Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 6
Temps de recherche: 0.0312s

inconstance

Mais c’est toi que j’aime
Ô la suivante.

Auteur: Frédérique André

Info:

[ bonheur anticipé ] [ amour volage ] [ obsédé ] [ sexe ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

femmes-hommes

La femme dans notre société contemporaine n'est pas moins volage que l'homme. Elle est simplement plus discrète.

Auteur: Fisher Helen

Info: Histoire naturelle de l'amour

[ comparés ]

 

Commentaires: 0

femmes-hommes

L'homme infidèle, qui surveille son visage, ne songe pas à surveiller son dos - ce dos soudain redressé, quand il sort... -, et son dos le trahit.

La femme infidèle se surveille même dans le sommeil.

Auteur: Auclair Marcelle

Info: L'Amour

[ volages ] [ couples ] [ différents ] [ adultères ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

femmes-par-femmes

L'idéal féminin est souvent de sortir un crapaud du ruisseau et de le transformer en Prince Charmant. La femme surinvestit tellement la relation amoureuse que l'homme monopolise son attention et devient son vecteur suprême de valorisation. Rien ne la stimule plus qu'une "mission impossible" : fidéliser un volage, convertir un homo, redonner sa vigueur à une branche pourrie...

Auteur: Sandner Catherine

Info: Trouver enfin ! l'homme de sa vie On n'est pas des gourdes

[ obsession ] [ couple ]

 

Commentaires: 0

femmes-hommes

Noircit-elle la réalité masculine en décrivant l'homme et en le percevant plus ingrat, plus mou, moins solide, plus volage qu'il ne l'est en réalité? ...Est-ce elle qui ne sait pas évoluer ou l'homme qui ne sait pas s'adapter à la société moderne, aux changements des femmes?
Cette situation n'est pas un cas particulier. Beaucoup de femmes parlent des hommes en ces termes. Est-ce une illusion ou une réalité? " Il faut être tout pour l'autre, et en même temps on a le sentiment d'être complètement pompé. "

Auteur: Castelain Meunier Christine

Info: L'Amour en moins

[ hommes-par-femmes ] [ nuls ] [ fatigants ]

 

Commentaires: 0

désamour

J’ai cherché dans l’absence un remède à mes maux ;

J’ai fui les lieux charmants qu’embellit l’infidèle,

Caché dans ces forêts dont l’ombre est éternelle,

J’ai trouvé le silence, et jamais le repos.

Par les sombres détours d’une route inconnue

J’arrive sur ces monts qui divisent la nue :

De quel étonnement tous mes sens sont frappés !

Quel calme ! quels objets ! quelle immense étendue !

La mer paraît sans borne à mes regards trompés,

Et dans l’azur des cieux est au loin confondue.

Le zéphyr en ce lieu tempère les chaleurs,

De l’aquilon parfois on y sent les rigueurs,

Et tandis que l’hiver habite ces montagnes,

Plus bas l’été brûlant dessèche les campagnes.



Le volcan dans sa course a dévoré ces champs ;

La pierre calcinée atteste son passage :

L’arbre y croît avec peine, et l’oiseau par ses chants

N’a jamais égayé ce lieu triste et sauvage.

Tout se tait, tout est mort ; mourez, honteux soupirs,

Mourez importuns souvenirs

Qui me retracez l’infidèle ;

Mourez tumultueux désirs ;

Ou soyez volages comme elle.

Ces bois ne peuvent me cacher ;

Ici même, avec tous ses charmes,

L’ingrate encor me vient chercher ;

Et son nom fait couler des larmes

Que le temps aurait dû sécher.

O dieux ! ô rendez-moi ma raison égarée ;

Arrachez de mon cœur cette image adorée ;

Eteignez cet amour qu’elle vient rallumer,

Et qui remplit encor mon âme tout entière,

Ah ! l’on devrait cesser d’aimer

Au moment qu’on cesse de plaire.

Tandis qu’avec mes pleurs la plainte et les regrets

Coulent de mon âme attendrie,

J’avance, et de nouveaux objets

Interrompent ma rêverie.

Je vois naître à mes pieds ces ruisseaux différents

Qui, changés tout à coup en rapides torrents,

Traversent à grand bruit les ravines profondes,

Roulent avec leurs flots le ravage et l’horreur,

Fondent sur le rivage, et vont avec fureur

Dans l’océan troublé précipiter leurs ondes.

Je vois des rocs noircis, font le front orgueilleux

S’élève et va frapper les cieux.

Le temps a gravé sur leurs cimes

L’empreinte de la vétusté.

Mon œil rapidement porté

De torrents en torrents, d’abîmes en abîmes,

S’arrête épouvanté.

O nature ! qu’ici je ressens son empire !

J’aime de ce désert la sauvage âpreté ;

De tes travaux hardis j’aime la majesté ;

Oui, ton horreur me plaît, je frissonne et j’admire.



Dans ce séjour tranquille, aux regards des humains

Que ne puis-je cacher le reste de ma vie !

Que ne puis-je du moins y laisser mes chagrins !

Je venais oublier l’ingrate qui m’oublie,

Et ma bouche indiscrète a prononcé son nom ;

Je l’ai redit cent fois, et l’écho solitaire

De ma voix douloureuse a prolongé le son ;

Ma main l’a gravé sur la pierre ;

Au mien il est entrelacé.

Un jour, le voyageur sous la moussé légère,

De ces noms connus à Cythère

Verra quelque reste effacé.

Soudain il s’écriera : "Son amour fut extrême ;

Il chanta sa maîtresse au fond de ces déserts.

Pleurons sur ses malheurs et relisons les vers

Qu’il soupira dans ce lieu même."

Auteur: Parny Evariste Désiré de Forges vicomte de

Info: J'ai cherché, Élégies

[ imprégnation ] [ mélancolie ] [ poème ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson