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prostitution

Un pays sans bordels est comme une maison sans chambre de bain.

Auteur: Dietrich Marlene

Info:

[ thérapie ]

 

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pénitencier

Les prisons sont bâties avec les pierres de la Loi, les bordels avec les briques de la Religion.

Auteur: Blake William

Info:

 

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triade

Quand tu vas dans un endroit dont tu ne sais rien et où tu ne connais personne, tu dois t’intéresser à trois choses : les librairies, les temples et les bordels.

Auteur: Gorodischer Angelica

Info: Trafalgar

[ anthropologie ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

sexe

Au Moyen Age la prostitution est plutôt bien admise.
"Jouir en payant, c'est jouir sans pécher", dit-on alors.
Car les prostituées ont le mérite de protéger les honnêtes femmes des ardeurs brutales de leurs maris.
Et puis, elle est une source de revenus pour les municipalités, les seigneuries et les monastères qui possèdent parfois même des bordels.

Auteur: Brenot Philippe

Info: Sex story, p. 96

[ argent ] [ religion ]

 

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insolite

J'ai raconté que, pendant la Première Guerre mondiale, Hitler avait été estafette, il transportait des messages entre les tranchées allemandes, et il était révolté de voir ses compagnons d'armes fréquenter les bordels français. Pour garder pur le sang aryen, et empêcher les maladies vénériennes, il commande une poupée gonflable que les soldats nazis pourraient emmener à la guerre. Hitler conçut lui-même des poupées avec des cheveux blonds et des gros seins. Le bombardement allié de Dresde détruisit l'usine avant que les poupées soient lancées sur le marché.

Auteur: Palahniuk Chuck

Info: Snuff

[ racisme ] [ puritain ] [ pruderie ]

 

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vivre

Quiconque veut comprendre les êtres humains devra accrocher la toge doctorale, dire adieu aux études et se mettre à marcher au milieu du monde le cœur ouvert. Là, au milieu des horreurs de la prison, de l'asile et de l'hôpital, dans les tavernes, les bordels et les tripots, dans les cercles élégants et à la bourse, dans les assemblées socialistes, dans les églises et dans les réunions de sectes, à travers l'amour et la haine, à travers l'expérience de la passion dans sa propre chair, il trouvera, sous toutes les formes, un capital de savoir beaucoup plus riche que ne pourront jamais lui donner des traités volumineux. C'est alors que, en véritable connaisseur de l'âme humaine, il saura comment guérir le malade.

Auteur: Jung Carl Gustav

Info:

[ expérimenter ] [ rapports humains ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

fonctionnaire

Le passage du bourreau indépendant au bourreau professionnel à plein temps, comme l'évolution de la justice criminelle allemande, se fit sur plusieurs générations et n'était pas encore achevé quand Frantz Schmidt naquit en 1554. Dans certains régions, les officiels continuèrent de payer le bourreau pour chaque exécution jusqu'au dix-huitième siècle. Beaucoup de juridictions plus petites ne pouvaient payer un bourreau à plein temps, et d'autres suivaient la tradition médiévale : confier à un jeune homme de la communauté la tâche odieuse de l'exécution judiciaire ; ce scénario était bien connu de la famille Schmidt. Quelques localités plus isolées continuaient la coutume encore plus ancienne de confier l'administration de la justice finale à un membre de la famille de la victime. Dans la majorité des territoires allemands qui employaient un bourreau salarié au seizième siècle, la poursuite et la punition du crime n'étaient qu'une partie d'un poste qui comprenait aussi d'autres tâches disgracieuses, allant de la supervision des bordels au ramassage des ordures en passant par la crémation des corps des suicidés.

Auteur: Harrington Joel F.

Info: L'honneur du bourreau

[ exécutant ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

anarchie

Contre ces ennemis, même aux bords extrêmes du découragement, nous n’avons jamais été complètement seuls. Tout, dans la société actuelle, se dresse, à chacun de nos pas, pour nous humilier, pour nous faire retourner en arrière. Mais nous ne perdons pas de vue que c’est parce que nous sommes le mal, le mal au sens où l’entendait Engels, parce qu’avec tous nos semblables, nous concourons à la ruine de la bourgeoisie, à la ruine de son bien et de son beau. C’est ce bien, c’est ce beau asservis aux idées de propriété, de famille, de religion, de patrie, que nous combattons ensemble. Les poètes dignes de ce nom refusent, comme les prolétaires, d’être exploités. La poésie véritable est incluse dans tout ce qui ne se conforme pas à cette morale qui, pour maintenir son ordre, son prestige, ne sait construire que des banques, des casernes, des prisons, des églises, des bordels. La poésie véritable est incluse dans tout ce qui affranchit l’homme de ce bien épouvantable qui a le visage de la mort /.../ La solitude des poètes, aujourd’hui, s’efface. Voici qu’ils sont des hommes parmi les hommes, voici qu’ils ont des frères.

Auteur: Eluard Paul

Info: Extrait d'une conférence en 1936

[ fraternité ] [ anti-hiérarchie ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

bordel

Ce qui voulait dire que s'en était fini des dérives dans les nuits fébriles de Bangkok, de toutes ces fois où je rentrais saoul pendu à ton cou, vacillant titubant parmi les lumières de couleur qui font de tout homme un immortel provisoire, de ces nuits où je commençais à m'habituer aux poses provocantes des voyous protecteurs de bars; aux obscénités con-cul-pissantes des filles de bars à gogo, les filles les moins vêtues au monde, qui se contorsionnent lascives au rythme de la musique et qui, parfois, quand elles ôtent sournoisement leur dernière frusque, lèvent haut la jambe pour frapper du pied un mobile fait de coquillages accroché au plafond bas; à la solitude des filles au coeur brisé, qui vernissent de gaieté feinte leur esseulement d'oiseau loin du nid; aux débits de boissons aux serveuses aux seins nus et aux débits de boissons qui ont un miroir pour plancher et des serveuses en minijupe sans sous-vêtement et aux bordels en tout genre qui pullulent, autant d'endroits où la morale est raide morte, mais c'est dans ces putains d'établissements qu'on voyait une barquette d'offrande aux bonzes dont l'arbuste artificiel était fleuri de billets de banque de dénominations diverses que les papillons de la nuit iraient offrir à quelque monastère, celui de leur village natal probablement. Telle était la beauté triste de la vie. Peut-être avait-elle toutes sortes d'autres beautés cachées, mais toutes tristes.

Auteur: Saneh Sangsuk

Info: L'Ombre blanche : Portrait de l'artiste en jeune vaurien, p. 317

[ littérature ]

 

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