Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 12
Temps de recherche: 0.0325s

dernières paroles

Oh merde... Non !

Auteur: Borgia Rodrigo de Borja pape Alexandre VI

Info: Ayant préparé du poison pour quelques convives, il se mélangea les crayons entre les verres et but celui qui contenait le poison.

[ distraction ]

 

Commentaires: 0

pouvoir

La force d'une famille, comme celle d'une armée, réside dans la cohésion et l'unité.

Auteur: Borgia Rodrigo de Borja pape Alexandre VI

Info:

[ renaissance ] [ mafia ] [ cénacle ]

 

Commentaires: 0

dernières paroles

J'ai pris soin de tout au cours de ma vie, sauf de la mort, et me voilà maintenant à y faire face complètement non préparé.

Auteur: Borgia Cesare

Info:

[ . ]

 

Commentaires: 0

Helvétie

Sous les Borgias, l'Italie a été pendant 30 ans en proie à la guerre, à la terreur et aux massacres. Ca a donné Michel-Ange, Léonard de Vinci et la Renaissance. Les Suisses eux, ont connu cinq siècle de démocratie, de paix et de fraternité. Et qu'est ce que ça a donné ? Le coucou !

Auteur: Greene Graham

Info: Le Troisième Homme

[ réplique ] [ film ] [ vacherie ] [ comparaison ]

 

Commentaires: 0

guerre

Le célèbre Montesquieu, qui passait pour humain, a pourtant dit qu'il est juste de porter le fer et la flamme chez ses voisins, dans la crainte qu'ils ne fassent trop bien leurs affaires. Si c'est là l'esprit des lois, c'est celui des lois de Borgia et de Machiavel. Si malheureusement il a dit vrai, il faut écrire contre cette vérité, quoiqu'elle soit prouvée par les faits.

Auteur: Voltaire

Info: Dictionnaire philosophique, Garnier 1967. <p.554>

[ historique ]

 

Commentaires: 0

renaissance

Quelles que soient par ailleurs leurs attitudes face à tel ou tel cercle et académie, leurs préférences personnelles, leur politique et leurs précautions, tous, ou presque, ont, avec des enthousiasmes et des préoccupations propres, oeuvré au développement de grandes réalisations qui font le bonheur des érudits, des savants, hellénistes et hommes d'esprit; ils ont fait de Rome l'un des tout premiers centres de la vie intellectuelle en Europe.

Auteur: Heers Jacques

Info: La Vie quotidienne à la cour pontificale au temps des Borgia et des Médicis, 1420-1520

[ historique ] [ Italie ]

 

Commentaires: 0

opportunisme

Savoir mettre ses voiles dans le sens du vent est une qualité, pour nous autres roturiers. Qu’ils soient nobles comme les Borgia où patriciens comme les Médicis, les puissants restent les puissants ! Il y a ceux qui décident et ceux qui subissent… Nous ne sommes pas du même monde ! Pour qui veut tirer le meilleur parti de cette triste réalité, la loyauté n’a pas sa place !

Auteur: Fuyumi Soryo

Info: Cesare, tome 6

[ réalisme ]

 

Commentaires: 0

société

Quand on pense que notre civilisation occidentale est basée sur des âneries comme celles de Freud sur l'oedipe, (alors que lui-même fut élevé par une nourrice), ou sur des théories répugnantes telles que celles délivrées par un Machiavel inspiré par Rodrigo Borgia... On ne peut s'empêcher de penser avec nostalgie à un type comme Kropotkine, chez qui pouvoir et aisance matérielle personnelle ne constituaient pas les moteurs principaux de la réflexion.
Plus l'abrutissement consumériste gagne, plus les manipulations d'"en-haut" semblent aisées. Qui trouvera un jour des méthodes sociétales "garde-fou" ? Des mécanismes permettant de contrer cette bête immonde qui émerge du "confort insatisfait" pour se développer aux sommets des pouvoirs. En général dans le but d'y rester.

Auteur: Mg

Info: 11 avril 2016

[ régulation ] [ justice ] [ malédiction ]

 

Commentaires: 0

renaissance

Il y avait des plaisirs dont le pape Alexandre VI (Rodrigo Borgia) n'entendait pas se priver, tout pape qu'il était, et cela parce que son tempérament le commandait, parce qu'il était avant tout un corps et après seulement une âme.
Pourvu qu'il exerçât sérieusement, intelligemment, efficacement, les fonctions qui étaient les siennes, maintenant, Alexandre VI estimait que personne n'avait de remarque à faire sur sa vie privée.
Ce qu'on lui demandait, c'était d'être un bon pape, d'augmenter la puissance de l'Eglise, de la protéger contre tous les dangers qui la menaçaient, d'y faire régner la discipline, d'accroître ses biens temporels.
Pour le reste, qu'il eût des maîtresses ou non, cela ne regardait que lui.
(...)
Il est temps maintenant d'établir ses quatre enfants.
L'aîné, César, qui a dix-huit ans au moment où Alexandre VI monte sur le trône de Saint Pierre, est considéré par lui comme le "dauphin". César sera d'"Eglise" et, suivant les ambitions dynastiques de son père, pape après lui, comme celui-ci l'est devenu après la mort de son oncle Calixte III.
Restent à pourvoir deux garçons, Joffre et Juan, et une fille, Lucrèce.
Trois mariages politiques en perspective, donc, qui consolideront la dynastie.

Auteur: Brion Marcel

Info: Les Borgia : Le Pape et le Prince

[ religion ] [ sexe ] [ famille ] [ historique ]

 

Commentaires: 0

christianisme

À la fin de 1510, pour les affaires de l’ordre, F. Martin Luther s’en allait à Rome. Une immense espérance le soulevait. Il allait, pieux pèlerin, vers la cité des pèlerinages insignes, la Rome des Martyrs, centre vivant de la chrétienté, patrie commune des fidèles, auguste résidence du vicaire de Dieu. Ce qu’il voyait ? La Rome des Borgia devenue, depuis peu, la Rome du pape Jules.

Quand, éperdu, fuyant la Babylone maudite, ses courtisanes, ses bravi, ses ruffians, son clergé simoniaque, ses cardinaux sans foi et sans moralité, Luther regagnait ses Allemagnes natales, il emportait au cœur la haine inexpiable de la Grande Prostituée. Les abus, ces abus que la Chrétienté unanime flétrissait, il les avait vus, incarnés, vivre et s’épanouir insolemment sous le beau ciel romain. Il en connaissait la source et l’origine. Au couvent, de 1505 à 1510, il avait pu mesurer la décadence de l’enseignement chrétien. Il avait éprouvé, jusqu’au fond de son âme sensible, la pauvreté desséchante de la doctrine des œuvres. À Rome en 1510, c’était l’affreuse misère morale de l’Église qui lui était apparue dans sa nudité. Virtuellement, la Réforme était faite. Le cloître et Rome avaient rendu, dès 1511, Luther luthérien...

Auteur: Febvre Lucien

Info: Un destin : Martin Luther, PUF, 1968, page 8

[ déception ] [ protestantisme ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson