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adolescence

<zaijin> ptain j'y crois pas, pour mon anniv, mes potes mon offert un vagin artificiel, une pompe à wisky et des mangas...
<zaijin> à croire qu'ils pensent que ma vie se résume à l'alcool, les bd et les plaisirs solitaires
<lud5102> ils te connaissent vachement bien dis donc
<zaijin> ...
<zaijin> ouai ^^ c'est des vrais potes.

Auteur: Internet

Info:

[ dialogue-web ] [ onanisme ]

 

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médecine militaire

Le marquis de Santa-Cruz commence son livre de l'Art de la guerre par dire que la première qualité indispensable à un grand général, c'est de savoir se branler le vit, parce que cela épargne dans une armée, et surtout dans une ville de guerre, tous les caquetages et les indiscrétions de femmes qui finissent toujours par tout perdre.

Auteur: Caufeynon Dr

Info: in "La masturbation et la sodomie féminines", 1903 - cité dans le "Dictionnaire de la bêtise", éd. Robert Laffont, p.269 - personne ne semble savoir qui était le Dr. Caufeynon, en dehors du fait qu'il a aussi publié sous le nom : Jean Fauconney

[ précaution ] [ prophylaxie ] [ stratégie ] [ citation ] [ femmes-par-homme ] [ onanisme ]

 

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Ajouté à la BD par Benslama

manque

Je me contente des plaisirs solitaires pour atténuer la tempête qui sourde de mon corps. Cependant, lorsque mes doigts ont achevé ce lent roulis, je me sens dépossédée, nue et inachevée. Je suis à nouveau rattrapée par cette mélancolie néfaste. Des souvenirs me reviennent en vrac et me hantent, m’arrachent des cris et des pleurs. Laurent n’est pas là pour l’empêcher.

Auteur: Arekin Angel

Info: Jeu Vespéral, tome 1

[ onanisme ] [ masturbation ] [ remords ]

 

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femmes-hommes

Des femmes ont été niées à la masturbation plus sévèrement que les hommes et c'est bien là une autre méthode de pouvoir - on ne leur enseigne pas à se donner du plaisir... Pour la plupart des femmes cela leur prend un moment pour arriver à la "situation," mais une fois qu'elles y sont, moi je sais qu'elles vont tout faire pour aller au bout - bref, on est tous les mêmes !

Auteur: Lunch Lydia

Info:

[ femmes-par-femmes ] [ sexuels ] [ onanisme ]

 

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raillerie

<Moe> Chrisman fais un truc histoire de remettre l'ambiance avant la panne
<Moe> (apwal)
<Chrisman> Moe > mmh, heu
<Chrisman> Moe > De la passion combinée avec l'action, c'est-à-dire de la vie dans le présent et de l'histoire dans le passé, naît le drame. De la passion mêlée à la rêverie naît la poésie proprement dite.
<Chrisman> si avec ça t'es pas tout trempé
<Moe> Chrisman > maintenant on sait pourquoi t'as pas d'ami.

Auteur: Internet

Info:

[ dialogue-web ] [ adolescence ] [ onanisme ]

 

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émission

En 1927, au cours d’un voyage en Grèce, me trouvant à Olympie, je n’ai pu résister au désir d’offrir une libation d’un certain ordre aux ruines du temple de Zeus. Je me rappelle qu’il faisait un beau soleil, qu’on entendait beaucoup de bruit d’insectes, que cela sentait le pin et je vois encore l’offrande intime couler sur la tendre pierre grise. J’avais nettement l’idée — pas littéraire du tout, mais vraiment spontanée — qu’il s’agissait d’un sacrifice, avec tout ce que ce mot " sacrifice" comporte de mystique et de grisant.

Auteur: Leiris Michel

Info: l'âge d'homme, p 57

[ semence ] [ onanisme ]

 
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Ajouté à la BD par Plouin

branler

[...] la masturbation de l’autre et la masturbation du sujet, c’est tout un. D’une façon générale, on peut même aller jusqu’à dire que tout ce qui ressemble à une masturbation suppose effectivement chez le sujet une secrète identification narcissique à l’autre. Il s’agit moins d’une identification du corps au corps, que d’une identification du corps de l’autre au pénis. Toute une partie des activités de la caresse met en jeu le phallus, pour autant que, comme je vous l’ai déjà montré, il se profile imaginairement dans l’au-delà du partenaire naturel.

Auteur: Lacan Jacques

Info: Dans le "Séminaire, Livre VI : Le désir et son interprétation", éditions de La Martinière et Le Champ Freudien éditeur, 2013, page 240

[ onanisme ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

femmes-par-femmes

Au XIXe siècle, les petites filles qui apprenaient à développer leurs capacités orgasmiques par la masturbation étaient considérées comme des cas médicaux. Souvent, on les "traitait" ou les "corrigeait" par l'excision ou la cautérisation du clitoris ou encore en "créant une ceinture de chasteté miniature", c'est-à-dire en cousant ensemble les grandes lèvres pour mettre le clitoris hors de leur portée, et même par castration, avec ablation chirurgicale des ovaires. En revanche, il n'y a pas d'exemple dans la littérature médicale d'ablation chirurgicale des testicules et d'amputation du pénis pour empêcher la masturbation chez les petits garçons.

Auteur: Ensler Eve

Info: Les Monologues du vagin

[ onanisme ] [ historique ]

 

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piège

<LuneBelle> Je me suis tapée la honte de ma vie today
<Raphi> Pk ?
<LuneBelle> Chuis en coloc avec une amie, et son copain était là
<LuneBelle> Ils se sont enfermés dans leur chambre en début d'apm
<LuneBelle> Après une 20aine de minutes, étant donné la maigre épaisseur des murs séparant nos chambres, j'ai entendu du bruit venant d'à côté
<Raphi> Pas besoin de demander quels style de bruits :p
<LuneBelle> Exactement. Et sachant qu'ils en avaient pour un moment, j'ai voulu en profiter pour satisfaire une envie naturelle de célibataire
<LuneBelle> Seulement, le prob, c'est qu'après 5 minutes, les 2 se pointent dans ma chambre en hurlant "surprise, t'es démasquée !!" ou un truc du style
<LuneBelle> Et moi qui, comme une conne, suis posée sur mon lit, à moitié à oilp, ...
<Raphi> Rhaaa les cons....
<LuneBelle> J'ai appris par après qu'ils avaient mis un mp3 en lecture avec le volume suffisamment fort que je l'entende et qu'ils avaient planifié ce
<coup depuis quelques jours...
<Raphi> ...
<LuneBelle> Je sais pas pk, mai j'ai des envies de meurtres et de vengeance.

Auteur: Internet

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[ dialogue-web ] [ onanisme ]

 

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littérature

- Miguel.
- Quoi ?
- Je ne vais pas coucher avec toi aujourd'hui.
Elle regretta d'avoir ajouté ce 'aujourd'hui', comme si elle devait se faire pardonner ce refus ou le modérer.
- Qu'est-ce que tu as, Carmen ?
Sa surprise était authentique, il avait du mal à la croire. Son ton était celui qu'il aurait employé si, au bureau de tabac, on lui avait dit : aujourd'hui on ne vend pas de cigarettes.
- J'ai eu une journée difficile, j'ai besoin de dormir, je ne peux pas, dit-elle - et elle le regretta aussi.
Pourquoi est-ce qu'elle n'était pas capable de dire : je ne veux pas ?
- Je comprends.
Son ton était lugubre, sa mine offensée, presque méridionale pour un scandinave.
- Je te branle ?
- Qu'est-ce que tu dis ?
- Si tu veux, je te branle et tu t'en vas.
Pour une fois, elle avait réussi à dire ce qu'elle voulait dire.
Elle s'attendait à une réaction offusquée, peut-être une gifle, n'importe quoi pourvu qu'il parte en claquant la porte, persuadé de son bon droit, indigné par cette pute discutailleuse qu'il avait là, mais hors de chez elle, sous la pluie, avec ses chaussures aux pieds et sa cravate dans la poche de son blazer, à retourner vers sa femme et ses deux enfants.
Miguel fit une moue d'abnégation étonnée, comme s'il était confronté aux caprices d'un malade qui perd la boule.
- C'est d'accord, fit-il, condescendant.
C'était d'accord ? Carmen pouvait à peine le croire. Est-ce qu'il ne se sentait pas humilié ? Est-ce qu'il ne se rendait pas compte de ses sentiments pour lui ou est-ce que ça lui était égal, pourvu qu'il prenne son pied ? Qu'au bureau de tabac on refuse de lui vendre des cigarettes, c'était inacceptable, mais que le buraliste lui dise : aujourd'hui on n'a que des brunes, ça oui, il était prêt à le tolérer. Il ferait avec. La pute se rendait finalement à la raison.
C'était d'accord, il n'y avait aucun doute, car Miguel s'était mis à l'aise, la tête appuyée sur le dossier du canapé. L'abnégation avait cédé la place à un enthousiasme presque juvénile, comme si c'était là l'accomplissement reporté d'un fantasme persistant et tenu secret. Elle était sa pute, pour finir, c'était pour ça qu'elle allait le branler pendant que lui, affalé sur le canapé, terminerait son whisky.
D'accord. Le plus tôt serait le mieux. Si c'était ce qu'il fallait faire pour qu'il s'en aille, en avant. Elle défit sa ceinture et le bouton de son pantalon, puis elle baissa sa fermeture-éclair. Elle glissa sa main sous l'élastique de son slip et elle sortit sa queue.
- Attends, attends, l'interrompit-il.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
Miguel laissa son verre sur la table et il baissa à la fois son pantalon et son slip jusqu'à ses chevilles.
- Mon costume, il est pratiquement neuf. Je n'ai pas envie de devoir l'apporter au pressing.
Il défit ses trois derniers boutons et écarta les pans de sa chemise pour éviter qu'elle soit tâchée.
- Ca y est ?
- Oui, ça y est.
Il revint se caler sur le canapé, son whisky une nouvelle fois à la main.
Le gland était à nu, humide et de couleur pourpre. La queue décrivait une légère courbe caténaire vers le haut et elle avait les veines enflées, comme une main serrée pour donner un coup de poing. Carmen était assise de côté sur le canapé, tournée vers lui. Elle commença à la masturber. Miguel regardait la main de Carmen et il cherchait parfois ses yeux, mais elle évitait son regard. Elle serrait avec force et, quand elle arrêtait, elle lui frottait le gland avec la pulpe de son pouce. Ça avait l'air de lui plaire. Elle voulait terminer le plus tôt possible et elle accéléra le rythme. Quand Miguel essaya d'approcher ses mains de ses seins, elle se rejeta en arrière.
- Laisse-moi les voir, demanda-t-il.
- Quoi ?
- Tes seins. Juste les voir. Sans toucher. Promis.
Elle défit la fermeture éclair de son jogging. Miguel regardait avec des yeux troubles. Carmen se caressa un sein avec la main qui lui restait de libre, elle le souleva sur sa paume et le pressa. Ca réussite à hâter le dénouement. Miguel se mit à pousser avec ses hanches au rythme de sa main, jusqu'à ce qu'il jouisse sans prévenir.
Ce fut une éjaculation douce, de jet d'eau de bassin municipal, qui ne projeta pas vers le haut, mais déborda sur la main de Carmen.
Elle frotta sa main sur son pantalon et elle referma la veste de son jogging.
- Merci. Je ne voulais pas que tu te sentes mal de ne pas baiser, dit Miguel.
Il ne manquait plus que ça : en plus il avait fait ça pour elle, cette espèce de Scandinave.
- Je veux me coucher maintenant.
Miguel termina son verre d'un trait, alla dans la salle de bain en tenant son pantalon avec ses mains, mit ses mocassins, sa veste Armani, glissa sa cravate dans sa poche et s'en alla par où il était venu, tout content, non sans promettre de l'appeler le lendemain.
Dès qu'elle referma la porte, Carmen décida de ne pas se laver les mains, c'était sa façon de s'imposer une punition.
Elle avait peur, elle avait envie de vomir, elle avait la certitude qu'il était en train d'arriver quelque chose à son fils.

Auteur: Reig Rafael

Info: Ce qui n'est pas écrit

[ scène ] [ couple ] [ sexe ] [ onanisme ]

 

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