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incarnation

La liberté absolue serait une liberté vide, qui se supprime elle-même.

Auteur: Jonas Hans

Info: Le concept de Dieu après Auschwitz

[ initiation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

nature

L'homme est l'unique créature qui puisse avoir de la responsabilité. Si on peut en avoir, on l'a.

Auteur: Jonas Hans

Info:

[ être humain ] [ création ] [ morale ] [ devoir ]

 

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espoir

Le refus complet de l'espérance ne peut qu'accélérer le malheur. L'un des éléments qui peut le retarder est la foi que c'est évitable.

Auteur: Jonas Hans

Info:

[ nécessité ] [ positiver ] [ optimisme ]

 

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plénitude

Le Plérôme est le concept de référence pour la diversité pleinement réalisée des qualités – généralement au nombre de trente – qui sont organisées de manière hiérarchique et qui, ensemble, constituent le domaine divin. 

Auteur: Jonas Hans

Info: La religion gnostique, Paris, Flammarion, 1992

[ défini ] [ un-multiple ] [ christianisme ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

pessimiste

La prophétie de malheur est faite pour éviter qu'elle se réalise ; et se gausser ultérieurement d'éventuels sonneurs d'alarme, en leur rappelant que le pire ne s'est pas réalisé, serait le comble de l'injustice : il se peut que leur impair soit leur mérite.

Auteur: Jonas Hans

Info:

[ Cassandre ] [ nécessaire ]

 

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théologie

Mais pour le juif, qui voit dans l'immanence le lieu de la création, de la justice et de la rédemption divines, Dieu est éminemment le seigneur de l'Histoire, et c’est là qu'"Auschwitz" met en question, y compris pour le croyant, tout le concept traditionnel de Dieu.

Auteur: Jonas Hans

Info: Le concept de Dieu après Auschwitz

[ judaïsme ] [ camps de concentration ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écologie

La réduction à l'homme seul, pour autant qu'il est distinct de tout le reste de la nature peut seulement signifier un rétrécissement et même une déshumanisation de l'homme lui-même [oe] Dans une optique véritablement humaine, la nature conserve sa dignité propre qui s'oppose à l'arbitraire de notre pouvoir.

Auteur: Jonas Hans

Info: Le principe responsabilité

[ anthropomorphisme ]

 

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théologie

Nous nous souviendrons que la tradition juive, elle non plus, n’est pas aussi monolithique, en matière de souveraineté divine. Le puissant courant souterrain de la Cabale, à nouveau mis en lumière de nos jours par Gershom Scholem, connaît un destin de Dieu, auquel celui-ci est soumis avec le devenir du monde. Il y a là des spéculations hautement originales et fort peu orthodoxes, parmi lesquelles les miennes ne se trouveraient pas si totalement seules. Par exemple, mon mythe ne fait au fond que radicaliser l’idée du Tsimtsoum, ce concept cosmologique central de la Cabale lurianique. Tsimtsoum veut dire contraction, retrait, autolimitation. Pour faire place au monde, le En-Sof du commencement, l’infini, a dû se contracter en lui-même et laisser naître ainsi à l’extérieur de lui le vide, le néant, au sein duquel et à partir duquel il a pu créer le monde. Sans son retrait en lui-même, rien d’autre ne pourrait exister en dehors de Dieu, et seule sa durable retenue préserve les choses finies d’une nouvelle perte de leur être propre dans le divin "tout en tout".

Or mon mythe va encore plus loin que cela. Totale devient la contraction ; c’est entièrement que l’infini, quant à sa puissance, se dépouilla dans le fini, et lui confie ainsi son sort. Reste-t-il encore quelque chose, dès lors, pour une relation à Dieu ? Laissez-moi répondre en citant une dernière fois mon écrit antérieur.

Renonçant à sa propre invulnérabilité, le fondement éternel a permis au monde d’être. Toute créature doit son existence à cette négation et a reçu avec cette existence ce qu’il y avait à recevoir de l’au-delà. Dieu, après s’être entièrement donné dans le monde en devenir, n’a plus rien à offrir : c’est maintenant à l’homme de lui donner. Et il peut le faire en veillant à ce que, dans les cheminements de sa vie, n’arrive pas, ou n’arrive pas trop souvent, et pas à cause de lui, l’homme, que Dieu puisse regretter d’avoir laissé devenir le monde.

Auteur: Jonas Hans

Info: Le concept de Dieu après Auschwitz, pp. 41-43

[ ontologie ] [ judaïsme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel