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humour

Y'a des gens t'as envie de leur donner
Ce qu'ils n'ont pas eu dans leur enfance.
Des claques par exemple.

Auteur: Internet

Info:

[ insulte ] [ contre-pied ] [ empathie ]

 

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relatif

Pour ceux s'installaient dans le sommeil, le vent chuchotait une berceuse. Pour les insomniaques, il éclatait comme des paires de claques.

Auteur: Peyrin Laurence

Info: La drôle de vie de Zelda Zonk

[ bruit ]

 

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détachement

Le zen s'en prend à l'ego, mais au Japon c'est un ego déjà si rabougri que quelques bonnes claques en viennent à bout et, cet ego humble et subalterne une fois porté en terre, adieu l'humilité et l'effacement superflu.

Auteur: Bouvier Nicolas

Info: Le vide et le plein : Carnets du Japon 1964-1970

 

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cols-blancs

Si on proposait aux gens de pouvoir tarter impunément quelqu'un dans leur vie, je parie qu'il y aurait pas mal de banquiers qui s'en prendraient une. Y aurait des assureurs, des députés, peut-être un ou deux chauffeurs de taxi, mais il y aurait surtout des banquiers. C'est pour ça qu'ils embauchent que des têtes à claques pour ces jobs, ça doit être un prérequis.

Auteur: Schwartzmann Jacky

Info: Demain c'est loin

[ détestation ] [ dénigrement ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

maman-enfant

Elle continue à me regarder droit dans les yeux et entame la liste de toutes les choses qu’elle regrette d’avoir faites et me demande pardon pour les coups, les claques, la violence chronique, l’instabilité émotionnelle, l’insécurité, le poids qu’elle a fait peser sur moi, sur nous, le regret infini qu’elle a de ne pas avoir pris les choses en main plus tôt, et la souffrance que c’est encore, pour elle, tous les jours, d’avoir été la mère qu’elle a été. 

Auteur: Rodier Nicolas

Info: Sale bourge pp 203-204

[ remords ] [ mère indigne ] [ autocritique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

question

- D'abord, qu'est-ce que c'est t'y que ça, des couilles molles ? fit Tintin.
La Crique réfléchissait.
- Couille molle !... Des couilles, on sait bien ce que c'est, pardine, puisque tout le monde en a, même le Miraut de Lisée, et qu'elle ressemblent à des marrons sans bogue, mais couille molle !... couille molle !...
- Sûrement que ça veut dire qu'on est des pas grand-chose, coupa Tigibus, puisque hier soir, en rigolant avec Narcisse, not'meunier, je l'ai appelé couille molle comme ça, pour voir, et mon père, que j'avais pas vu et qui passait justement, sans rien me dire, m'a foutu aussitôt une bonne paire de claques. Alors...

Auteur: Pergaud Louis

Info: La Guerre des boutons

[ enfance ] [ verge ]

 

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éducation

L’expression de l’affection entre hommes relevait du snobisme ou de la pédérastie, et seules étaient permises les claques dans le dos, comme la plus grande marque de tendresse. Ma grand-mère Eva disait qu’il était " complètement impossible d’élever les enfants sans la férule et sans le Diable ", et ainsi le faisait-elle savoir à ma mère, qui n’usait ni de l’une ni de l’autre. Mon grand-père disait parfois à mon propos : " Cet enfant, il faut l’élever à la dure. " Mais mon père lui répondait : " La vie est là pour ça, qui cogne durement sur tous ; pour souffrir, la vie est plus que suffisante, et je ne l’aiderai pas. "

Auteur: Faciolince Héctor Abad

Info: L'oubli que nous serons

[ hommes-entre-eux ] [ machisme ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

apparences

Lichtenberg, qui caractérise ainsi l'observation physiognomique, dit encore : "Si quelqu'un disait à un autre : -Tu agis certes comme un homme honnête, mais je vois à ta figure que tu te forces, et que dans ton coeur tu es un gredin ; pour sûr, le brave garçon qui entendrait ce genre d'apostrophe, y répliquerait, et ceci d'un bout à l'autre de la terre, par une bonne paire de claques." - Si cette réplique "touche juste", c'est parce qu'elle est la réfutation du premier présupposé d'une science du point de vue intime de ce genre, savoir, que "la réalité effective" de l'homme, c'est son visage, etc.
- L'"être vrai" de l'homme est bien plutôt son acte.

Auteur: Hegel Georg Wilhelm

Info: In "Phénoménologie de l'esprit", éd. Flammarion, p. 274

[ citation ] [ dualité ] [ philosophie ] [ démonstration ]

 

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Ajouté à la BD par Benslama

décors

Les studios de Beaulieu avaient grandi dans les ruines d'un casino désaffecté. Au bord de la mer et derrière la voie ferrée et ses agaves, les hangars grignotaient peu à peu les terrains horticoles, et une cité champignon, en contreplaqué et tôle ondulée, surgissait entre les lignes bleues et pures d'un paysage grec, parmi les troncs, au tourment centenaire, d'oliviers delphiques. C'est là que Kron, la chanson de Roland en main, tournait les dernières scènes de France-la-doulce, les nécessités techniques l'ayant obligé à commencer le film par la fin. Dans le hangar n°4 étaient disposés les appartements de la belle Aude; dans le hangar n°8, le palais de Charlemagne ; à grands coups de marteau, des ouvriers s'apprêtaient à monter en plein air la piscine de l'émir de Babylone ; ce rêve fragile de Schéhérazade était fait de claires de bambous, sur lesquelles des Italiens vaporisaient au pistolet du plâtre liquide. Tout à côté, on pouvait apercevoir un porche d'hôtel Louis XV, du Marais, trois colonnes du Parthénon, une mosquée Sénégalaise, un palais palladien et un petit café de la place du Tertre, privé de toits, comme une ville bombardée. Ces édifices, restes d'anciennes productions, grillaient au soleil et se détérioraient sous les claques du mistral. Par-dessus les perspectives en trompe-l'œil, les réflecteurs, comme six gros yeux vitreux, s'essayaient à faire concurrence au soleil.

Auteur: Morand Paul

Info: France la doulce (1934, 224 p., Gallimard/pléiade)

[ cinéma ] [ architecture ]

 
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guerre

A mesure qu'augmentaient les détonations des obus et les déflagrations des fusées, ils rentraient la tête dans les épaules, psalmodiant et implorant la grâce du ciel. Puis ils distribuaient quelques claques aux enfants qui reprenaient leurs jeux dès qu'une plage de silence si brève fût-elle, parvenait à s'installer entre deux embrasements. Le sentiment d'écrasement, face à la menace extérieur, se retournait contre les enfants. Les parents ne supportaient plus leur neutralité, leurs cabrioles primesautières en marge de la peur omniprésente, leur indifférence à la toute-puissance de la mort. Les enfants ignorent tout ce qui n'est pas la vie et sa célébration. Entre deux diarrhées provoquées par la peur, il leur suffisait de croiser le regard d'autres enfants pour que s'établisse une sorte de fête que rien ne pouvait empêcher. Ils s'agrippaient un instant à leur mère, et, aussitôt la liste de leurs réclamations se dévidait, il leur fallait constamment manger ou boire quelque chose. A croire qu'ils le faisaient exprès pour éviter à leurs parents de se dissoudre dans la peur. Ils les interpellaient pour leur redonner une apparence sécurisante et les protéger de la démence vers la quelle dérapait, brusquement, le regard des adultes. Pour ramener leur mère à celle qui, à la maison, leur servait à manger et les enveloppait de son regard souriant en les mettant au lit. Pour détourner leur père de ses sorties nocturnes et lui défendre de rejoindre les autres hommes.

Auteur: Barakat Hudá

Info: La pierre du rire

[ familles ] [ équilibre ]

 

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