Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 15
Temps de recherche: 0.0425s

limitation

Les frontières de "notre univers" ne sont pas les frontières de "l'univers".

Auteur: Laszlo Ervin László

Info: La science et le champ akashique : Une théorie intégrale de tout

[ horizon anthropique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

limitation

La réalité n'existe pas en tant que concept indépendant de son image ou de la théorie qui la représente.

Auteur: Hawking Stephen

Info: Y a-t-il un grand architecte dans l'univers ? Ecrit avec Leonard Mlodinow

[ observateur ] [ horizon anthropique ]

 

Commentaires: 0

sciences

Je suis de plus en plus convaincu que la nécessité de notre géométrie ne peut être démontrée, en tout cas ni pour ni par l'intellect humain.... La géométrie ne devrait pas être rangée avec l'arithmétique, qui sont purement aprioristiques, mais avec la mécanique.

Auteur: Gauss Carl Friedrich

Info: cité J. Koenderink, Solide Shape, Cambridge, MA, 1990

[ mathématiques ] [ anthropique limitation ]

 

Commentaires: 0

niveau vibratoire

En ce qui concerne la matière, nous nous sommes trompés. Ce que nous nommions matière est de l'énergie, dont la vibration a été abaissée au point d'être perceptible par les sens. La matière est l'esprit réduit à la visibilité. Il n'y a pas de matière.

Auteur: Einstein Albert

Info:

[ priméité ] [ réalité consensuelle ] [ holarchie ] [ anthropique limitation ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

intelligence artificielle

La plupart des apprentissages humains et animaux sont des apprentissages non supervisés. Si l'intelligence était un gâteau, l'apprentissage non supervisé serait le gâteau, l'apprentissage supervisé serait le glaçage de ce gâteau et l'apprentissage par renforcement serait la cerise sur le gâteau. Nous savons comment faire le glaçage et la cerise, mais nous ne savons pas comment faire le gâteau. Nous devons résoudre le problème de l'apprentissage non supervisé avant de pouvoir envisager une véritable IA.

Auteur: Le Cun Yann

Info:

[ limitation ] [ hyper-structure anthropique ] [ hors-sol ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

limitation

Les modèles anthropiques avancent que la vie et l'intelligence sont destinées à émerger dans notre univers particulier, et vont du mathématique (le réglage fin apparent des paramètres universels fondamentaux, par exemple, Rees 1999), à l'empirique (la chimie universelle spéciale qui favorise les précurseurs de la biogenèse, par exemple, Henderson 1913, 1917 ; Miller 1953 ; Lazcano 2004), au téléologique (analogies et arguments pour une fonction ou un but systémique de l'intelligence cosmique, par exemple, cet article). Aujourd'hui, comme le reconnaissent même leurs plus fervents praticiens (Barrow et Tipler 1986 ; Krauss et. al. 2008), les modèles d'univers anthropiques procèdent davantage de l'ignorance et de la supposition que de la connaissance.

Auteur: Dick Steven J.

Info: Cosmos & Culture: Cultural Evolution in a Cosmic Context

[ horizon humain ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

métalangage

Lorsque les prémisses de cette nouvelle approche eurent été formulées, je découvris de façon inattendue qu'elles constituaient la négation des vieilles "lois de la pensée" et le fondement d'un système non-aristotélicien. J'ai nommé "Sémantique générale" son modus operandi. Les prémisses en sont très simples et peuvent s'énoncer au moyen d'une analogie :

1. Une carte n'est pas le territoire. (Les mots ne sont pas les choses qu'ils représentent.)

2. Une carte ne couvre pas tout le territoire. (Les mots ne peuvent pas couvrir tout ce qu'ils représentent.)

3. Une carte est auto-réflexive. (Dans le langage nous pouvons parler à propos du langage.)


Auteur: Korzybski Alfred Abdank Skarbeck

Info: Une carte n'est pas le territoire

[ consensus fermé ] [ limitation anthropique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

savoirs

Les "sciences humaines" ne sont des sciences que par une flatteuse imposture. Elles se heurtent à une limite infranchissable, car les réalités qu'elles aspirent à connaître sont du même ordre de complexité que les moyens intellectuels qu'elles mettent en oeuvre. De ce fait, elles sont et seront toujours incapables de maîtriser leur objet.

Jusqu'au XIXe siècle au moins, la chance des sciences "dures" a été que leurs objets furent considérés comme moins complexes que les moyens dont l'esprit dispose pour les étudier. La physique quantique est en train de nous apprendre que cela n'est plus vrai et qu'à cet égard une convergence apparaît entre les différentes sciences (ou prétendues telles). Seulement, même si les réalités dernières du monde physique sont inconnaissables, le physicien parvient à découvrir entre elles des rapports exprimables en termes mathématiques, et dont des expériences lui permettent de démontrer l'exactitude.

Pour nous autres des sciences humaines, ces expériences sont hors de portée. Aussi, quand nous nous efforçons - et c'est le sens de l'entreprise structuraliste - de substituer, à la connaissance illusoire de réalités impénétrables, la connaissance - possible, celle-ci - des relations qui les unissent, nous en sommes réduits aux tentatives maladroites et aux balbutiements. 

Auteur: Lévi-Strauss Claude

Info: Le Monde, 8 octobre 1991.

[ rationalisme miroir ] [ limitation cognitive ] [ solipsisme anthropique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

constantes fondamentales

Les scientifiques se rendent peu à peu compte d'une vérité dérangeante : l'univers ressemble étrangement à un montage. Le problème concerne les lois de la nature elles-mêmes. Depuis 40 ans, les physiciens et les cosmologistes recueillent discrètement des exemples de "coïncidences" trop commodes et de caractéristiques spéciales dans les lois sous-jacentes de l'univers qui semblent nécessaires pour que la vie, et donc les êtres conscients, puissent exister. Si l'on modifiait l'une d'entre elles, les conséquences seraient fatales. Fred Hoyle, l'éminent cosmologiste, a dit un jour que c'était comme si "un super-intellect avait bricolé avec la physique".

Pour comprendre le problème, imaginez que vous jouez à Dieu avec le cosmos. Vous avez devant vous une machine de conception qui vous permet de bricoler avec les bases de la physique. Tournez ce bouton et vous rendrez tous les électrons un peu plus légers, tournez celui-là et vous rendrez la gravité un peu plus forte, et ainsi de suite. Il se trouve qu'il faut régler une trentaine de boutons pour décrire complètement le monde qui nous entoure. Le point crucial est que certains de ces boutons métaphoriques doivent être réglés très précisément, sinon l'univers serait stérile.

Exemple : les neutrons sont à peine plus lourds que les protons. Si c'était l'inverse, les atomes ne pourraient pas exister, car tous les protons de l'univers se seraient désintégrés en neutrons peu après le big bang. Pas de protons, donc pas de noyaux atomiques et pas d'atomes. Pas d'atomes, pas de chimie, pas de vie. Comme la bouillie du bébé ours dans l'histoire de Boucle d'or, l'univers apparait comme tout à fait propice à la vie.

Auteur: Davies Paul Charles William

Info:

[ réglage fin ] [ théisme ] [ sérendipité ] [ Éternel ] [ anthropique limitation ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

musique

La complexe magnificence du contrepoint de Bach, malgré une symétrie parfois trop apparente voire mécanique, m'émeut. Probablement parce qu'il y a ici la perception de notre petitesse, de nos limites au sein de l'extraordinaire intrication des choses de la nature. Et les cathédrales sonores du maître semblent sans frontières, à l'instar du cosmos. En poussant aussi loin l'art de la conjugaison des sons Bach a démontré la puissance et la beauté que peut produire l'intellect humain lorsqu'il fait coïncider passion et discipline de fer, sans crainte ni limitation aucune dans sa quête. Il a créé une sorte de monde intermédiaire, onirique, titanesque diamant scintillant de millions de facettes, facettes aux reflets changeants puisqu'animées par des interprètes de chair. Un monde mathématique soyeux qui préfigure de fait l'espace dodécaphonique qu'apportèrent Schoenberg, Berg et Webern, même si ce système stérile et trop austère est probablement arrivé trop tôt pour des humains pas encore assez éduqués ou raffinés. En captant notre esprit et en le libérant, ce monde intermédiaire de Bach nous fait entrevoir par contraste combien la vie est un combat lourd parce que subordonnée au poids de la chair dans sa lutte souvent trop répétitive et monotone de tous les jours.

Cette élévation spirituelle, en nous présentant quelque chose qui ressemble à l'immuable, révèle simultanément la grandeur de l'homme, et sa petitesse devant l'extraordinaire et raffiné équilibre, sans cesse mouvant, qu'offre la réalité ordonnée par ses sens. L'ordre des hommes est souvent haïssable parce que trop compréhensible. Celui de la nature merveilleux parce qu'infini et au-delà de notre compréhension. L'univers intermédiaire de Bach, développé humblement par un allemand puissant et équilibré qui voulait célébrer la création et surtout le Créateur, nous subjugue, nous bouleverse, et nous aide à vivre.

Auteur: Mg

Info: 22 mai 2016

[ éloge ] [ classique ] [ triade ] [ technique ] [ miroir anthropique ]

 

Commentaires: 0