affaires et des stades plutôt que bâtisseur de légende. Il fut aussi, dans l’histoire récente de la République, l’instrument des règlements de compte d’un François Mitterrand éberlué par son talent et maître cynique dans l’art d’exploiter sa naïveté mâtinée de cupidité. Mais l’une des marques de ce populiste, franc-tireur hors "système" et pourfendeur des blocages de la haute administration, est qu’il aimait les Français dans ce qu’ils ont de plus compliqué à gérer: leur diversité.

Auteur: Werly Richard

Info: Le Temps, 4 octobre 2021

[ aventurier ] [ combattant ] [ panache ]

 
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Ajouté à la BD par miguel