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chantier

Il faut savoir que, dans le bâtiment, les corps de métier se vouent un mépris aussi inexplicable qu'inextinguible. Le plâtrier tient le maçon pour un pouilleux et le plaquiste pour un escroc. Le chauffagiste regarde de haut le fumiste qui, lui-même, toise le jointeur. Quant à l'électricien, électron agaçant, il ne voit même pas le peintre que, souvent, le carreleur rabroue. Le charpentier n'est qu'un primate aux yeux du menuisier que le couvreur tient pour quantité négligeable, tandis que le zingueur, albatros des toitures, raille le plombier, vague ratier de la tuyauterie.

Auteur: Dubois Jean-Paul

Info: Vous plaisantez, monsieur Tanner

[ rapports humains ] [ professions ] [ Btp ]

 

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autodérision

La comédienne Pauline Carton, interprète privilégiée de Sacha Guitry, n'hérita que de rôles de concierge, de cuisinière et de bonne à tout faire... Son physique insignifiant, dont elle accentuait la banalité par un chignon pas plus gros qu'une olive, la cantonnait dans ces rôles de subalternes. Elle était la première à en rire : "Quand j'étais jeune, j'avais un visage lisse et une jupe plissée. Aujourd'hui, c'est le contraire". Elle confiait à Jean Nohain : "C'est agaçant ! Je n'ai jamais pu me présenter à un concours de beauté. On me colle toujours dans le jury".

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

 

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savoir

Nous sommes tous profondément habitués à voir la science comme la seule entreprise qui se rapproche toujours plus d'un certain but fixé d'avance par la nature.
Mais ce but est-il nécessaire ? Ne pouvons-nous pas rendre compte de l'existence de la science comme de son succès en termes d'évolution, à partir de l'état des connaissances du groupe à n'importe quel moment? Est-il vraiment utile d'imaginer qu'il y a une manière complète, objective et vraie de voir la nature, le critère approprié de la réussite scientifique étant la mesure dans laquelle elle nous rapproche de ce but ultime? Si nous pouvions apprendre à substituer l'évolution-à-partir-de-ce-que-nous-savons à l'évolution-vers-ce-que-nous-désirons-savoir, un certain nombre de problèmes agaçants disparaîtraient chemin faisant.

Auteur: Kuhn Thomas Samuel

Info: La structure des révolutions scientifiques, trad. Laure Meyer, p.233, Champs/Flammarion n°115

[ relatif ] [ en question ]

 

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nébuleux

Je tombe parfois sur une citation qui me pose problème, soit parce que je ne la comprends tout simplement pas. Ou parce qu'elle manque de clarté. Exemple de ce genre de flou agaçant : "Il y a certains défauts qui marquent plus une bonne âme que certaines vertus" phrase du cardinal de Retz.
A moins que le sens des mots ait si radicalement changé depuis que je ne puisse comprendre. Mais je ne crois pas.
Il faut dire qu'après de longues années de pérégrinations mentales, je n'hésite pas à affirmer que Retz-Gondi reste le meilleur exemple d'un esprit cauteleux. Tenez cet autre exemple : "Il n'y a rien de si dangereux que la flatterie dans les conjonctures où celui que l'on flatte peut avoir peur".

Auteur: Mg

Info: 13 fév. 2013

[ pensée ] [ chafouin ]

 

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moustiques

Voilà revenues les saisons chaudes, la gloire portée haute de ces satanées bestioles que l'on attire comme des mouches ! Ils nous sucent le sang , nous aspirent comme des vampires dans un tintamarre menaçant. Ils nous garantissent des insomnies carabinées et des démangeaisons nous donnant des envies de meurtre. Pourtant ces diptères bourdonnants tiennent un rôle indispensable sur Terre. Ils régulent les populations de mammifères et leurs larves nourrissent une cohorte de prédateurs. Ces individus agaçants qui méritent des gifles sont donc un maillon nécessaire à la chaîne alimentaire et pour peu que votre sang ait un goût sucré délicieux ou que votre corps sue comme un beau diable, l'été sera torride pour vous ! Qu'on les pulvérise, qu'on les expulse, qu'on les envoie nager profond, qu'on les parfume à l'exil !

Auteur: San Marco Bruno

Info:

[ insectes ]

 

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école

Philippe a découvert cette année l’effervescence très particulière qui règne dans un établissement secondaire, ce mélange de solidarité et de rivalité qui fait tout le sel des relations entre enseignants et membres de l’administration, et surtout – surtout – ce lien étrange qui relie les élèves et leurs professeurs, tissu complexe de confiance, de provocation, de décontraction, de colère et de douceur. Bien sûr, il y a retrouvé des traits d’enfance. Cette façon agaçante dont, dans chaque milieu clos, les uns ont tendance à espionner les autres. Cette propension au ragot. Ce sentiment d’enfermement qui le pousse, chaque fois qu’il entre dans une classe, à ouvrir en grand les fenêtres, été comme hiver. Néanmoins, le premier adjectif qui lui vient à l’esprit quand il doit qualifier son métier, c’est chaleureux. L’impression, chaque fois qu’il franchit les grilles, d’être accompagné par des milliers de regards curieux, ironiques mais bienveillants, et de former, avec tous ceux qui passent là leur temps diurne, une chorale de cœurs dissonants et pourtant irrémédiablement unis.

Auteur: Blondel Jean-Philippe

Info: Un si petit monde

[ bouillonnement ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

colonialisme

Ce qui est agaçant c'est que l'efficacité rationaliste européenne a d'une certaine manière imposé ses modèles aux africains. Modèles socialistes, démocratiques, néo libéraux, religieux (terribles, les dégâts de la Bible), ou autres. Lorsque De Gaule a décolonisé il n'a pas proposé d'aide au développement, mais la coopération. Lorsque Kadhafi a voulu s'émanciper l'Afrique financièrement en utilisant la manne financière du pétrole, on l'a démoli immédiatement. Les populations du plus grand continent terrestres sont de nature tribales, communautaires, chacune à sa manière et pas autant sur les fonctionnements individualistes de notre occident et sa culture des vainqueurs. Occident, qui, par la puissance des médias clinquants et souvent via la compromission de leaders africains corrompus, a énormément déstabilisé psychologiquement les populations de là bas. La terre est une sphère, chaque endroit en est le centre, qu'on laisse les communautés locales se développer comme elles l'entendent. Qu'on les aide à prendre leur autonomie. Ce ne sont pas elles qui viendront nous menacer avec leurs dollars, leurs bons sentiments ou leurs bombes.
Pires fléaux de la civilisation humaine : individualisme forcené et concentration de trop grands pouvoirs.

Auteur: Mg

Info: 25 janv. 2019

[ paternalisme ] [ nord-sud ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

insensibilité

Une fourreuse du passage Dauphine, une soixantaine d'années, à qui j'ai souvent parlé à cause de ses chiens, s'est jetée à la Seine il y a quelques jours. Inconsolable de la mort d'un fils il y a une dizaine d'années. Pertes d'argent. Mauvaises affaires. Mari toujours dehors. Le "Fléau" me parlait de cela ce soir dans mon bureau. Je me suis mis à éclater de rire. Scandalisée de cela. Me traitant de monstre, homme abominable. Je n'en riais que plus fort. C'est vrai, à la fin. Faut-il que je me désole parce que cette femme s'est jetée à l'eau ? Je m'en fiche complètement. Va-t-il falloir aussi que je m'attendrisse sur les tuberculeux, les goitreux, les borgnes, les bancals, les gens qui n'ont qu'un testicule, tous les mal bâtis d'une façon ou d'une autre. C'est agaçant, à la fin. Je m'en fiche complètement. Toutes ces jérémiades à la mode d'aujourd'hui ! C'est comme l'affaire des timbres antituberculeux. Des timbres antituberculeux ? Quel français ! J'attends qu'on vienne m'en offrir dans la rue. Car c'est devenu maintenant une sorte de quête. Je crois bien que je m'offrirai ce plaisir de répondre que je m'en fiche complètement.

Auteur: Léautaud Paul

Info: 19 décembre 1932 II p.1149

[ rejet ] [ sécheresse ] [ hargne ] [ vacherie ] [ misanthropie ]

 

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parapsychologie

Utopie : le retour de la mémoire de l'eau me rappelle des trucs
De par leurs idées et autres extrapolations des scientifiques comme Ruppert Sheldrake, Michel Bounias, Jacques Benveniste, Jean-Pierre Petit, Luc Montagnier... sont ou furent les cibles privilégiées du sectarisme des gens comme il faut. Sir John Maddox, rédacteur en chef honoraire de la revue Nature, bible des intégristes scientifiques, rédigea en 1981 un éditorial sur l'ouvrage de Ruppert Sheldrake, "A New Science of Life", dans lequel il écrivit : "Ce pamphlet exaspérant (...) est le meilleur candidat depuis de nombreuses années pour être brulé." Puis, lors d'une émission télévisée sur la BBC en 1994, il déclara : - Sheldrake met en avant la magie plutôt que la science et cela mérite d'être condamné dans les mêmes termes que ceux utilisés par le Pape pour condamner Galilée et pour les mêmes raisons. C'est de l'hérésie !...
Bref, on se croirait parfois revenu aux heures les plus sombres du moyen-âge. Mais ce n'est plus un sorcier que l'on veut brûler mais bien un docteur en biochimie diplômé.
Pour un prix Nobel (Montagnier) on fait un peu plus attention, on souligne donc perfidement que Nobel en question devient vieux. Ainsi, preuve est malheureusement donnée que ceux qui ont pour charge d'aider et de diffuser auprès des scientifiques du monde entier des avancées ou des prospectives qui élargissent nos connaissances sont trop souvent des censeurs dogmatiques.
Cette censure est de nos jours heureusement mise à mal grâce à Internet, espace de liberté par lequel tous les hérétiques peuvent s'exprimer, communiquer, et grâce auquel leurs idées deviennent accessibles au plus grand nombre. Ces chercheurs/spéculateurs scientifiques doivent fermement être défendus. Aidés même.
1) Au nom du droit à l'erreur:
2) Sans des gens qui pensent "autrement" pas de découverte scientifique majeure
3) Sans erreurs pas d'évolution.
Pensons à la sérendipité et rappelons-nous des créateurs anciens stigmatisés, Wegener et sa théorie de la tectonique des plaques par exemple, méchamment torpillé par la communauté scientifique de l'époque.
Ces scientifiques "maudits" sont plus que jamais les metteurs en cause nécessaires de nos sociétés capitalos démocratiques. Sociétés où les hiérarchisations sont devenue parfois si complexes que vouloir "monter" dans les appareils peut devenir quasiment un métier. Les hiérarchies se défendent, ici hélas bien au-delà du "Laisser toutes les portes ouvertes - mais en défendre férocement l'accès" de Jean Rostand. Elles sont de moins en moins des filtres à intelligences mais toujours plus des organismes d'orientation et de conservation du pouvoir.
Comme d'autre part l'attribution des budgets est de plus en plus décidée et pilotée par des mandants extérieurs dont le but n'est en général QUE mercantile, il y à la une problématique plus grave qu'il n'y parait.
Ainsi, pour l'affaire de "la mémoire de l'eau". Dans une société ou les multinationales pharmaceutiques sont dans le top mondial de la finance et où elles passent leur temps a terroriser la planète en agitant la peur de la maladie pour vendre leurs vaccins tueurs - avec la complicité des assurances -, la compromission des communautés scientifiques, économiques et politiques se voit désormais comme le nez au-milieu de la figure. Au mieux l'Etat laisse faire.
La science est en principe un champ ouvert, perpétuellement apte à se remettre en cause. La question qu'il faut poser aujourd'hui est au niveau de ses deux moteurs principaux : l'Etat-pouvoir et les Multinationales-finances. Deux logiques, gouvernements conservateurs et transnationales prédatrices, qui se conjuguent. Un Etat qui se couvre en émettant des lois qui cooptent le système en place (pour avoir le diplôme il faut "correspondre") couplé avec une économie qui recherche le profit mais pas le bien commun. Bref le système se nécrose et perd sa créativité exactement là où il devrait la conserver.
Pour revenir à cette histoire de la "mémoire de l'eau" et au sempiternel combat contre l'homéopathie. Il est souvent annoncé que l'effet placébo a été démontré chez les animaux.
D'abord il n'a jamais été démontré, mais constaté. Et cette simple constatation devrait suffire à allumer l'intérêt et débloquer des budgets. Niet dit alors le système : pas rentable, trop aléatoire... hors des clous. Ce hors des clous qui pourrait ouvrir de nouvelles perspectives étonnantes.
Car les scientifiques sont semble t'il toujours plus rationalistes, j'avance même que nous avons là une forme de fermeture intellectuelle que j'ai presque envie de formuler en "bêtise militaire", celle qui veut avoir une prise totale sur son sujet, pour, au final, vous en faire des armes ou des outils de pouvoir. Bravo !
Du coup pourquoi voulez-vous qu'ils s'intéressent au programme de recherche d'anomalies de technologie de Princeton (Pegg) qui a constaté les effets de la conscience humaine sur les machines. Effets minimes mais statistiquement constatés (et différents selon les sexes !). Et pourquoi voudriez-vous débloquer de gros budgets - et créer des emplois - pour développer des études destinées à explorer le champ de la biophysique. Champ dans lequel je mets aléatoirement et imprudemment les phénomènes acausals et la synchronicité de Jung, la mémoire de l'eau, cette aveugle allemande Gabriele Simon qui a développé la capacité de voir les couleurs avec ses bouts de doigts, ou le panpsychisme cher à Thomas Nage (dans la continuité de James William) qui imagine une âme dans les pierres, le minéral. Un Panpsychisme bien évidemment brocardé, ce qui me ramène à cette interminable histoire de mémoire de l'eau, étude qui laisse entrevoir qu'on pourra éventuellement démontrer (pardon : constater) qu'il y a échange d'informations ou d'ondes dans l'infiniment petit.
Mais il faudra tenter d'autres approches, étudier d'autres limitations potentielles dans la démarche scientifique. Vous pouvez être sûr qu'il y en a. Faut-il avoir le coeur pur pour celà ? Ou maitriser trois langues comme Cheick Diarra, qui use de l'anglais pour être efficace, du français pour la créativité... ou du Malien quand il s'agit de résoudre les rapports humains ? Parce que nous savons bien que les langues peuvent déterminer la nature et la teneur de la pensée. Et cette pensée est ici aussi le sujet de l'étude, sous l'éclairage de cette citation de David Chalmers : "L'expérience est information de l'intérieur; la physique est information de l'extérieur."
Ainsi ce papier... N'est autre que le désir de son auteur de produire un texte destiné à "résonner" chez ses lecteurs. Pour ce faire il use de cohérence mais s'efforce aussi, par son style, de faciliter cette résonnance. Eventuellement de la déclencher. Il y a une harmonie.
Les chercheurs font tous à des degrés divers de la science artistique. Tout est art finalement, quête d'harmonie (Aah Piaget). Approche soigneuse, plaisir du travail bien fait, résultats reproductibles, fond-forme... esprit-matière... Un homme vraiment absorbé représente une forme d'unicité.
On aimerait bien voir la tronche du décideur financier (pléonasme) à qui on proposerait la création d'un laboratoire de sciences artistiques, ou d'art scientifique. Lol, Mdr... C'est qui cet abrutelligent ?
Le problème, c'est peut-être d'oublier que nous avons modélisé le monde selon nos sens. Nous au centre, comme des gamins gâtés. Anthropomorphisme, solipsisme ?... Appelez ça comme vous voulez mais il semble qu'avec ce modèle nous nous dirigeons vers du "pas joli".
Donc toi esprit/moteur, piégé dans ce corps de bipède dépoilé, censé représenter l'espèce dominante (ou qui croit l'être) de la troisième planète d'un petit système solaire, tu perçois (ou croit percevoir) via tes sens, un petit nombre parmi les 800 octaves du cosmos (du noyau de l'atome jusqu'à la taille de l'univers), principalement par tes oreilles et tes yeux.
Ainsi as-tu calibré et "nommé" ton environnement. Ensuite, grâce aux outils que tu as su concevoir : téléscopes, rayons X, microscopes, ondes infra-rouges... tu as légèrement agrandi cette fenêtre de perception.
Pour ce qui est de l'étude et de la compréhension des interactions entre les forces qui sous-tendent ta réalité physique, limités par ce qui précède, tu sembles quelque peu borné par une nature-pensée peut-être trop bipolaire.
Tu es néanmoins parvenu à concevoir, entre autres, la bombe atomique, tout en restant incapable de limiter tes pulsions de reproduction galopante. D'où une surpopulation qui conduit fréquemment à des drames chez les gens de ta race. Et tu le sais très bien.
Zoom arrière.
Cadre des libertés, l'Etat n'est plus capable d'offrir ces dernières aux chercheurs. Au niveau des multinationales quasi plus non plus puisque ces équivalentes actuelles du mécénat d'antan offrent des financements subordonnés à des manoeuvres, des calculs. Et quand l'humain calcule en ce domaine ça craint : Gilette pour économiser sur la couche de platine de ses lames, Gates pour payer moins d'impôts, Soros pour favoriser le capitalisme... Ca craint vraiment.
Pensez : il existe encore quelques grandes boites qui financent des "nurseries pour créateurs indisciplinés", précisément pour récupérer la moindre trouvaille et en faire un profit sonnant et trébuchant !
Les sociétés humaines sont mortes de guerres subordonnées à l'inertie de leurs propres conformismes.
Grand zoom arrière.
Tentons de mieux distinguer Utopia.
Si on parvenait dans nos sociétés à consommer moins et plus intelligemment, via une meilleure éducation et une organisation plus simple et efficace, avec développement des activités de loisir et de méditation en parallèle, ce serait un début.
Nous sommes au sortir d'un siècle qui fut autant atroce qu'extrêmement créatif, tant par son développement technologique que pour sa science-fiction. Il y a maintenant comme un sentiment de retour en arrière, au mieux d'un plafonnement, d'un affinement inutile des idées. Idées bridées par l'inertie des acquis. Certitudes d'avant : matérialisme, "croassance", pseudo économie sous la coupe de pouvoirs qui tendent à une chose : se conserver.
C'est agaçant.

Auteur: Mg

Info: 1 oct 2014

[ ouverture ] [ sciences ]

 

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