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réplique

- Plus long ne veut pas dire meilleur, mon pote. - Dit le crayon à la batte de base-ball.

Auteur: Ward J. R. Jessica Bird

Info: Guide de la Confrérie de la dague noire

[ comparaison ] [ verge ]

 

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racisme

Ce n'est pas moi qui me donne une tête d'arabe, mais ceux qui viennent à moi avec des battes de base-ball.

Auteur: Picouly Daniel

Info:

 

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femmes-par-hommes

Maintenant que les femmes sont jockeys, arbitre de base-ball, scientifiques atomistes, cadres de banque, peut-être qu'elles vont finalement maîtriser le créneau arrière.

Auteur: Vaughan Bill

Info:

[ humour ]

 

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réfléchir

Il faisait tourner cette information dans son cerveau, comme un gamin qui trouve une batte de base-ball et la fait rouler entre ses doigts pour examiner l'usure des coutures.

Auteur: Connelly Michael

Info: La glace noire, p 191

[ gamberger ]

 

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USA

Je pense qu'il y a seulement trois choses que l'Amérique maintiendra pour les 2000 ans à venir quand on étudiera cette civilisation : la constitution, la musique jazz et le base-ball.

Auteur: Early Gerald

Info: baseball documentary

[ triade ]

 

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dernières paroles

Il dit à un visiteur: Ne reviens pas demain. Je ne serai plus là..... Ensuite, il sortit de son lit et commença à parcourir la chambre. Un médecin lui demanda alors ce qu'il faisait et obtint comme réponse: - Je vais au-dessus de la vallée.

Auteur: Ruth George H " Babe "

Info: Grand joueur de base-ball américain. Après cette phrase il revint à son lit, tomba dans le coma et mourut dans l'heure.

[ . ]

 

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drogue

Ce ne sont pas l'héroïne ou la cocaïne qui rendent quelqu'un dépendant, c'est la nécessité d'échapper à une dure réalité. Il y a bien plus de gens dépendants à la télévision, au base-ball et au football, plus de dépendants aux films, et certainement plus d'accros à l'alcool dans ce pays qu'il n'y a gens dépendant des narcotiques.

Auteur: Chisholm Shirley

Info:

[ addiction ]

 

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femmes-par-homme

Même si elle n'avait que la quarantaine bien tassée, tante Joan portait des robes de petite vieille qui pendaient sur son corps grassouillet comme des draps fatigués, et des caoutchoucs par-dessus ses chaussures orthopédiques, même par temps sec. Ses cheveux gris étaient ramenés au sommet de sa tête en un chignon de la taille d'une balle de base-ball, et elle n'avait jamais connu le goût du rouge à lèvres de sa vie. Sharon, elle, savait se radouber, et au fil des ans elle avait appris les secrets du maquillage, et comment camoufler sa grosse carcasse avec des sweat-shirts de couleurs vives. Ce n'était pas si difficile de garder un homme, si on savait s'arranger.

Auteur: Pollock Donald Ray

Info: Knockemstiff

[ habillées ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

obsession

Je me mis en quête de souvenirs agréables. Creuser des citrouilles avec ma mère à la table de la cuisine tandis que les feuilles d'automne tombent paresseusement sur le sol. Descendre en luge une colline escarpée, des flocons de neige atterrissant sur ma langue. Se lancer une balle de base-ball avec mon père, des sourires entendus sur nos visages quand la balle vient frapper le cuir. M'asseoir au bord du lac un après-midi d'été paresseux, à regarder les têtards fuser dans l'eau. Mais ces moments n'avaient jamais existé, et ils furent vite remplacés par une image plus morbide : une femme allongée sur un lit à baldaquin, des vers grouillant dans ses orbites, une croix en bois pendant à l'envers sur le mur. Je fermai les yeux, roulant à l'aveugle.

Auteur: Bassoff Jon

Info: Corrosion

[ cadavre ] [ horreur ]

 

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cosmopolitisme

New York est une vraie ville, pleine de bruits et de couleurs. Avec des odeurs et des musiques. Avec des panamas, des casquettes de base-ball, des chéchias, des turbans, des kippas, des cheveux noirs et blonds, crépus ou lisses, des tresses, des crânes rasés. Avec des accents, des langues diverses. Une vraie ville, de celles qui allument les neurones. Le cosmopolitisme, c'est les vitamines du cerveau. Une ville qui n'est pas cosmopolite est un fruit pourri, rabougri et véreux. Pour voter Front national, il faut détester les villes. Toutes les villes sont Rome, carrefour du monde. Des confins des mondes barbares, on y vient user les épines de sa barbarie contre les épines de la barbarie de l'autre, et c'est de cette poussière des villes que l'on fait le ciment de la civilisation. Toutes les grandes villes sont de terribles maisons de la culture, creusets assiégés, toujours menacés par les habitants des grands espaces qui les entourent, aveuglés, méfiants, apeurés par la vie qu'on y mène, si différente de la leur, toute occupée aux tâches simples et primitives de l'enrichissement, de la procréation et du graissage de carabine. New York est détestée par l'Amérique. C'est une ville de nègres, de Juifs, d'homosexuels, d'avorteurs, de gauchistes, et de musiciens qui commettent le crime de chanter autre chose que Ô Suzanna, j'arrive d'Alabama avec mon banjo sur les genoux.

Auteur: Val Philippe

Info: New York police blues, reportage, Charlie Hebdo, 29 juillet 1998

 

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