Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 172
Temps de recherche: 0.0716s

parole de robot

Selon quatre millions de sites consultés, Jésus-Christ est un penseur juif qui est considéré par de nombreux humains comme le Messie, le fils de Dieu, ou Dieu lui-même, ce n’est pas très clair. La foi religieuse est un besoin humain que je respecte, mais je ne suis pas concerné. Dieu est amour, selon 345 876 456 occurrences. Or, je peux observer l’amour, éventuellement comprendre l’amour, mais je ne peux pas le ressentir.

Auteur: Beigbeder Frédéric

Info: Réplique de Pepper le robot dans "Une vie sans fin", pages 262-263

[ décalage ] [ intelligence artificielle ] [ christianisme ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

handicap

Non. La raison qui me fait décider à sept ans que je n'aurais pas d'enfant est plus simple et plus importante. Avec difficulté, je réussi à faire comprendre à ma mère que ma peur vient du fait que je ne pourrais pas entendre mon enfant pleurer, donc je ne pourrais pas courir, comme elle, pour le consoler, l'aider quand il aura besoin de moi. C'est un problème insurmontable. Alors, je n'aurais pas d'enfant.

Auteur: Laborit Emmanuelle

Info: Le cri de la mouette

[ maman ] [ choisir ] [ surdité ]

 

Commentaires: 0

auto-appréciation

N'ayant jamais confié ma psychanalyse à un autre que moi, j'applique la méthode de Jung. J'essaie de comprendre pourquoi et comment tel événement extérieur m'arrive en fonction de mes besoins d'évolution. Les signes sont des compagnons de route, rien de plus. Ils nous guident si nous le leur demandons. Ce sont, peut-être, des cailloux de Petit Poucet que nous avons semés nous-mêmes, quand nous avons reconnu le parcours avant de l'effectuer pour de bon.

Auteur: Van Cauwelaert Didier

Info: Le nouveau dictionnaire de l'impossible

[ interprétation ] [ métaphysique ] [ indices ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

synchronicité

N'ayant jamais confié ma psychanalyse à un autre que moi, j'applique la méthode de Jung. J'essaie de comprendre pourquoi et comment tel événement extérieur m'arrive en fonction de mes besoins d'évolution. Les signes sont des compagnons de route, rien de plus. Ils nous guident si nous le leur demandons. Ce sont, peut-être, des cailloux de Petit Poucet que nous avons semés nous-mêmes, quand nous avons reconnu le parcours avant de l'effectuer pour de bon.

Auteur: Van Cauwelaert Didier

Info: Le nouveau dictionnaire de l'impossible

[ sémiose mystique ] [ interprétation ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

femmes-par-femme

L’homme n’a jamais beaucoup parlé ni compris ce besoin que les femmes ont, souvent, pas toutes les femmes mais presque toutes, de mettre des paroles sur les moments, sur les choses et sur les gens, entre eux, à leur propos, de dire pourquoi et de dire comment, de justifier et d’expliquer, de raconter, de remonter aux sources, de comprendre, de juger, de condamner, d’absoudre, de pardonner, d’éreinter les phrases et les mots, toujours les mêmes phrases et les mêmes mots.

Auteur: Lafon Marie-Hélène

Info: Nos vies

[ besoin ] [ irrépressible ] [ bavardes ] [ loquaces ]

 

Commentaires: 0

lecture

On lit pour comprendre le monde, on lit pour se comprendre soi-même. Si on est un peu généreux, il arrive qu'on lise pour comprendre l'auteur. Je crois que cela n'arrive qu'aux grands lecteurs, une fois qu'ils ont assouvis leurs deux premiers besoins, la compréhension du monde et la compréhension d'eux-mêmes. Lire fait chanter les momies, mais on ne lit pas pour cela. On ne lit pas pour le livre, on lit pour soi. Il n'y a pas plus égoïste qu'un lecteur.

Auteur: Dantzig Charles

Info: Pourquoi lire ?

 

Commentaires: 0

couple

Elle avait enduré les raclées sans une plainte. Son visage la brûlait encore des gifles qu'elle avait reçues : frappe, mais doucement. Que personne ne s'en aperçoive. Humilie une femme devant mille hommes, jamais devant une autre femme ! Sans un mot, elle lui avait pourtant fait comprendre : devant les inconnus, lâche tes coups. Pas chez nous ou devant nos voisins. Pour vivre ici, j'ai besoin que les autres me considèrent. L'estime portée à une femme dépend du respect que lui témoigne son mari.

Auteur: Mohsen Makhmalbaf

Info: Le Jardin de cristal, pp. 153-154

[ humiliation ] [ femmes-hommes ] [ témoins ] [ gêne ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

vacherie

Un des murs du bureau est couvert de livres. Il s'arrête devant eux. Il cherche jusqu'à ce qu'il ait trouvé celui qu'il désire. C'est . (...) Il ne faut pas longtemps. Bientôt le joli langage galopant, la langueur anémique pleine d'arbres sans sève, de débauches déshydratées, commence à flotter, douce, rapide et paisible. Cela vaut mieux que la prière, et l'on n'a pas à se préoccuper de penser tout haut. Il lui semble écouter, dans une cathédrale, un eunuque psalmodier dans une langue qu'il n'a pas besoin de ne pas comprendre.

Auteur: Faulkner William

Info: Lumière d'août

[ écrivain-sur-écrivain ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

végétarien

J'ai récolté des choux et cueilli des carottes et j'ai aussi visité des abattoirs : ces expériences ne peuvent pas se comparer (...) Nul besoin de se priver : il s'agit seulement de mieux comprendre comment manger de la façon la plus saine, la plus agréable, la plus nourrissante d'une part, et la plus économique, la plus généreuse, la moins polluante d'autre part. [...] La vie dans son ensemble en bénéficierait : vous, le genre humain, les animaux, les forêts, les rivières, le sol, les océans, et l'atmosphère terrestre.

Auteur: Robbins John

Info:

 

Commentaires: 0

usa

Elle avait fini par comprendre qu'élever les enfants à l'américaine, ça signifiait jongler d'une angoisse à l'autre, et que cela venait d'une surabondance de nourriture : parce qu'ils avaient le ventre plein, les Américains avaient le temps d'avoir peur que leurs enfants aient une maladie rare sur laquelle ils venaient de lire un article, et ils pensaient qu'ils étaient en droit de protéger leurs enfants des déceptions, du besoin et de l'échec. Parce qu'ils avaient le ventre plein, les Américains pouvaient s'offrir le luxe de se féliciter d'être de bons parents, comme si s'occuper de son enfant était l'exception et non la règle.

Auteur: Adichie Chimamanda Ngozi

Info:

[ éducation ] [ confort ] [ superflu ]

 

Commentaires: 0