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prévoir

Trouve un chemin pour t'enfuir avant de provoquer le cobra.

Auteur: Proverbe africain du Ghana

Info: dicton akan, réfléchis aux conséquences de tes actes

 

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enseignement

Un bon maître est celui qui ne guide pas comme on conduit un aveugle, mais celui qui vous aide à guérir de la cécité.

Auteur: Ygrec

Info: Kumpiy le Livre Sacre, l'oeil et le Cobra

[ pédagogie ] [ indépendance ]

 

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graphisme

Lettres souples et tout en courbes autour desquelles se tortillent vipères et cobras, sous l'oeil d'une salamandre tapie dans un coin. Deux serpents s'enroulent nonchalamment autour du S et du T majuscules.

Auteur: Fazi Mélanie

Info: Serpentine

[ héraldique ]

 

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reproduction

- Cobra ! Sans arbre de vie, comment allons-nous faire pour avoir des enfants ?
- Vous les ferez comme au bon vieux temps. Je peux te donner des leçons particulières, si tu le désires...

Auteur: Terasawa Buichi

Info: Cobra Space Adventure, Tome 19

[ humour ] [ opportunité ]

 

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homme-animal

Un serpent susceptible de vous nuire, vous n'avez pas vraiment le choix s'il faut le tuer. On ne peut pas laisser un cobra dans son tiroir à chaussettes. Mais un serpent qui n'est pas une menace en dira beaucoup sur l'homme qui décide de le tuer quand même.

Auteur: McDaniel Tiffany

Info: The Summer that Melted Everything

[ révélateur ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

corvidé

Les plumes du corbeau glissent les unes sur les autres comme des écailles d’acier au carbone quand il se déplace sur son perchoir, et il y a quelque chose d’ophidien* dans sa manière de fixer le nouvel arrivant de son regard furieux, tel un cobra ou une murène hypnotisant sa proie.

Auteur: Gilmour Charlie

Info: Premières plumes *relatif au serpents

 

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Ajouté à la BD par miguel

animal domestique

Mes seuls compagnons étaient mon chien et ma mangouste. Celle-ci, depuis sa sortie de la forêt, grandissait à mon côté, dormait dans mon lit et mangeait à ma table. Nul ne peut imaginer la tendresse d'une mangouste. Mon tout petit animal connaissait chaque minute de mon existence, se promenait dans mes papiers et courait derrière moi toute la journée. Il se lovait entre mon épaule et ma tête à l'heure de la sieste et dormait là, de ce sommeil agité et électrique des animaux sauvages.
Ma mangouste apprivoisée devint célèbre dans le quartier. Les batailles continuelles qu'elles soutiennent courageusement contre les cobras redoutables donnent aux mangoustes un prestige presque mythologique.

Auteur: Neruda Pablo

Info: La solitude lumineuse

[ Asie ]

 

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femmes-par-hommes

Quand le paysan de l’Himalaya croise un ours mâle plein de vigueur,
Il crie pour effrayer ce monstre, qui souvent alors se détourne de lui.
Mais lors d’une semblable rencontre une femelle le lacère avec acharnement,
Car la femelle de l’espèce est plus meurtrière que le mâle.
Quand Naga le cobra se dore au soleil et entend un pas insouciant,
Il lui arrive de se tortiller pour se mettre à l’écart et si possible l’éviter.
Mais sa compagne qui campe près du sentier ne se déplacerait pas,
Car la femelle de l’espèce est plus meurtrière que le mâle.
Quand les premiers pères jésuites prêchaient les Hurons et les Choctaws
Ils priaient pour échapper à la vengeance des squaws.
C’était les femmes, non les guerriers, qui faisaient pâlir ces zélateurs,
Car la femelle de l’espèce est plus meurtrière que le mâle.
Le cœur craintif de l’homme déborde de choses qu’il ne doit pas dire,
Car Dieu ne lui a pas donné une femme pour qu’il la dénonce ;
Mais quand le chasseur rencontre le mari, chacun confirme les dires de l’autre :
La femelle de l’espèce est plus meurtrière que le mâle.
L’homme, qui se comporte souvent en ours, ou alors en ver ou en sauvage,
L’homme propose des négociations, l’homme accepte les compromis.
Il est très rare qu’il pousse carrément la logique d’une situation
Jusqu’à sa conséquence ultime par une action extrême.
La peur ou la bêtise, l’incite, avant d’abattre les malfaisants,
A accorder quelque forme de procès même à son plus féroce ennemi.
Une gaieté obscène détourne sa colère – le doute et la pitié le rendent souvent perplexe
Quand il règle un problème – au grand scandale des personnes du sexe !
Mais cette femme que Dieu lui a donnée, chaque fibre de son corps
Prouve qu’elle est conçue dans un seul but, armée et équipée de même ;
Et pour atteindre ce but, de peur que les générations ne viennent à manquer,
La femelle de l’espèce doit être plus meurtrière que le mâle.
Elle qui affronte la mort dans la torture avec chaque vie en son sein
Ne peut se permettre le doute ou la pitié – et ne doit pas se laisser dévier par un fait ou une plaisanterie.
Ce sont des diversions purement masculines – là n’est pas son honneur.
Elle, cette autre loi sous laquelle nous vivons, est cette loi et rien d’autre.
Elle ne peut apporter plus à la vie que ses pouvoirs d’exception
En tant que mère du nourrisson et maîtresse du conjoint.
Et quand le bébé et l’homme font défaut et qu’elle défile, sans attache, s’attachant à revendiquer
Les droits de l’épouse (et de l’époux), ses armes sont les mêmes.
Elle a épousé des convictions – à défaut de liens plus grossiers ;
Ses opinions sont comme ses enfants, que Dieu aide celui qui les conteste !
Il provoquerait alors non pas un débat courtois mais le réveil furieux de la femelle de l’espèce,
Instantanément chauffée à blanc, guerroyant comme pour défendre son époux et son enfant.
Des attaques terribles, sans avoir été provoquée – ainsi se bat l’ourse,
Des paroles qui dégoulinent, rongent, empoisonnent – ainsi mord le cobra,
Une vivisection scientifique d’un nerf jusqu’à ce qu’il soit à vif
Et que la victime se torde de douleur – comme le jésuite avec la squaw !
Et voilà que l’homme, ce lâche, quand il se réunit en assemblée
Pour s’entretenir avec d’autres braves, n’ose pas laisser une place pour elle,
Là où, en guerre avec la vie et la conscience, il lève sa main faillible
Vers un Dieu de la justice abstraite – ce qu’aucune femme ne comprend.
Et l’homme sait cela ! Il sait, en outre, que la femme que Dieu lui a donnée
Doit commander mais non gouverner, le captiver mais non l’asservir.
Et elle-même sait, puisqu’elle l’en avertit, et son instinct ne la trompe jamais,
Que dans sa propre espèce la femelle est plus meurtrière que le mâle.

Auteur: Kipling Rudyard

Info: La femelle de l’espèce 1911, Barrack-room ballads, trad Dominique Petitfaux, Poèmes de Kipling illustrés par Hugo Pratt, Vertige graphic

[ ironie ]

 

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