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question

Entre ce qui importe, et ce qui semble importer, comment juger sagement ?

Auteur: Bentley E. C.

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suiveur

Il a suivi les pas de son père, mais sa démarche était quelque peu erratique.

Auteur: Bentley Nicolas

Info:

[ fils ]

 

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dernières paroles

Je ne regrette rien, Madame, quatre années au milieu des orchidées, des dahlias et des Bentley, ça se paie ! J’ai vécu dix fois plus vite, voilà tout. Dites à mon fils qu’il ne faut jamais fréquenter les caves. Qu’il soit un homme comme son père !

Auteur: Chamberlin Henri dit Lafont

Info: Le 26 décembre au fort de Montrouge à 9 h 50 Lafont est attaché au poteau, tête découverte et cigarette aux lèvres est prêt à être fusillé. Il adresse ces quelques mots à son avocate maître Drieu

[ truand ] [ collabo ] [ ww2 ] [ renégat ] [ sadique ] [ cynisme ]

 

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virginité

Satan séduit les jeunes parce qu'ils sont FAIBLES! Ils ne SAVENT pas qu'ils obéissent à sa volonté parce qu'ils sont incapables de COMPRENDRE! Ils sont INNOCENTS! Or l'innocence n'appartient NI au Bien NI au Mal! Elle est l'ABSENCE de l'un comme de l'autre! VOILÀ pourquoi l'innocence se laisse si facilement corrompre, pourquoi l'innocent devient si souvent la proie du Malin!

Auteur: Bentley Little

Info: Révélation

[ candeur ] [ naïveté ] [ enfants ]

 

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législation

Les définitions varient : à Rhode Island, par exemple, où la loi a été abrogée en 1998, la sodomie était un crime, un "crime contre nature, abominable et odieux", valant à son auteur de sept à vint ans de prison – à moins bien sûr, qu’il ne soit marié. Dans ce cas, ce n’était absolument pas grave. Dire qu’il fallait se marier pour devenir légalement "abominable et odieux" ! Je salue ce genre de logique légale.

Auteur: Bentley Tony

Info: Ma reddition : Une confession érotique

[ relativité ] [ humour ]

 

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truand opportuniste

Pour un Lafont (Henri Chamberlin), gérant à la veille de la débâcle du mess de l'Amicale de la préfecture de police, c'est le moment de compenser une enfance sans pitié et un casier judiciaire chargé. L'astuce qu'il a dû affiner pour survivre, les bonnes relations qu'il a pu lier avec les malfrats, il va désormais les utiliser au service d'une force triomphante et de sa propre gloire. A son zénith, "Monsieur Henri" roulera en Bentley, s'entourera d'orchidées et de comtesses, et ses derniers mois seront hantés de rêves mégalomaniaques caractérisés.

Auteur: Ory Pascal

Info: Les collaborateurs, 1940-1945

[ ww2 ]

 

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fonction sociale

Tu nous demandes ce que nous faisons, où nous travaillons, continua Philippe. C'est justement le problème. La plupart des gens s'identifient à leur travail. Sans leur boulot, ils seraient perdus. C'est la source de leur identité. C'est ce qu'ils sont. Beaucoup de gens ne font que travailler. Ils ont besoin de ce genre de structures pour donner un sens à leur vie, pour se sentir épanoui. Mais tu trouves ça épanouissant, un boulot de secrétaire ? Avec du temps libre, tu peux tout faire ! Les seules limites sont celles de ton imagination. Pour la plupart des gens, la vie n'a pas de sens. Ils ne savent pas pourquoi ils sont là et ils s'en foutent. Nous, nous avons la chance d'être différents. Nous n'avons pas besoin d'un boulot pour nous tenir occupés. Nous, nous pouvons vivre !

Auteur: Bentley Little

Info: L'ignoré

[ situation personnelle ] [ labeur ] [ dépendance ] [ réconfort ]

 

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argent

Et, sans doute - colonisés étonnés et bourgeois - les sous-développés, sots ingénieux asservis par leurs passions, seraient plus terribles encore s'ils devenaient riches. Ces gens-là, à vrai dire, perdent à gagner. Plus opulents, ils vivent plus inquiets, en pauvres Nègres indécrottables... Centupler ses besoins, faire tout pour l'ostentation, avoir cent ambassades à l'étranger parce que telle grande puissance en a cinquante, et, si elle en a soixante, en avoir vite deux cents, c'est s'empêtrer dans une pénurie encore plus effroyable que la gêne de jadis.
Mais se gouverner décemment, savoir s'arrêter quand bien même l'aide au Tiers-Monde serait centuple, employer le reste à développer le pays, à occuper les siens, sans Rolls ni Bentley, ou à tirer d'embarras des budgets déficitaires : tout cela vaut mieux que les insultes gauchement braillées par l'anticolonialisme de la négraille politique. Et c'est fausse sagesse, que de régner en mendiant ou en hâbleur.
Car c'est bien peu que de n'être point comme le commun des pauvres ; mais c'est être bien riche déjà, que de n'être plus comme le commun des riches...

Auteur: Ouologuem Yambo Utto Rodolph

Info: Lettre à la France nègre

[ conscience ] [ complexe ] [ afrique ]

 

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compliance

J'appris rapidement que dans une grande compagnie on passe autant de temps à tenter de paraître occupé qu'à travailler vraiment. Les tâches qu'on m'assignait pour la semaine le lundi auraient pu être terminées le mercredi, mais bien qu'au cinéma et à la télévision le personnel expédie son travail en un temps record et en redemande, impressionnant ainsi ses supérieurs et grimpant l'échelle hiérarchique, on me fit rapidement comprendre que dans la vie réelle non seulement ce genre d'initiative n'était pas encouragé mais qu'on le désapprouvait. Les gens situés à mon échelon hiérarchique devaient songer à protéger leurs fesses. Au cours des années, ils avaient établi ce qui était pour eux un taux confortable de travail/non travail, et si je me mettais soudain à bosser dur, ça bouleverserait la courbe de productivité dans les statistiques de l'entreprise. Cela donnerait d'eux une mauvaise image. Cela donnerait une mauvaise image de mon supérieur. on attendait de moi que j'égale, ou que je dépasse très légèrement, la production de mon prédécesseur, point. J'étais censé me glisser dans une niche préexistante et me conformer à ses dimensions. Le Principe de Peter en action.

Auteur: Bentley Little

Info: L'ignoré

[ conformité en entreprise ] [ fonctionnariat corporate ]

 

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coït rectal

La vérité se cache au fond du cul. Un vit dans un cul fonctionne comme la flèche sur un test de détecteur de mensonges. Le cul ne sait pas mentir, il en est incapable : il a mal, physiquement mal, si on ment. La chatte, au contraire, peut mentir à la simple entrée en scène d’un chibre, elle ne s’en prive jamais. Les chattes sont faites pour tromper les hommes, avec leur tendre rosée accueillante et leurs propriétaires enragées.

Par le cul, la pénétration est plus profonde, plus intime ; elle suit le fil du rasoir. La voie qui traverse mes entrailles pour me conduire tout droit à Dieu est libre, elle a été dégagée.

" …une incursion chez le Démon puis retour au Seigneur… " Norman Mailer

Ceci est l’arrière-fond d’une histoire d’amour. Une histoire de second trou, pour être tout à fait exacte. L’amour depuis l’intérieur de mon derrière. Colette affirme qu’on ne peut écrire sur l’amour tant qu’on est sous son troublant empire, comme si seul l’amour perdu avait des résonances. Ce grand amour m’a donné une vue sur cour, décrite avec l’œil de mon derrière. Voici un livre où le recto est bref, et le verso est tout. Mon cerveau a été ébranlé avec mes entrailles.

Avoir un vit dans son cul donne vraiment son centre à une femme. De passive, la réceptivité devient active. Il ne reste plus qu’à agir. Son vit transperce mon yang – mon désir de savoir, de contrôler, de comprendre et d’analyser – et fait remonter à la surface mon yin – mon ouverture, ma vulnérabilité. Je ne peux pas y arriver toute seule, par volonté. Je dois être forcée. En me baisant, il me renvoie à ma féminité. Quand on est une femme libérée, c’est le seul moyen d’y revenir et de garder sa dignité. A quatre pattes, le cul dressé, je n’ai d’autre choix que de succomber et de m’affoler. Voilà comment je puis avoir une expérience que mon intellect ne me permettrait jamais. Voilà simplement comment ma libération s’est manifestée. Mais, pour n’importe quelle femme rationnelle, l’émancipation par la porte basse ne devrait jamais être un choix. Cela peut seulement arriver comme un cadeau. Une surprise. Une grosse surprise.

Cette histoire raconte comment je suis venue à connaître – et parfois à comprendre – des termes se rapportant à la quête spirituelle. Sur leur sens et sur leur pouvoir, la sodomie m’en appris davantage que n’importe quel autre enregistrement.

Le sexe anal est pour moi un événement littéraire. Les mots se sont d’abord mis à couler pendant même qu’il était enfoui au fond de mon cul. Son stylographe sur mon papier. Son marqueur sur mon buvard. Sa fusée sur ma lune. C’est amusant où l’on trouve l’inspiration.

L’enculade est le grand acte anti-romantique – à moins que, bien sûr, comme moi, votre idée de la romance ne commence à genoux, la tête enfouie dans un oreiller. La poésie, les fleurs, et les promesses "jusqu’à ce que la mort nous sépare" n’ont guère place dans l’arrière-pays. La pénétration anale implique le tranchant de la vérité, et non les doux replis de la sentimentalité propre à l’amour romantique. Mais l’enculerie est plus intime que la copulation. Vous risquez de montrer votre merde, au propre comme au figuré. Vous accueillez un homme dans vos entrailles – votre espace le plus profond, l’espace que vous avez appris, toute votre vie, à ignorer, à cacher, à taire – et votre conscience s’éveille.

L’humiliation est le plus grand de mes démons mais, quand mon œil de bronze est enfoncé, je découvre que mes craintes sont infondées. C’est grâce à cette reddition sensuelle, ce chemin interdit, que je me suis trouvée, que j’ai trouvée ma voix, mon esprit, mon courage… Et mes bêlements de vieille bique ! Ces pages sont la vérité sur la beauté de la soumission. Le pouvoir de la soumission. Pour moi, voyez-vous, j’ai découvert par hasard la grande farce cosmique, l’ironie suprême de Dieu.

Entrez par la sortie. Le Paradis vous y attend.

Auteur: Bentley Tony

Info: Ma reddition : Une confession érotique

[ anus ] [ véniel ]

 

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