sens

J'ai une érection de poils.

Auteur: Internet

Info:

[ avoir froid ] [ métaphores-comparaisons-etc ]

terreur

Avoir peur, c'est trembler sans avoir froid.

Auteur: Shi Ji

Info:

dernières paroles

Je tremble de froid, pas de peur. Pourrais-je avoir un café chaud?

Auteur: Soudy André

Info:

[ exécution ]

mourir

Ce n'est pas un coup de froid qui me tuera. C'est d'avoir vécu.

Auteur: Cather Willa

Info:

rapports humains

La sensibilité est comme l'argent : il faut en avoir ou feindre d'en avoir. Celui qui n'a rien ne reçoit rien.

Auteur: Lemesle Charles

Info: Misophilanthropopanutopies ou Tablettes d'un sceptique in L'artiste, 4e série, T.1, p.182

[ calcul ] [ froideur ] [ apparence ]

chair

Voix du corps: ne pas avoir faim, ne pas avoir soif, ne pas avoir froid; celui qui dispose de cela, et a l'espoir d'en disposer à l'avenir, peut lutter pour le bonheur.

Auteur: Epicure

Info:

dernières paroles

Après avoir reçu une bonne dose d'opium de Fanny Randall qui lui dit: - Maintenant vous allez dormir... elle eut cette dernière réplique : - Lourdement et profondément comme une grosse paysanne.

Auteur: Staël Madame de Germaine Necker baronne de Staël-Holstein

Info: Variante : Le jour où vous ne brûlerez plus d'amour, d'autres mourront de froid.

[ drogue ]

survie

Piotr avait un chien pour ne pas être seul, un fusil pour ne pas avoir faim, une hache pour ne pas avoir froid. Ce jour-là, il caressa le premier, graissa le second, aiguisa le troisième. La vie n’est pas compliquée quand on a tiré le rideau de la forêt sur toute ambition.

Auteur: Tesson Sylvain

Info: L'éternel retour

[ triade ] [ concision ]

vieillir

Se retrouver vieux, c'est dormir, avoir faim, se remplir, avoir froid, avoir chaud. C'est tourner en rond sans fin. Rien de neuf dans ce qu'on fait, rien de neuf dans ce qu'on voit. (...)
La vie que nous vivons n'est plus une vie. Mais c'est la vie quand même. Qu'elle ait un sens ou non, il faut la vivre !

Auteur: Laureau-Daull Elisabeth

Info: Le syndrome de glissement

liberté

J’aimais vivre ainsi, me lever après avoir dormi tout mon saoul, n’être attaché qu’au soleil ou au froid, aller au port me promener. J’aimais m’asseoir au soleil et au vent, dans les jardins du quartier avec les vieillards arthritiques, saluer les vendeuses de fèves de la Piazza Vacchero, m’étendre dans l’herbe des collines et parler avec Mario de femmes, d’autrefois et d’après.

Auteur: Arpino Giovanni

Info: Giovanni le bienheureux, P 26

[ flâner ]