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Internet

Occupez vous de votre mot de passe comme de votre brosse à dent. Ne laissez personne d'autre l'utiliser et achetez en une nouvelle tous les six mois.

Auteur: Stoll Clifford

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[ sécurité ]

 

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inspiration

Si vous voulez faire de la mise en scène, n'achetez pas d'auto. Prenez le métro, l'autobus, ou allez à pied. Observez de près les gens qui vous entourent.

Auteur: Lang Fritz

Info:

[ cinéma ]

 

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médias

Comptez l'argent pour rien, les places pour rien, la popularité pour rien ; c'est la presse qui est tout. Achetez la presse, et vous serez maîtres de l'opinion, c'est-à-dire les maîtres du pays.

Auteur: Crémieux Isaac Moïse dit Adolphe

Info: Discours, entretiens et autres sources

[ pouvoir ] [ pouvoir ]

 

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vivre

Pas de sympathie pour le diable ; gardez ça à l'esprit. Achetez le ticket, faites le trajet... et s'il devient parfois un peu plus lourd que ce que vous aviez en tête, eh bien.... peut-être est-ce une expansion forcée de la conscience : Soyez à l'écoute, flippez, battez-vous.

Auteur: Thompson Hunter S.

Info: Fear and Loathing in Las Vegas

[ intensémment ] [ affronter ]

 

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bourse

Un journal ne peut écrire : - N'achetez pas les produits de la Maison Carré, ils ne valent rien, ce serait de la diffamation. Mais certains journaux écrivent : - N'achetez pas les actions de la Maison Carré, elles ne valent rien... parce que ça, c'est de l'information financière.

Auteur: Detoeuf Auguste

Info: , Propos de O.L. Barenton, confiseur, p.35, Éd. du Tambourinaire, 1962

[ publicité ]

 

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marche à suivre

...vendez vos terres, votre maison, vos vêtements et vos bijoux ; brûlez vos livres. Et puis achetez-vous de bonnes chaussures, voyagez dans les montagnes, fouillez les vallées, les déserts, les littoraux des mers et les dépressions les plus profondes de la terre ; notez avec soin les différences entre animaux, les plantes, les différents minéraux, les propriétés et le mode d'origine de tout ce qui existe. N'ayez pas honte d'étudier diligemment l'astronomie et la philosophie terrestre de la paysannerie. Enfin, achetez du charbon, construisez des fours, surveillez et allumez le feu sans vous lasser. De cette façon et pas autrement, vous arriverez à une connaissance des choses et de leurs propriétés.

Auteur: Severinus Petrus

Info: In Allen G. Debus. The French Paracelsians. Chapter 1 (p. 8) Cambridge University Press. Cambridge, England. 1991

[ quête scientifique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

réagir

Avertissement : si vous lisez ceci alors cet avertissement est pour vous. Chaque mot que vous lisez via ces petits caractères dérisoires est une autre seconde enlevée à votre vie. N'avez-vous rien d'autre à faire ? Votre vie est-elle si vide que vous n'arrivez pas à penser à une meilleure façon de passer votre temps ? Ou alors êtes-vous si impressionnés par l'autorité que vous donnez respect et créance à tout ce qu'elle affirme ? Lisez-vous ce que vous devriez lire ? Pensez-vous réellement chaque chose que vous êtes supposés penser ? Achetez ce que l'on vous dit de désirer ? Sortez de votre appartement. Rencontrez quelqu'un du sexe opposé. Arrêtez les achats excessifs et la masturbation. Quittez votre travail. Commencez un combat. Prouvez que vous êtes vivants. Si vous ne revendiquez pas votre humanité vous deviendrez des statistiques. Vous voilà avertis ?

Auteur: Palahniuk Chuck

Info: Fight club

[ recommandation ]

 

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prix

En fait, savoir quel sera le cours de l'or n'a pas vraiment d'intérêt. Car le jour où l'or vaudra 6 000 euros, ou pourquoi pas même 10 000 euros l'once, vous ne serez pas forcément riche. Pourquoi ? Simplement parce que vos euros ou vos dollars, personne n'en voudra. Dans un tel cas, ce n'est pas l'or qui est "cher", c'est la monnaie qui ne vaut plus rien. L'or ne doit pas être envisagé comme une façon de gagner de l'argent en gestion patrimoniale mais comme l'assurance ultime pour votre patrimoine.
En 1923, en Allemagne, l'once d'or valait 88 000 milliards de marks... il fallait une brouette entière de billets pour une miche de pain ! Ce n'est pas l'or qui était cher, c'était le mark qui ne valait rien.
Exprimer l'or en valeur monétaire n'a, en réalité, pas de sens car le prix de l'or reflète la perte de valeur de votre monnaie. En 1914, avec une once d'or on achetait une vache. En 2014, avec une once d'or... vous n'achetez toujours qu'une vache. En 1914, une vache coûtait 100 francs et en 2014 environ 1 300 euros soit 8 600 francs environ... mais en or, la vache coûte toujours la même chose un siècle après.
Vous devez comprendre qu'avec l'inflation, la valeur d'une monnaie tend toujours vers 0 avec le temps. L'or a ceci d'extraordinaire qu'il ne vous enrichira pas, il conserve la valeur et c'est bien tout ce que nous lui demandons.

Auteur: Sannat Charles

Info:

[ conservation ] [ fric ]

 

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self-contrôle

La défusion cognitive est le procédé permettant à l'individu de prendre de la distance avec le contenu littéral de ses pensées pour les envisager comme des phénomènes psychologiques différents des expériences réelles.

La défusion permet une prise de recul face aux phénomènes internes tels que les justifications, les jugements, les conceptions de soi... Elle va permettre de modifier la relation que l'individu entretient avec ses pensées.

Un exercice typique consiste à proposer de répéter le contenu d'une pensée à toute vitesse afin de focaliser l'attention de l'individu sur les caractéristiques sonores des mots et d'amoindrir les associations à une signification particulière. Métaphores, paradoxes et autres exercices expérientiels pourront être proposé. Cette partie est particulièrement propice à la créativité pour autant que l'exercice proposé aide l'individu à se distancer des productions cognitives.

La métaphore des représentants de commerce est une manière intéressante d'introduire et amorcer le travail de défusion. Dans cet exercice vous allez demandez au patient d'entrevoir son cerveau comme une agence commerciale qui lui envoie régulièrement des représentants "les pensées" qui cherchent à lui vendre (lui faire adhérer/croire à) un lot de pensées diverses et variées. Et dans ce cadre, ce ne sont pas toujours les meilleurs lots qui bénéficient des meilleurs vendeurs. Les plus désavantageux nécessitent les plus talentueux pour user de multiples stratégies pour vous faire accepter cet article de mauvaise qualité.

Lorsqu'un vendeur de la sorte se présente chez vous, achetez-vous tous ses produits ? Prenez-vous chacune de ses paroles comme un texte de loi ? N'iriez-vous pas vérifier ?

C'est précisément ce type de démarche que je vous propose de faire lorsque l'"agence commerciale" de votre esprit vous enverra ses sbires aux crocs acérés.

Plusieurs outils de défusion peuvent alors être proposés. Un best-seller dans le domaine est celui qui invite le patient à le redire en chantant, avec un accent étranger ou sous forme de question. Voici une manière de le présenter au patient : "Personnellement lorsque le matin au réveil de ma journée administrative, je me réveille en m'assénant des coups de "cela va être une journée pourrie, des papiers à remplir, des files à faire...", alors je m'amuse à redire les même paroles avec un accent étranger. Cela ne m'enlève pas l'idée que cette journée va être pénible mais ça me permets de me rappeler que cette pensée n'est qu'une parmi de nombreuses autres. Je lui redonne sa vraie place, celle de pensée.

Cet exercice possède des variantes à l'infini tant au niveau de la voix, du graphisme, des couleurs et autres éléments intervenant dans la pensée.

Au final le travail sur la défusion peut s'avérer ludique et parfois également très délicat dans la présentation et l'adhésion. Dans ce cas, rien ne sert de forcer, il est plus opportun, en tant que thérapeute de favoriser l'expérience directe plutôt que de nombreuses explications.

Auteur: Internet

Info: http://act-therapie.com/hexaflex-la-fusion-cognitive-vs-la-defusion-cognitive/

[ maitrise ] [ introspection ] [ distanciation ] [ gamberge ]

 

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lecture

Dès que j’avais un livre, mon premier soin était de m’enfermer avec dans ma chambre d’hôtel comme pour une séance d’initiation, et je ne décrochais pas avant d’en avoir terminé, qu’il eût deux cents ou mille pages. Lire les paroles qu’un homme, dont on ne connaît généralement ni le visage ni la vie, a écrites tout spécialement à votre intention sans oser espérer que vous les liriez un jour, vous qui êtes si loin, si loin sur d’autres continents, d’une autre langue. Peut-être habite-t-il une grande maison de campagne au bord du Tibre ou un quarante-septième étage dans New York illuminé, peut-être est-il en train de pêcher l’écrevisse, de piler la glace pour le whisky de cinq heures, de caresser sa femme sur le divan, de jouer avec ses enfants ou de se réveiller d’une sieste en songeant à tout ce qu’il voulait mettre de vérité dans ses livres, sincèrement persuadé de n’avoir pas réussi bien que tout y soit quand même, presque malgré lui. Il a écrit pour vous. Pour vous tous. Parce qu’il est venu au monde avec ce besoin de vider son sac qui le reprend périodiquement. Parce qu’il a vécu ce que nous vivons tous, qu’il a fait dans ses langes et bu au sein, il y a de cela trente ou cinquante ans, a épousé et trompé sa femme, a eu son compte d’emmerdements, a peiné et rigolé de bons coups dans sa vie, parce qu’il a eu faim de corps jeunes et de plats savoureux, et aussi de Dieu de temps à autre et qu’il n’a pas su concilier le tout de manière à être en règle avec lui-même. Il s’est mis à sa machine à écrire le jour où il était malheureux comme les pierres à cause d’un incident ridicule ou d’une vraie tragédie qu’il ne révèlera jamais sous son aspect authentique parce que cela lui est impossible. Mais il ne tient qu’à vous de reconstituer le drame à la lumière de votre propre expérience et tant pis si vous vous trompez du tout au tout sur cet homme qui n’est peut-être qu’un joyeux luron mythomane ou un saligaud de la pire espèce toujours prêt à baiser en douce la femme de son voisin. Qu’il ait pu écrire les deux cents pages que vous avez sous les yeux doit vous suffire. Qu’il soit l’auteur d’une seule petite phrase du genre : "A quoi vous tracasser pour si peu, allez donc faire un somme en attendant", le désigne déjà à nous comme un miracle vivant. Même si vous deviez oublier cette phrase aussitôt lue et n’y repenser que le jour où tout va de travers, à commencer par le réchaud à gaz ou la matrice de votre femme. Et si par hasard vous avez la prétention de devenir écrivain à votre tour, ce que je ne vous souhaite pas, lisez attentivement et sans relâche. Le Littré, les articles de dernière heure, les insertions nécrologiques, le bulletin des menstrues de Queen Lisbeth, lisez, lisez, lisez tout ce qui passe à votre portée. A moins que, comme ce fut souvent mon cas, vous n’ayez même pas de quoi vous achetez le journal du matin. Alors descendez dans le métro, asseyez-vous au chaud sur un banc poisseux --- et lisez ! Lisez les avis, les affiches, lisez les pancartes émaillées ou les papiers froissés dans la corbeille, lisez par-dessus l’épaule du voisin, mais lisez !...

Auteur: Calaferte Louis

Info: Le septentrion, N’OUBLIEZ PAS DE LIRE

[ injonction ] [ drogue ] [ refuge ]

 

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