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combattre

C'est notre heure. Nous devons être jeunes et vaincre.

Auteur: García Lorca Federico

Info: Entrevista 34

[ allons-y ] [ encouragement ]

 

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dernières paroles

J'ai toujours aimé essayer les trucs au moins une fois... allons-y.

Auteur: Bishop Jesse

Info:

[ exécution ]

 

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mondanités

Il y a toute une catégorie d'hommes qui ne font la cour qu'aux femmes fidèles... et qui seraient bien embarrassés si les femmes leur disaient : - Allons-y !

Auteur: Guitry Sacha

Info: Le veilleur de nuit, p., in Théâtre, Éd. Presses de la Cité-Omnibus

[ hommes-par-hommes ]

 

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dernières paroles

Le paradis! Le paradis! Le paradis! Bénies soient les disciplines! Bénies soient les veilles! Bénis les pénitences, les renoncements à la volonté propre et les gestes d'obéissance! Bénis les jeûnes! Béni le désir de pratiquer une vie religieuse parfaite! Allons-y, allons-y!

Auteur: Saint Bernard de Corleone

Info:

[ . ]

 

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labeur

A longueur de journée, les open space résonnent de : "Il faut y aller ! Il faut mettre le paquet !", "Va falloir se booster !", "On va les déchirer !", "On va être les meilleurs !".
Ouais, c'est ça ! Allons-y ! Jusqu'ici, nous voulions tous être médiocres. On est vraiment cons. Merci, Seigneur, de nous avoir apporté l'énergie et la lumière qui nous manquaient.

Auteur: Des Isnards Alexandre et Zuber Thomas

Info: L'Open Space m'a tuer

[ progrès ] [ efficacité ]

 

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science-fiction

Nous sommes les maîtres incontestés du système solaire et au bord de l'espace interstellaire lui-même, juste comme ils l'étaient il y a cinquante mille ans... Ainsi, Messieurs, nous héritons des étoiles. Allons-y donc, et réclamons notre héritage. Nous appartenons à une tradition dans laquelle le concept de défaite n'a pas de sens. Aujourd'hui les étoiles et demain les galaxies. Aucune force n'existe dans l'Univers qui puisse nous arrêter.

Auteur: Hogan James P.

Info: Inherit the Stars 1977

[ conquérants ] [ bêtise ]

 

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dernières paroles

Je n'y vais pas. Faites de moi ce que vous voulez. Je n'y vais pas. Allons! Allons! Agissez! Allons-y!.... Comme il refusait de partir avec la police, une foule de supporters en colère se réunit autour de lui. L'un d'entre eux, Catch the Bear, sortit un pistolet et tua un officier. Pendant que celui-ci tombait, il tira une fois et toucha Sitting Bull. Un combat s'ensuivit et quatorze personnes - dont six officiers de police - furent tuées.

Auteur: Sitting Bull

Info: en décembre, environ quarante membres américains de l'Indian Constabulary, l'encerclèrent pour l'arrêter. Il leur fit face en les interpellant

[ . ]

 

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humour

Un photographe d'un grand magazine doit prendre des photos d'une forêt en feu. La fumée est épaisse et il appelle son éditeur pour trouver une solution. Celui-ci lui dit :
- Allez à l'aéroport et pendant ce temps je vais louer un avion pour vous.
Il va au petit aéroport du coin et voit un avion de tourisme prêt à décoller. Il monte dedans et crie :
- Allons-y, allons-y !
Le pilote décolle, un peu maladroitement. Le photographe lui dit :
- Volez vers le nord, puis passez trois ou quatre fois à basse altitude près des arbres en feu.
- Pourquoi ? demanda le pilote. Le photographe lui répond de façon exaspérée :
- Parce que je suis un photographe, et que les photographes prennent des photos !
Après un long silence, le pilote répond :
- Vous voulez dire que vous n'êtes pas l'instructeur ?

Auteur: Internet

Info:

[ surprise ]

 

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post-darwinisme

Il me semble plus efficace de définir la mémétique comme une approche naturaliste de l’évolution culturelle et de ses manifestations reproductibles, qui pour moi prennent la forme de solutions. J’appelle solution la manière de passer d’une situation ayant atteint un point d’instabilité à une autre situation qui en découle et qui est plus stable (par exemple, un repas). Les solutions culturelles sont alors aux mèmes ce que les organismes vivants sont aux gènes : des interacteurs propres à subir les pressions sélectives de l’environnement. Le façonnage de la société commence là, évoquant la théorie des formes sociales proposée au début du xxe siècle par Georg Simmel, ou l’idée sartrienne de résolution dialectique. Le potentiel de transformation d’une situation se décharge à travers ces solutions. Entre le piercing, le recyclage, les symboles d’appartenance religieux, le combat fumeur vs non-fumeur, les sushi bars, les objets imprimés à la maison, le mariage homosexuel, les écrans tactiles, les printemps arabes et les réseaux sociaux… allons-y, chaussons des lunettes de méméticien et nous n’aurons que l’embarras du choix.

Auteur: Jouxtel Pascal

Info: In Cairn infos, reprenant Hermès, La Revue 2013/3 (n° 67), pages 50 à 56

[ noosphère ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

émission tv

Dès le début, dès le générique de ce "Fort Boyard", on pressent que ça va être gênant de regarder ça jusqu’au bout. Quel est cette espèce de fortin saugrenu et laid dont se rapproche la caméra, posé en pleine mer, semblable à une grosse boucle de ceinturon à la dérive ? Qu’est-ce qui s’y déroule de si excitant, tous les vendredis soirs, sur Antenne 2 ? Cela faisait longtemps que je me le demandais, mais je passais toujours sur une autre chaîne avant d’avoir la réponse parce que je me doutais que celle-ci n’aurait pas plus d’intérêt que ma question. Cette fois je suis resté, et je me suis forcé à regarder, du début à la fin, sans sourciller, cette chose morbide entre toutes, et quasiment impensable, qu’on appelle un jeu télévisé.

Les jeux ne sont pas mon fort, en tout cas pas ceux-là. En limitant le jeu au jeu, on essaie toujours de vous convaincre que la vie n’est pas un Jeu. Voilà encore un truc de contrat social. Jeu est un autre !  Je me doute bien que celui-ci, "Les clés de Fort-Boyard", n’est pas le pire de tous : un rouage entre mille, dans la grande Machine à divertir d’après la fin d tout. Mais puisqu’il semble condenser quelques-uns des ingrédients essentiels qu’il faut pour me déplaire, allons-y.

L’architecture sombre et sauvage du décor, pour commencer ; les remous antipathiques de l’océan autour de ces murailles isnistres de cachot ; le romantisme aquatique à son plus haut degré de stupidité iodée autour du romantisme de l’enfermement ; l’animateur et l’animatrice, aussi, avec leur enthousiasme farineux et leurs promesses à faire dresser les cheveux sur la tête ("Vivre en une heure les aventures romanesques de toute une vie !") ; le barde à fausse barbe, également, malheureux figurant dans sa vigie de pacotille payé pour proposer des devinettes ineptes ("Bien pendue, elle est bavarde" : mais oui, c’est la langue, vous êtes formidable !) ; et puis tous ces périls sans danger, toutes ces bêtes féroces qui ne vous feront aucun mal, ces mygales qui ne piquent pas, ces tigres qui resteront à tourner comme des idiots démobilisés derrière leurs barreaux mais qu’on vous montre, comme une nostalgie de jungle, comme un souvenir de l’aventure perdue, comme un échantillon de risque, donc d’Histoire, terminés ; à la façon dont on vous esquisse également des nostalgies de sexe sous la forme d’un bref combat de femmes dans la boue (jolies visions de fesses, intéressants aperçus de cuisses et de cellulite) ; ou encore, au détour d’un labyrinthe, sous les apparences de cette fille nue dont vous n’apercevrez qu’un bout de sein furtivement dressé dans l’obscurité…

C’est ça, un jeu télé, à la fin du XXe siècle ? Oui ; mais j’oubliais l’essentiel, c’est-à-dire les candidats bien sûr. Quatre ou cinq garçons et filles en pleine santé, amis des sports et du grand air, quatre ou cinq asperges dynamiques sélectionnées parce qu’elles ont des têtes à avoir inventé le saut à l’élastique. Rien n’est plus déprimant à contempler, et rien en même temps n’est plus comique, que ces jeunes damnés du Tertiaire, démoniaques et souriants représentants des classes moyennes, incarnations de la nouvelle France profonde jaillie enfin en pleine lumière, sataniques employés de banque ou attachés commerciaux en train de cavaler à travers ce Luna Park de cauchemar, pour exécuter avec un esprit de sérieux épouvantable leur misérable parcours du combattant et récupérer je ne sais combien de clés qui leur feront gagner un monceau d’or. Rien n’est plus instructif non plus : il n’y a pas que la face cachée du spectacle qui soit captivante ; inutile d’espérer rien comprendre à celle-ci si on néglige de contempler, de temps en temps, sa face exhibée, la face montrée de la grande Terreur, l’effrayante et souriante et pathétique face visible de la Tyrannie, avec son armée carnavalesque de sergents recruteurs. Comme dit en ce moment un slogan pour un autre jeu : "On commence par gratter et on finit à la télé." C’est valable littéralement et dans tous les sens, dans un monde où Eros et Thanatos, désormais, portent des nez rouges.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Exorcismes spirituels, tome 2 : Mutins de Panurge", éd. Les Belles lettres, Paris, 1998, pages 414-415

[ critique ] [ caricature ] [ reflet du monde ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson