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vocabulaire
Novlangue de l'Education Nationale Française
élève : apprenant
parent : géniteur d'apprenant
enseignant : inducteur de méta cognition
écriture : motricité de proximité
bras : segment manipulateur antérieur
cour de récréation : espace intersticiel de liberté
mauvais élève : inappétant scolaire
ballon : référentiel bondissant
ballon de rugby : référentiel bondissant aléatoire
natation : mesures de performances réalisées en environnement instable
fainéant : qui manifeste un léger déficit de motivation induisant une phase de repos intellectuel qui n'est probablement que temporaire
paresseux : ne présente aucune appétence génétique manifeste pour le travail scolaire
feignant : se montre réfractaire à toute dépense d'énergie intempestive
fait des bêtises : manque de maturité qui implique des comportements déviants peu propices à maintenir son attention et son sérieux
fait le clown : a un sens inné de la plaisanterie qui le conduit à distraire ses camarades et à animer le cours sans se soucier de l'ordre établi.
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
[
absurde
]
[
humour
]
[
administration
]
[
politiquement correct
]
femmes-hommes
Tout en n'aimant pas les femmes, car il n'en aime aucune, Maupassant les aime cependant par-dessus tout. Il les traite de "rosses inconscientes" de "merveilles de chair ronde et douce qu'habite l'infamie" ; il confond la "femellerie" avec la féminité, mais il écrit au même instant : "Il suffit d'une jolie femme, voyez-vous, pour électriser les Français." "Si une jolie femme m'ordonnait de passer par le trou d'une aiguille, je crois que j'y sauterais comme un clown dans un cerceau. Je mourrai ainsi, c'est dans le sang. Je suis un vieux galantin, moi, un vieux de la vieille école ! La vue d'une jolie femme me remue jusque dans mes bottes" (Les idées du Colonel). (Et ne doutons pas que ce soient les idées de Maupassant.) Il se donne infiniment de peine pour l'Eternel Féminin. Il croit au sourire de la Joconde.
"La vraie femme que j'aime c'est l'Inconnue, l'Espérée, la Désirée ..."
Auteur:
Morand Paul
Années: 1888 - 1976
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Vie de guy de Maupassant
[
femmes-par-hommes
]
[
littérature
]
[
obsédé
]
cirque
Être en apesanteur dans la pesanteur, je peux.
Je peux. Je vole.
Je ne peux pas léviter. Je peux.
Je peux léviter peu de temps.
Ce calembour, je ne peux pas l'éviter.
Me pendre à une corde par le cou et rester comme ça, sans y rester, je ne peux pas.
Je veux faire des phrases qui se contorsionnent et qui tordent la logique.
Des phrases de Gugusse, des phrases de clown blanc.
Ceux qui me regardent ne peuvent pas tout cela que je peux, même en amateurs volontaires.
Je ne peux pas pincer mon nez avec mon cul. Je peux.
Bondir comme un pneu, je peux mon n'veu.
Je suis sur la plante de mes pieds qui sont sur la selle qui est sur le cheval au galop sur la piste. Je tiens, je le veux.
Plus vite ! Je peux.
Mon corps est malléable, très.
Je ne peux pas marcher sur le fil tendu de mes boyaux. Je ne peux pas. Je ne suis pas sûr de le vouloir.
Auteur:
Jouet Jacques
Années: 1947
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
"Pensées du cirque", in "Sac à dos, une anthologie de poésie contemporaine pour lecteurs en herbe", éd. Le Mot et le Reste, p. 152-153
[
expériences de pensée
]
[
imagination
]
[
potentialités
]
décadence
Les Pringsheim et leurs affidés symbolisaient tout ce qu'il avait en horreur. Ils étaient frelatés, superficiels, prétentieux : une bande de clowns dont les excentricités, contrairement aux siennes, n'avaient même pas l'excuse de la naïveté. Ils faisaient non seulement semblant de s'amuser. Ils riaient pour s'entendre rire et faisaient étalage d'un appétit sexuel qui n'avait rien à voir avec un sentiment ou un instinct quelconque et n'était que le fruit sec de leur imagination rabougrie. Copulo ergo sum. Et la Sally Salope qui s'était foutu de lui parce qu'il n'avait pas le courage de ses instincts. Comme si l'instinct consistait à éjaculer dans le corps chimiquement stérilisé d'une femme qu'il avait rencontrée vingt minutes auparavant. Wilt avait réagi tout à fait instinctivement en fuyant devant cette concupiscence faite de goût du pouvoir, d'arrogance et d'un insupportable mépris qui présupposait que ce qu'il était, ce peu de chose qu'il était, ne représentait qu'une extension de son pénis, et que l'expression ultime de ses pensées, de ses sentiments, de ses espoirs et de ses ambitions ne pouvait être atteinte qu'entre les cuisses d'une pute à la mode. Et c'était ça la libération ?
Auteur:
Sharpe Tom
Années: 1928 - 2013
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain satirique
Continent – Pays: Europe - Angleterre
Info:
Wilt, Tome 1 : Comment se sortir d'une poupée gonflable et de beaucoup d'autres ennuis encore
[
sexe
]
[
obsédé
]
autocritique
Quand je considère ce que je suis, ce que j'ai toujours été, je trouve ceci, que j'écris sans ostentation, comme pour moi seul uniquement : je n'ai jamais eu aucune ambition, je n'ai jamais rien désiré, je ne me suis jamais cru aucun talent, les compliments me font rire, je ne me suis jamais déplacé sans, aussitôt arrivé, me demander ce que j'étais venu faire là, je ne me suis jamais rien acheté sans, aussitôt, le voyant chez moi, me demander pourquoi je m'en étais embarrassé, où que je sois allé, j'ai toujours trouvé que tout se ressemble, je n'ai jamais rien connu, goûté, senti, entendu d'agréable complètement, jamais rien ne m'a enlevé au-dessus du train-train des jours toujours pareils. Je le dis souvent : "On viendrait me dire demain voici cinquante mille francs que nous voulons dépenser pour vous. Quoi vous ferait plaisir ? Que désirez-vous ?" Je répondrais: "Rien." Pourtant, l'homme le plus gai, le plus amusant avec les gens, plein d'entrain, de traits, de boutades, de moqueries, de franchises malicieuses, la physionomie aussi vive que les paroles. Nature humaine ? Auteur gai, homme triste. Acteur comique, homme triste. Clown bouffon, homme triste. Homme d'esprit homme triste.
Auteur:
Léautaud Paul
Années: 1872 - 1956
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Journal 1937, Lundi 25 Janvier
[
littérature
]
prudence
A la sérénité du Bouddha l’agitation du monde paraît ridicule, car lui-même n’a plus rien à voir avec cela. Au cynique les sentiments du prochain paraissent ridicules parce que lui-même n’a plus de sentiments. A celui qui ne joue pas au football il paraît ridicule de courir pendant des heures après un petit ballon de cuir ; il ne se demande pas si ce jeu ne serait pas follement amusant, il ne voit que le côté ridicule de ces hommes adultes qui jouent comme de petits garçons. Sans doute celui qui fait quelque chose se rend-il toujours ridicule aux yeux de celui qui ne fait rien. Celui qui agit peut toujours prêter le flanc ; celui qui n’agit pas ne prend même pas ce risque. On pourrait dire que ce qui est vivant est toujours ridicule car seul ce qui est mort ne l’est pas du tout. […] Comme nous ne nous rendions jamais ridicules, nous étions tributaires des autres qui le faisaient à notre place et nous divertissaient de cette manière. Voilà pourquoi nous trouvions les clowns si sympathiques, les autres nous faisaient rire, ce dont nous étions par nous-mêmes incapables. Il va sans dire que nous n’étions pas en peine de trouver des ridicules dans notre entourage car plus on est soi-même un magasin de porcelaine, plus n’importe qui, venu de l’extérieur, y prend pour vous l’aspect d’un éléphant.
Auteur:
Zorn Fritz Angst
Années: 1944 - 1976
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - Suisse
Info:
Mars
[
tiédeur
]
[
inaction
]
flatterie
Sterne, dans son Voyage sentimental, raconte qu'il voulut, une soirée, essayer jusqu'où on pouvait louer quelqu'un sans cesser de lui plaire. Il fit l'épreuve sur trois personnes qui n'étaient pas sans mérite ; il commença par les écouter, ce qui est une flatterie très agréable ; ensuite il en redemanda ; et enfin il les reconnus supérieurs comme ils voulaient l'être, sans restriction, disant par exemple au diplomate : "J'ai entendu souvent parler de politique extérieure ; mais je ne soupçonnais même pas cette solidité de doctrine, cette profondeur de vues, cette connaissance des hommes que vous venez de me montrer." Naturellement ces éloges furent savourés ; il essaya de les forcer ; mais plus il exagérait, plus l'autre y trouvait de plaisir. Le flatteur reçut en échange quelques compliments qu'il n'attendait point, qu'il s'efforça de mépriser, mais qui trouvèrent tout de même asile au plus profond de son coeur. Bref, pour avoir été trois fois flatteur dans cette soirée, et impudemment flatteur, il se fit trois amis, trois vrais et fidèles amis, qui ne l'oublièrent jamais et lui rendirent mille services sans qu'il le demandât. Voilà de ces terribles histoires, dont le sel est bien anglais ; cette froide plaisanterie glace comme une douche, et laisse une trace brûlante. Leurs clowns grands et petits sont comme leurs épices ; quand on en a goûté, tout le reste paraît fade.
Auteur:
Alain
Années: 1907 - 1994
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: indianiste et musicologue
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Propos I, la Pléiade, nrf Gallimard 1956<15 novembre 1907 p.23>
[
malentendu
]
mythologie comparée
L’interprétation de Gilgamesh et d’Eabani (Enkidu) comme homme et sensualité grossière est indiscutée, on est pourtant frappé de ce que la constitution d’un tel couple, formé d’un élément plus distingué et d’un élément plus commun (le plus souvent des frères), est un motif constant de l’histoire des légendes et de la littérature. Le dernier grand rejeton de ce type est Don Quichotte avec Sancho Pança (littéralement : panse). Parmi les formations mythologiques, il faut classer ici d’un premier jet les Dioscures (l’un mortel, l’autre immortel), et tant de couples de frères ou de jumeaux, dont le modèle peut être Romulus et Rémus. Toujours l’un est plus faible et meurt plus tôt que l’autre. Ce si vieux motif du couple inégal de frères a donc servi dans le Gilgamesh à représenter la relation d’un homme à sa libido.
Ces vieux motifs sont constamment réinterprétés […] ; mais d’où proviennent-ils originairement ?
Pour le motif en question, ce n’est pas difficile à dire. Le frère jumeau plus faible, qui meurt plus tôt, est le placenta ; simplement du fait qu’il est régulièrement mis au monde par la même mère en même temps que l’enfant. […] Dans Frazer (Golden Bough, vol. 1) on peut lire chez combien de peuples primitifs le placenta est appelé aujourd’hui encore le frère (sœur) ou le jumeau, est traité en conséquence, nourri et conservé, ce qui ne dure naturellement pas longtemps.
Auteur:
Freud Sigmund
Années: 1856 - 1939
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - Autriche
Info:
Dans la "Correspondance Jung-Freud, tome 2 : 1910-1914", trad. de l'allemand et de l'anglais par Ruth Fivaz-Silbermann, éd. Gallimard, 1975, lettre du 13 octobre 1911
[
psychanalyse
]
[
tandems légendaires
]
[
L'auguste et le clown
]
[
paires proverbiales
]
hard rock
La musique Metal s’instaure en conjuratrice de la violence plutôt qu’elle ne s’en fait la prescriptrice, et possède vis-à-vis de celle-ci les mêmes vertus cathartiques que les tragédies grecques antiques vis-à-vis de la pitié et de la crainte. Loin de mettre en scène complaisamment une situation humaine qui tourne mal, la tragédie explorée par les grecs faisait œuvre de mimêsis et de thérapie pour le spectateur. Soigner le mal par le mal, combattre le feu par le feu, plonger dans l’obscur pour y déloger de façon paradoxale une lueur libératrice qu’aucun autre genre musical ne saurait produire… tel est l’esprit de la musique Metal.
S’il fallait comparer le mauvais procès fait au Metal à d’autres réquisitoires, on penserait aux rituels des morts présents dans nombre de cultures du globe avant qu’ils ne furent étouffés par l’acculturation initiée par les monothéismes et leur propension à uniformiser les sensibilités, les mœurs, les canons et les formes. Les fêtes des morts ne tirent pourtant par leur source d’une fascination pour le néant mais plutôt d’un besoin de commémoration pour les âmes des défunts.
Nous pourrions également comparer ce procès au refus des mystères de l’ombre de notre modèle actuel de civilisation basé sur l’évidence des Lumières, qui a pourtant produit ses propres dérives : principe de précaution poussé jusqu’à bannir toute forme de risque alors que vivre, c’est parfois risquer ; impératif de transparence contre-productif et générateur de malaise ; hygiénisme incitant chacun à mener une existence aseptisée sans couleur ni saveur ; expurgation de tout excès lié à la fête par nature ambivalente et dionysiaque ; négation des forces liant l’homme à la nature. Comment s’étonner dès lors de la recrudescence des extrémismes et des pratiques extrêmes en tout genre faisant office de chambres de compensation pour les névroses se développant à l’ombre d’un vitalisme étouffé ?
Le Metal, assigné au rôle de mauvais clown par la scène musicale officielle, n’en finit pourtant pas de remporter succès après succès auprès d’un public invisible mais fidèle et nombreux, comme un hommage du fatum à la morale toute faite, comme un rappel des profondeurs à l’aplat de la raison, comme la rançon due par la pensée à ce qui demeure impensé.
Auteur:
Fuchs Sylvain
Années: 19?? -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: ingénieur
Continent – Pays: Europe - France
Info:
https://mimesis-sfuchs.com/2019/01/03/le-metal-explique-aux-profanes/
[
engouement
]
[
préjugés
]
[
défouloir
]
littérature prolétaire
tous ceux-là,
ventres mous des lettres
enseignant l’anglais à l’université
qui écrivent
de la poésie
sans jambes
sans tête
sans nombril
qui savent où postuler pour obtenir des
bourses
encore des bourses et
toujours plus de bourses
auxquels on doit toujours plus
de poésie
sans mains
sans cheveux
sans yeux
tous ceux-là,
ventres mous des lettres
ont trouvé une bonne planque
parvenant même à ce que des femmes
s’attachent à leurs âmes
d’andouilles
ceux-là,
font des voyages tous frais payés
dans les îles
en Europe
à Paris
le monde entier
dans le but
soit-disant
de rassembler
du matériau
(Mexico, ils s’y rendent juste à titre privé)
pendant que les prisons débordent
d’innocents égarés
pendant que les gros bras descendent
à la mine
pendant que les fils de pauvres
se font virer de boulots
ceux-là
ne se saliront ni les mains ni
leurs âmes
ceux-là,
ventres mous des lettres
intègrent des universités
se lisent leurs poèmes
entre eux
infligent leurs poèmes à
leurs étudiants
ceux-là
prétendent que la sagesse et
l’immortalité
contrôlent les rotatives
gras du bide
tandis qu’en prison se forment les rangs pour des moitiés de repas
pendant que 34 armoires à glace sont coincés dans une mine
ceux-là
embarquent sur un bateau pour une île de la mer du sud
afin d’assembler une anthologie
de petits poèmes
entre amis
et/ou
se pointent à des manifestations contre la guerre
sans même savoir
de quelle guerre
il s’agit
ventres mous des lettres
ils dressent une cartographie de notre
culture –
une division de zéro,
une multiplication de
grâce
dépourvue de sens
"Robert Hunkerford enseigne l’anglais à
S.U. Marié. 2 enfants, un chien.
il s’agit de son premier recueil de
vers. Il travaille actuellement à la
traduction des poèmes de
Vallejo. M. Hunkerford a été récompensé
l’année dernière par un prix Sol Stein."
ceux-là,
ventres mous des lettres
enseignant l’anglais à l’université
qui écrivent
de la poésie
sans cou
sans mains
sans couilles
voilà la manière, la méthode
et la raison pour laquelle les gens
ne comprennent pas
les rues
les vers
la guerre
ou
leurs mains sur la
table
notre culture se cache dans les rêves à dentelles de
nos classes d’anglais
dans les robes à dentelles de nos classes
d’anglais
Ce qu'il nous faut c'est
des cours de langue américaine
et des poètes sortis tout droit
des mines
des docks
des usines
des hôpitaux
des prisons
des bars
des bateaux
et des aciéries
des poètes américains,
déserteurs des armées
échappés des asiles de fous
déserteurs de femmes et de vies étouffantes ;
des poètes américains :
marchands de glace, commerciaux en cravate, distributeurs de journaux, manutentionnaires, chauffeurs-livreurs, maquereaux, liftiers, plombiers, dentistes, clowns, promeneurs de chevaux, meurtriers (on a entendu parler des victimes), barbiers, mécaniciens, garçons de café, groom, passeurs de drogue, boxeurs, barmen, des autres, des autres,
des autres
Tant que ceux-là n'arriveront pas
notre pays restera
mort en honteux.
Auteur:
Bukowski Charles
Années: 1920 - 1994
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
Dans "Tempête pour les morts et les vivants", au diable vauvert, trad. Romain Monnery, 2019, "ventres mous des lettres"
[
entre-soi
]
[
dévitalisation
]
[
excès de confort
]