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imagination

L'homme a toujours eu ses démons. Plus ces démons lui ressemblent, plus ils sont terrifiants.

Auteur: Cook Kenneth

Info: À toute berzingue

[ peur ] [ impressionnabilité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

nature

Il n'y a rien d'étonnant à croiser un anthropologue dans les coins reculés et arides du désert australien. Ils sont partout. On estime que, dans l'outback, il y a plus d'anthropologues étudiant les Aborigènes que d'Aborigènes.

Auteur: Cook Kenneth

Info: La vengeance du wombat : Et autres histoires du bush

[ sciences ] [ humour ]

 

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animal

Permettez-moi toutefois d'expliquer, à l'intention de ceux qui risquent d'en croiser un, que le quokka est un wallaby de très petite taille, guère plus gros qu'un petit chat ou qu'un très gros rat. Il a une sale gueule hargneuse et de petits yeux brillants dépourvus de compassion.

Auteur: Cook Kenneth

Info: La vengeance du wombat : Et autres histoires du bush

[ teigne ]

 

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convivialité

Voilà une caractéristique bien particulière des gens de l'Ouest, songea Grant. Tu peux coucher avec leurs femmes, spolier leurs filles, vivre à leurs crochets, les escroquer, faire presque tout ce qui te frapperait d'ostracisme dans une société normale : ils n'y prêtent guère attention. Mais refuse de boire un coup avec eux et tu passes immédiatement dans le camp des ennemis mortels.

Auteur: Cook Kenneth

Info: Cinq matins de trop

[ alcool ] [ poivrot ] [ tradition ] [ abstinence ] [ méfiance ]

 

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dégout

Je fus alors confronté, pour la première fois de ma vie, à l'une des choses les plus redoutables en ce bas monde : l'haleine de chameau. Représentez-vous l'odeur du contenu d'un estomac de vautour, celle d'un pauvre chat mort depuis des lustres dans une fosse d'aisances et celle d'un curry indien en décomposition quatre jours après avoir été ingurgité. Combinez toutes ces odeurs et le résultat évoquera un Chanel n°5 comparé à une haleine de chameau.

Auteur: Cook Kenneth

Info: Le koala tueur : Et autres histoires du Bush, p.118

[ exagération ]

 

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météo

Il atteignit l'hôtel, traversa le plancher affaissé de la véranda et entra dans le bar. On y était à l'ombre, mais pas au frais. Il ne faisait jamais frais à Tiboonda, mis à part les nuits de plein hiver, quand le froid te pénétrait les os. En hiver, on désirait l'été; en été, on désirait l'hiver; et été comme hiver, c'était bien le diable si l'on ne souhaitait pas être à des milliers de kilomètres de Tiboonda.

Auteur: Cook Kenneth

Info: Cinq matins de trop

[ extrêmes ] [ inconfort ]

 

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obèse

Son visage, totalement dénué de curiosité ou de méchanceté, affichait une autosatisfaction aveugle, preuve indéniable que le cerveau niché sous cette absurde crête de coq n'avait jamais été perturbé par la moindre pensée.
Deux énormes jambes s'échappaient de son short; elles ressemblaient à des pattes d'hippopotame, sauf qu'elles étaient roses et poilues plutôt que grises et ridées. Son corps paraissait posé directement sur ses jambes, et non relié à elles, car on ne lui voyait aucune taille : son tronc était comme celui d'un arbre jusqu'à ce que soudain, des jambes apparaissent. Le raccordement était dissimulé par le short bouffant, mais on avait l'impression que ces jambes pouvaient s'en aller à tout instant et laisser le corps au comptoir.

Auteur: Cook Kenneth

Info: Le koala tueur : Et autres histoires du Bush

[ littérature ]

 

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littérature

Nous avions traîné la barque à environ cinq mètres du rivage lorsque le crocodile chargea.
C'était effectivement passionnant à observer. Il semble se propulser en l'air d'un bond sur ses pattes trapues et fila sur le sable comme un lézard.
Je lâchai le bateau et saisis mon fusil.
Roger lâcha le bateau et saisit son appareil photo.(....)
J'imagine que l'assaut du reptile ne dura que quelques secondes, mais ce genre de secondes dure des heures, et j'étais conscient des clics de l'appareil photo de Roger et de l'empressement des griffes du crocodile sur le sable que même les tirs répétés du fusil n'arrivaient pas à couvrir. J'entendais la voix de Roger qui hurlait en boucle :
- Stop ! Stop ! C'est une espèce protégée ! (...)
J'avais trois choix. Je pouvais tirer sur Roger pour l'écarter et dégager ma cible (solution la plus attrayante). Je pouvais assommer Roger d'un coup de crosse pour dégager ma cible (solution trop timorée, dans les circonstances). Je pouvais jeter le fusil et m'enfuir en criant (solution la plus probable).
J'hésitai...

Auteur: Cook Kenneth

Info: Le koala tueur : Et autres histoires du Bush

[ vitesse ] [ triade ]

 

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