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remerciements

Tout d’abord, grand merci pour les nombreuses preuves de bienveillance dont j’ai une nouvelle fois bénéficié de votre part. Si je ne savais pas qu’être reconnaissant, c’est aussi, toujours, être en dette, ce qui sépare les gens plus que cela ne les réunit, je me laisserais aller sans retenue à ce sentiment. Je prends donc simplement ce que vous m’offrez, comme un cadeau de ma bonne fortune, et je pense à vos paroles de Berchtesgaden : "L’homme doit aussi savoir accepter des cadeaux." 

Auteur: Ferenczi Sándor

Info: Dans "Correspondance Freud-Ferenczi 1908-1914", trad. par le groupe de traduction du Coq-Héron, composé de Suzanne Achache-Wiznitzer, Judith Dupont, Suzanne Hommel, Christine Knoll-Froissart, Pierre Sabourin, Françoise Samson, Pierre Thèves, Bernard This, Calmann-Lévy, 1992, lettre du 2 janvier 1909

[ extrême reconnaissance ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

exode

Ceux qui quittent leurs villages se retrouvent dispersés dans les grandes villes. Ils n'y sont pas accueillis avec bienveillance, ne communiquent pas avec les autres. Ils mènent une vie humble, ne cultivent aucune relation en dehors de leur travail. Beaucoup de Chinois vivent de cette façon, dans les périphéries des grandes villes. Ils travaillent comme des machines, survivent entassés, sans aucun lien social. Personne ne fait attention à eux. Ils restent invisibles, ignorés, car on considère que leur vie est ordinaire, inintéressante, indigne d'attention.

Auteur: Bing Wang

Info: Alors, la Chine

[ rural ]

 

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censure

Quand on ne peut plus rire d’un malheur, c’est que le totalitarisme émotionnel est en train d’instaurer son régime de mort par le biais de l’exaltation altruiste. Rire des malheurs devient alors un signe d’inhumanité, de barbarie, un outrage à la communauté, un manque choquant de respect pour les souffrances sacrées des individus. La menace qui pèse sur le rire se répercute aussitôt sur les contes et sur les romans ; elle les vise directement en les privant de leur sujet de prédilection : le visible.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Exorcismes spirituels I - Rejet de greffe", page 100

[ bien-pensance ] [ bienveillance ] [ contrôle généralisé ] [ moeurs ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

lire

Absorbés dans la lecture d'un roman, nous sommes plus moraux que lorsque nous agissons en citoyens, en parents, en époux ou en fidèles d'une Église. Tous les événements se déroulant dans le secret de notre âme, nous ne sommes pas menacés par ces êtres verbaux que sont les personnages. Nous les écoutons, souvent, avec plus de tolérance, de curiosité et de bienveillance que les êtres de chair et de sang qui nous entourent -- et non seulement nous leur pardonnons leurs faiblesses, nous leur en savons gré !

Auteur: Huston Nancy

Info: L'espèce fabulatrice

[ sérénité ] [ bonté ] [ contemplation ]

 

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religion

Je ne crois pas à l'enfer, enfin il me semble. Je ne suis même pas sûr que le paradis existe. Mais je crois à la bonté. Je crois que c'est la seule chose qui compte. La seule qui restera de nous après notre départ. (...)
L'église, c'est l'endroit où l'on va, une fois par semaine, pour réfléchir et chercher au plus profond de soi si l'on est bien ce genre de personne qu'on espérait devenir, pour mesurer la distance entre cette personne et celle que l'on est vraiment.

Auteur: Goolrick Robert

Info: Arrive un vagabond p. 149

[ autocritique ] [ bienveillance ]

 

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sagesse

Quand un oiseau est vivant, il mange les fourmis, mais quand il meurt, les fourmis le mangent. Les circonstances peuvent changer à tout moment. Ne méprise personne, ne blesse personne durant ta vie. Tu peux être puissant aujourd’hui, mais rappelle-toi, le temps est plus puissant que toi ! Analyse ce symbole : un arbre peut servir à fabriquer des millions d’allumettes, mais quand vient le temps, une seule allumette est suffisante pour brûler des millions d’arbres. Alors n’oublie pas de faire du bien autour de toi car demain ne t’appartient pas.

Auteur: Dalaï Lama

Info:

[ bienveillance ]

 

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Ajouté à la BD par Neshouma

quête

La foi n'a tout simplement rien à voir avec ce que je fais en tant que scientifique. C'est bien si vous pouvez croire en Dieu, parce qu'alors vous percevez peut-être mieux une finalité dans les choses. Mais même si vous ne croyez pas, ça ne veut pas dire qu'il n'y en a pas. Ca ne veut pas dire qu'il n'y a pas de bonté. Je pense qu'il y a une vertu à la bienveillance en tant que telle. Je pense que l'on peut travailler avec le monde que nous avons.

Auteur: Randall Lisa

Info: "The Discover Interview:  Interview with Corey S. Powell, discovermagazine.com. July 29, 2006

[ froid rationalisme ] [ empathie religieuse ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

éducation

Dans une étude sur les écrans violents, Serge Tisseron avait d'ailleurs montré, au plus grand étonnement des adultes, que des enfants avaient retenu comme violentes des images d'actualité portant sur le bizutage des Marines, pas tant à cause des images elles-mêmes qu'en raison du sourire de la présentatrice qui les annonçait. Ils avaient donc été principalement sensibles au paradoxe entre ce sourire (qu'aucun adulte n'avait repéré) et ce qui arrivait aux Marines, comme un bébé qui se croit regardé avec bienveillance par sa mère alors que le ton de sa voix donne une information contraire.

Auteur: Stora Michael

Info: Guérir par le virtuel : Une nouvelle approche thérapeutique

[ ambiguité ] [ pédagogie ] [ équivoque ] [ télévision ]

 

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femmes-entre-elles

Mme de Genlis écrivait qu'une femme ne devait jamais devenir auteur, au risque de perdre la bienveillance des hommes et de sortir de sa classe sans être admise à la leur. Bien sûr, j'aurais pu prendre un patronyme masculin, comme George Sand ou Daniel Stern, mais je suis trop fière de celui de mon mari pour vouloir le substituer. Et si la haute société se montrera choquée qu’une femme issue de la noblesse puisse s'abaisser à écrire, qu'elle se rassure : je ne suis pas de ces pédantes femmes de lettres dont Delphine de Girardin disait qu'elles mériteraient d'être reliées plutôt qu’habillées.

Auteur: Yvert Sylvie

Info: Au moins le souvenir

 

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Ajouté à la BD par miguel

simplicité

- Je suis vraiment désolée pour cette pauvre fille. Qu'a-t-il bien pu lui arriver ? Toi, comment vas-tu ?

C'était si surprenant d'entendre des mots d'une si normale douceur qu'Andrea se sentit ému. Dans son micro-monde on utilisait les mots comme des pierres taillées à planter dans les vies d'autrui, comme des armes pour alimenter les mauvais sentiments, cultiver les jalousies, révéler les secrets, insinuer, calomnier, effrayer, se moquer, humilier. Et quasiment jamais pour demander, comprendre, consoler. Seule la vieille Margherita, là sur le palier, était encore capable de manier avec aisance cette gentillesse d'un autre âge qui l'avait surpris. Et même un peu consolé.

Auteur: Corrias Pino

Info: Nous dormirons quand nous serons vieux

[ bienveillance naturelle ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste