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apiculture

Les abeilles... Par quelque prévoyance géométrique... savent que l'hexagone est plus grand que le carré ou le triangle, et qu'il retiendra plus de miel avec la même dépense de matière.

Auteur: Pappus d'Alexandrie

Info: In Sanderson Smith. Agnesi to Zeno: Over 100 Vignettes from the History of Math. Bees as Mathematicians (p. 173) Key Curriculum Press. Emeryville, California, USA. 1996

[ alvéoles ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

chef d'oeuvre

La Casa Mila était l'une des constructions les plus célèbres de Gaudi. Un immeuble au design unique; avec ses alvéoles et ses balcons sinueux, il ressemblait au flanc d'une montagne creusée par les intempéries. D'ailleurs on lui avait donné un surnom, "La Pedrera", la carrière.*
(...)
Le plan de la Casa Mila est une double boucle, comme le signe infini, qui forme deux trous aux bords effondrés. Chaque fosse mesure près de trente mètres et, vu du ciel, on a l'impression que deux puits percent le toit de l'immeuble. [...] Un escalier en spirale montait à l'ascension de ce puits, son garde-fou en fer forgé reproduisant les alvéoles d'un corail. Une jungle de lianes et de feuilles débordait des rambardes, comme pour envahir tout l'espace.
Une architecture vivante, s'émerveilla Langdon, en reconnaissant une fois de plus les talents de Gaudi à reproduire la profusion du vivant.

Auteur: Brown Dan

Info: Origine, p 273 et p 289

[ construction ] [ bâtiment ]

 

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amour

Ton corps muet au bord des nuits, c’est candeur –

tes cheveux quand ils infusent dans les bassines de

lait pleine lune, alors la nacre – tes clavicules trop

fines – tes jambes à peine cuites – J’y veille et

j’affleure... Car quand tu te montres le jour, alors

les fleurs : béates.



Les alvéoles de ta peau, c’est dentelle, personne ne

le sait – tes cils emmêlés, c’est l’empire de tes

larmes, je l’ai vu.



J’ai cherché la beauté des autres, rien du tout.



Puisse ton odeur être celle du foin frais, car tes

lèvres, elles, me criaient déjà d’autres vendanges.

Sur ta nuque j’avais trouvé les effluves d’un autre

possible.



Ta voix brune quand tu dis bonsoir, c’est cantique

des cantiques et tes yeux clair de lune tous me l’ont

dit c’est l’éclipse mi-mars... Car quand tu te montres

la nuit, alors les étoiles : béates.

Auteur: Rouyau Mathilde

Info:

[ poème ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson